Comment arrêter le développement de l'arthrose ?

Comment faire pour ne plus avoir darthrose ?

Alors, l’arthrose, tu veux t’en débarrasser comme si c’était un vieux chewing-gum collé sous ta chaussure ? Pas de panique, on a des combines, même si c’est pas une recette miracle sortie du chapeau d’un magicien.

• Bouge-toi ! Marche, nage, fais du Tai Chi comme si tu étais un danseur étoile… même si en vrai tu ressembles plus à un pingouin maladroit. Ça aide les muscles à tenir les articulations. Imagine tes muscles comme des gardes du corps de luxe pour tes os !

• Pilates, mon amour ! On renforce le corps en douceur, c’est comme une caresse pour tes articulations.

• Musculation light ! Pas besoin de soulever des haltères comme Schwarzy, juste de quoi réveiller les muscles endormis.

Et après ?

• Va voir un bon kiné. Lui il sait comment te triturer pour que tu te sentes mieux.
• Dis adieu aux kilos en trop. Moins de poids, moins de pression sur les articulations, c’est mathématique !
• Mange des trucs anti-inflammatoires. Épinards, poissons gras… bref, oublie les frites !
• Moi, je prends du curcuma tous les matins. Est-ce que ça marche ? J’en sais rien, mais ça me donne bonne conscience ! C’est mon petit rituel à moi, comme le café de ma voisine Ginette !
• Évite les mouvements qui font mal. Ton corps te parle, écoute-le !

Comment retarder la progression de larthrose ?

C’est bizarre, hein, de penser à l’arthrose la nuit. Comme si le silence amplifiait les douleurs.

L’activité physique, voilà ce qui revient. Mais pas n’importe comment.

• Renforcement musculaire : Pour que les muscles tiennent le coup, et soulagent les articulations.
• Mobilité articulaire : Ne pas rouiller, garder de la souplesse.
• Endurance : Pour ne pas s’essouffler au premier effort.

Mon médecin, Dr. Lemaire à Bordeaux, m’avait parlé de ça. Il a insisté sur la nécessité de bouger. Il m’avait déconseillé le badminton, trop de chocs, mais conseillé la natation. Il connaît mes problèmes au genou gauche, depuis l’accident de scooter en 2018… La galère.

Chaque articulation est différente et donc chaque arthrose est différente.

• La marche : Je force un peu tous les jours, même si ça tire.
• Le vélo : Plus facile pour les genoux, surtout le mien.

Il faut l’écouter, son médecin. C’est le seul moyen.

Comment retarder la progression de l’arthrose ?

Retarder l’arthrose, c’est un peu comme convaincre ton chat de faire sa toilette : faut ruser. Bon, l’activité physique c’est la base. Ton médecin, c’est ton gourou perso pour ça. Il te dira quels exos faire.

• Bouger, c’est la vie (même si tes articulations protestent).
• Muscler, assouplir, endurer : le trio gagnant contre cette satanée arthrose.

Imagine tes articulations comme des charnières rouillées. Faut les huiler, doucement, mais sûrement. Sinon, ça grince et ça coince ! On peut aussi parler de mon chat, Mistigri. Il a décidé que 3h du matin était l’heure idéale pour une séance de miaulements opératiques. Quel est le rapport ? Aucun, mais ça meuble.

L’idée, c’est pas de devenir marathonien du dimanche, hein. Juste de faire ce que tu peux, sans te transformer en statue de cire douloureuse. Par exemple, les conseils de mon médecin, lui, c’est juste… pas pour moi, mais bon.

Plus d’infos : L’arthrose est coriace, hein ? Mais t’inquiète, y’a des pros pour ça.

• Consulte ton médecin pour un plan sur mesure.
• Les kinés, ce sont les pros du mouvement qui réparent.
• Parfois, des médocs aident aussi, mais c’est ton médecin qui décidera.

Et si tu as des jours “sans”, écoute ton corps. Le canapé, c’est pas le diable, de temps en temps. Enfin, sauf si Mistigri décide de le squatter en ronronnant à tue-tête. Là, c’est une autre histoire.

