Comment se débarrasser de la sensation d'avoir un mauvais goût en bouche ?

Comment soigner le goût amer dans la bouche ?

Ugh, ce goût… métal, batterie… Beurk. C’était l’été dernier, Crète. Soleil, ouais, sauf que moi, j’avais ce goût amer persistant. Impossible de profiter des gyros.

Soleil qui cogne, 35 degrés facile. J’avais bu des litres d’eau, toujours cette amertume. J’avais l’impression de mâcher des pièces de monnaie.

Puis, marché de Chania. Des épices, des fruits… J’ai croqué dans une pêche blanche juteuse. Magique. Le goût métallique avait disparu !

Le lendemain, rebelote. Amertume. J’ai repensé à la pêche. J’ai acheté un jus d’orange frais pressé. Bingo. Plus de goût métallique.

• Hydratation: Eau, jus de fruits frais, pas de sodas.
• Acidité: Agrumes, pommes vertes. Ça a marché pour moi.
• Hygiène: Brossage de dents régulier, je me suis mise à utiliser un gratte-langue là-bas.
• Alimentation: J’ai évité les trucs trop gras pendant quelques jours. Genre, les frites.

En rentrant, j’ai vu mon médecin. Rien de grave. Déshydratation + médicaments que je prenais. Il m’a conseillé du bicarbonate de soude dans l’eau. Pas testé, les oranges ont suffi.

Mon truc maintenant: dès que je sens ce goût, direct un jus d’orange pressé !

Pourquoi ai-je toujours un goût amer dans la bouche ?

Amertume… un goût persistant, une ombre sur la langue. Ce goût, c’est une mémoire, une empreinte. Il colle, s’accroche, insidieux.

• Médicaments. Ces pilules, ces potions… elles ont un prix. Un goût amer, peut-être ? L’amertume de la guérison, ou de son absence ?

• Reflux. Une remontée, acide, brûlante. L’estomac qui se rebelle, qui crache son venin. L’amertume du désordre.

• Infection. Une invasion. Une guerre microscopique dans ma bouche. Inflammation, douleur… et ce goût, amer, signe du combat. Une angine, la langue en feu…

• Mycose. Champignons invisibles, proliférant, creusant leur chemin. L’amertume d’une invasion sournoise, lente.

Ce goût, c’est moi. C’est mon corps, son cri silencieux. Aujourd’hui, je bois du thé vert, espérant apaiser cette amertume. Il reste. Mais j’espère que demain, il ne sera qu’un souvenir lointain.

J’ai pris du fluoxétine ce matin, et j’ai eu une légère infection buccale il y a 3 jours. Tout ça explique peut-être ce goût… ou pas. L’inconnu persiste. L’amertume demeure.

Comment enlever un goût acide dans la bouche ?

Goût acide? Catastrophe! Ma grand-mère, elle, aurait dit “C’est la fin du monde!” Bon, on exagère un peu… mais on va régler ça.

Eau, mon ami, de l’eau! Deux litres, minimum! Moins, c’est comme si tu essayais de nettoyer ta bagnole avec une cuillère à café. Tu risques l’overdose de limonade dans la bouche!

Brosse à dents, arme secrète! Deux minutes, matin et soir. Pas question de négocier! On ne badine pas avec le microbiote buccal, c’est une jungle là-dedans. Des bactéries qui font la fête avec de l’acide? Non merci! J’ai horreur de ces soirées acides. Mon dentifrice préféré, c’est le truc hyper-mentholé de chez “Super-Dent-Shine” que j’ai acheté en solde.

Trucs en plus, parce que je suis sympa (enfin, aujourd’hui):

• Bicarbonate: Diluer une pincée dans de l’eau, ça neutralise! Comme si tu lançais une bombe anti-acidité dans ta bouche. Expérience personnelle : j’ai sauvé ma soirée apéro grâce à ça!
• Mastic chewing-gum: Oui, ça marche! Stimule la salive et nettoie. Mais pas celui à la fraise, l’odeur, c’est une torture.
• Infusion de camomille: Apaise et a un goût…ben, pas acide! J’ai appris ça de ma tante Suzette, qui a plus d’astuces que de rides (et elle en a!).

Pour résumer: Eau, brossage, bicarbonate, chewing-gum, camomille… Et si ça continue, direction le dentiste! Je déteste l’acide, j’en suis malade. Moi, je suis parti à la chasse aux bonnes bactéries!

Comment enlever le goût acide ?

Sucre : Paf! Une pincée et hop, l’acidité s’évanouit comme un mauvais souvenir. C’est magique, presque aussi efficace qu’une baguette magique contre un troll grognon. Sauce tomate, ragoût, vinaigrette… Le sucre, c’est le super-héros des casseroles.

Miel : Plus subtil, plus classe, le miel enrobe l’acidité avec douceur. Un peu comme un câlin réconfortant après une journée pourrie. N’oublions pas que les abeilles travaillent dur pour ce nectar doré, alors respectons leur labeur en l’utilisant avec parcimonie!

• Bicarbonate de soude: Attention, arme secrète! Une pincée de bicarbonate et boum, l’acidité est neutralisée. Mais attention à ne pas trop en mettre, sinon votre plat ressemblera à une expérience de chimie ratée. (Ma grand-mère a explosé une casserole avec ça une fois, j’exagère à peine).

• Légumes racines: Carottes, panais, betteraves… Ces racines sucrées apaisent l’acidité avec une délicatesse insoupçonnée. Imaginez-les comme des diplomates négociant une trêve entre les saveurs.

• Fruits: Pommes, poires, raisins… Leur douceur naturelle équilibre les plats acides comme un funambule sur un fil. J’ai personnellement un faible pour les figues dans un tajine d’agneau un peu trop… enthousiaste. (Souvenir d’un voyage au Maroc).

• Crème fraîche/yaourt: Onctuosité et douceur au rendez-vous! Imaginez une couverture moelleuse qui enveloppe l’acidité avec tendresse. Par contre, à éviter dans les plats chauds, sauf si vous aimez l’effet grumeaux. (Beurk).