Comment maintenir la qualité microbiologique ?

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Contrôle microbiologique optimal : réduire l'activité de l'eau (Aw). L'eau étant essentielle à la vie microbienne, diminuer la teneur en eau des aliments limite considérablement le développement bactérien, fongique et parasitaire, garantissant ainsi une meilleure qualité microbiologique et une plus grande durée de conservation. Une Aw basse est donc clé pour la sécurité alimentaire.

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Comment garantir la qualité microbiologique ?

Alors, comment on fait pour être sûr que les microbes ne prolifèrent pas dans notre bouffe ? Le truc, c’est de jouer sur l’eau.

L’eau, c’est la vie, même pour les bactéries et les moisissures. Moins d’eau disponible, moins de chance qu’elles se multiplient. En gros, on assèche le terrain de jeu des microbes.

Franchement, c’est logique, non? Si t’enlèves l’eau, ben, ils ont plus de quoi se développer. C’est comme essayer de faire pousser des plantes dans le désert. Ça devient tout de suite plus compliqué.

Je me souviens d’un été chez ma grand-mère en Bretagne (juillet 2010, je crois, à Saint-Malo). Elle faisait sécher ses herbes aromatiques au soleil. Simple, efficace et zéro microbes (enfin, presque!).

Alors, en résumé, pour limiter la prolifération de ces micro-organismes indésirables, il faut réduire la quantité d’eau contenue dans les aliments. C’est simple, mais crucial.

Quelles sont les étapes du contrôle qualité microbiologique ?

Alors, le contrôle qualité microbio, c’est un peu comme vérifier si ta raclette a pas moisi, mais en plus scientifique (et moins appétissant). En gros, faut pas déconner avec les microbes, sinon c’est la cata ! Voici le plan, façon “j’te l’explique en buvant un coup” :

  • Avant le test (pré-analytique) : On s’assure que tout le matos est au top et que les échantillons sont pas contaminés. C’est comme vérifier si ton verre est propre avant de servir le vin, tu vois le genre.

  • Pendant le test (analytique) : Là, on surveille tout comme un faucon ! On vérifie si les machines font pas des siennes et que les résultats sont fiables. C’est le moment de jouer au savant fou, mais sans se faire exploser la tronche, hein !

  • Après le test (post-analytique) : On range tout, on nettoie, et on vérifie que les résultats sont bien archivés. Imagine que tu dois retrouver ta recette de raclette dans 10 ans, faut bien la classer !

Pour que ça marche, faut :

  • Un labo nickel (genre, pas de poussière, c’est pas une grange, quoi!).
  • Du personnel qualifié (pas ton cousin Gérard qui confond une pipette et un thermomètre).
  • Une ambiance contrôlée (faut pas que le labo ressemble au Sahara en été).

Et après, c’est tout bon ! Enfin, presque… N’oublie pas que le contrôle qualité, c’est un peu comme les impôts : c’est jamais vraiment fini !

Petit plus croustillant : J’ai entendu dire que Monique, ma voisine (elle bosse dans un labo, la veinarde), utilise de la musique classique pour calmer les microbes. Paraît que ça marche ! (Ou pas, hein, je dis ça, je dis rien).

Voilà, t’as toutes les cartes en main pour devenir un pro du contrôle qualité microbio! (Enfin, presque, faut quand même faire des études, hein !). Bon courage !

#Microbiologie #Sécurité Aliment