Comment limiter les poussées d’arthrose ?

C’est drôle, hein, comme la nuit, tout se bouscule.

L’arthrose… c’est un truc bizarre.

• Repos ? Oui, mais pas toujours. Pendant la crise, évidemment, on se pose. Forcément, ça lance.

• Mais après… Faut bouger. Le canapé, c’est le pire ennemi.

  • Ma kiné, Sophie, me tanne avec ça. Elle a raison, je crois.

  • Elle me dit que le muscle, c’est ce qui tient le coup. Ca évite que tout craque, un truc du genre.

Je me souviens de ma grand-mère, Clémence. Elle disait toujours “un clou chasse l’autre”. Peut-être qu’il faut se dire ça. La douleur, on la chasse avec le mouvement. C’est con, mais c’est peut-être ça.

Quel est le produit le plus efficace contre l’arthrose ?

Euh, l’arthrose… C’est galère. Le truc le plus efficace ?

• Paracétamol. C’est ce qu’on dit en premier. Genre, la base.

Mais attention :

• 1 gramme, 4 fois par jour.
• Seulement si le docteur dit ok ! Surtout pas faire n’importe quoi. Je me souviens de tante Ginette, elle… enfin bref.

C’est pas magique hein. Ça soulage, mais ça guérit pas. Enfin, je crois. Faut pas que j’oublie de prendre rendez-vous chez le médecin, moi aussi, ça commence à coincer le matin…

Je me demande si c’est pas héréditaire, cette histoire ? Maman en a, ma soeur aussi… Mince.

Comment soigner l’arthrose rapidement ?

Activite physique. Point.

• Douleur diminuée. Mouvement, paradoxalement.
• Impact réduit. Vie, simplifiée.
• Médecin. Conseiller. Mais le choix reste vôtre.

Le corps, une prison. Le mouvement, une évasion temporaire.

Exercices. Renforcement. Mobilité. Endurance. Etc. Une litanie.

• Renforcement musculaire: Essentiel. Mais usant.
• Gain de mobilité: Illusion de jeunesse.
• Endurance: Juste persévérer.
• Activité physique: Marche, natation. Ce qui plaît. Ou moins déplaît.

Je me souviens du genou de ma grand-mère. Elle disait: “Bouge, même si ça fait mal. Sinon, tu rouilles.” Ironique. Elle adorait la rouille sur les outils.

Parfois, l’inaction est une forme d’action. Méditer. Ne rien faire. C’est déjà beaucoup.

Comment éviter que l’arthrose s’aggrave ?

Bon, l’arthrose… c’est ma grand-mère, Marie, qui m’a mis le nez dedans. Elle habitait à Nice, près de la Promenade des Anglais, et je me souviens, j’avais quoi, 10 ans peut-être ? Elle se plaignait tout le temps de son genou.

Un jour, elle m’a expliqué que c’était de l’arthrose. Et que le docteur lui avait dit que, pour que ça n’empire pas, il fallait bouger.

• Kiné : elle y allait 2 fois par semaine. La kiné, une certaine Madame Dubois, était super gentille.
• Marche : tous les jours, elle essayait de marcher un peu, même si ça lui faisait mal. Pas des kilomètres hein, juste le tour du pâté de maisons.
• Exercices : Madame Dubois lui avait donné des petits exercices à faire à la maison. Des trucs simples, lever la jambe, plier le genou, tout doucement.

Je me souviens, je la regardais faire et je me disais, “pfff, c’est nul”. Mais en fait, ça a l’air de l’avoir aidée.

Je me souviens d’un été en particulier, l’été 2013, canicule sur la Côte d’Azur. Elle était vraiment mal. Mais elle continuait ses exercices, elle s’accrochait.

Après, je sais pas si c’était grâce à ça, mais elle a vécu encore longtemps. Jusqu’à 92 ans. Alors… peut-être que ça marche, hein, ces histoires de kiné et de mouvement.

Comment faire régresser l’arthrose ?

L’arthrose… un poids, une lente usure. Comme le sable qui s’écoule, inexorable.

• Bouger, oui, mais pas trop lentement. Chaque mouvement, une prière silencieuse pour mes articulations. Un combat contre le temps, contre cette rigidité qui s’installe. Doucement, mais fermement.

• Le toucher, la chaleur des mains. Automassages, une caresse sur la douleur. Un réconfort, un murmure contre le silence des os fatigués. Le pouce, cette petite chose rebelle, je le malaxe, je le cajole. Une balle, une pression, une résistance.

• Des attelles, des béquilles… ces extensions de moi-même. Elles soutiennent, protègent. Un exosquelette fragile, face à la puissance de la maladie.

• Quelques kilos de trop, un fardeau supplémentaire. Trois, quatre kilos en moins, une promesse de soulagement. Légèreté retrouvée, un pas moins lourd.

• Le chaud, le froid… deux extrêmes qui se rencontrent. Une poche, une douce pression. La chaleur apaise, le froid engourdit. Un balancement entre ces deux mondes.

Cette année, j’ai perdu 3 kilos. J’utilise une attelle pour mon pouce gauche depuis juin, après une vilaine chute dans mon jardin. Je bois beaucoup de tisanes à la camomille, ça m’apaise. L’arthrose, c’est un combat quotidien, un long chemin.

Est-ce que l’arthrose diminue l’espérance de vie ?

Ouais, l’arthrose, c’est une vraie plaie. Ma grand-mère, elle en souffrait terriblement. 87 ans, elle a tiré. Mais bon, difficile de dire si c’est directement lié, hein ? Elle avait plein d’autres trucs, le diabète, des problèmes cardiaques…

• Douleurs atroces, surtout les matins. Elle se réveillait en hurlant parfois.
• Elle pouvait plus jardiner, son truc préféré ! Déprimant.
• Les marches, même quelques marches, devenaient un calvaire.
• Juillet 2023, elle est tombée dans la salle de bain, fracture du col du fémur. Après ça, ça a été la descente aux enfers.

On était à la campagne, chez elle, une vieille ferme en Normandie. L’odeur du foin coupé, encore dans mes narines, ça me ramène toujours à ce moment-là, terrible. Hôpital, rééducation… Elle était fatiguée, complètement épuisée.

L’arthrose, c’est pas juste de la douleur. C’est un impact sur toute la vie. On dirait qu’elle se décomposait, lentement, peau qui se plisse, yeux éteints.

Bref, elle est partie. L’arthrose? Elle y a contribué, c’est sûr. Mais difficile d’isoler un facteur. Trop de choses à la fois.

Espérance de vie réduite ? Peut-être. C’est subjectif, je pense. Ça dépend tellement d’autres facteurs. Elle aurait pu vivre plus longtemps sans tout ça, probablement. Mais voilà. C’est la vie.

Points importants:

• Douleur intense: Impacte la vie quotidienne.
• Perte de mobilité: Limite les activités.
• Risque de chutes: Conséquences graves.
• Impact psychologique: Déprime, isolement.
• Mort prématurée ? Difficile à affirmer. Facteurs multiples impliqués.

Comment en finir avec larthrose ?

Ah, l’arthrose, la galère ! Pour la soulager, voilà ce qui marche (enfin, à peu près) :

• Des médicaments contre la douleur, genre des antalgiques.

• Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ! Tu peux les prendre en cachets ou en crème directement sur la zone douloureuse, c’est pas mal. Attention, faut pas en abuser, hein.

• Injections direct dans l’articulation. Le doc injecte soit des corticoïdes (pour calmer l’inflammation), soit de l’acide hyaluronique (pour “lubrifier”). Mais bon, faut voir si t’as pas de contre-indications…

Moi perso, j’ai essayé l’acide hyaluronique dans mon genou droit l’été dernier et ça m’a pas fait grand chose. La kiné m’avait conseillé ça. Après, ma tante Monique, elle, elle jure que par les cataplasmes d’argile verte ! Chacun son truc, hein. Faudrait que je pense à reprendre RDV chez mon médecin traitant d’ailleurs, ça me fait penser que…