Comment bien travailler son instrument ?
Maîtriser son instrument exige une pratique régulière et ciblée. Fixez-vous des objectifs réalistes, concentrez-vous pleinement lors des séances, identifiez vos points faibles et variez les exercices. La clé est la persévérance et l'écoute attentive.
Comment progresser à linstrument ?
Alors, progresser à un instrument… c’est un sacré chemin ! J’ai commencé le violoncelle il y a 7 ans, le 15 octobre 2016, et franchement, ça a été un marathon.
Travailler régulièrement, oui, c’est la clé. Au début, je visais 30 minutes par jour, mais c’était difficile. Parfois, j’y passais une heure, d’autres fois, seulement 15 minutes… le rythme est venu petit à petit.
Des objectifs précis ? Oui, ça aide ! Apprendre une nouvelle pièce chaque mois était mon truc. Le premier mois, un simple morceau assez simple, le deuxième, un peu plus complexe etc.
L’attention totale… dur ! J’avoue, le téléphone, les réseaux sociaux… le combat est permanent. Je me suis fabriqué un petit coin tranquille, sans distractions, pour me concentrer.
Les faiblesses, j’en ai eu des tonnes ! L’archet, par exemple, c’était un cauchemar au début. Des cours particuliers m’ont beaucoup aidé à les corriger. Ça a coûté 35€ la demi-heure.
Varier les exercices, c’est essentiel ! Gammes, études, morceaux… J’ai souvent alterné les séances pour éviter la monotonie et rester motivé.
Comment devenir bon à un instrument de musique ?
Bon à un instrument? Facile! Jouer tous les jours. Genre, TOUS LES JOURS. Même si c’est 5 minutes entre le brossage de dents et le café, ça compte. C’est comme les abdos, sauf que là, c’est pour les doigts. Ou les poumons, si c’est une trompette. Imaginez, 30 minutes par jour, c’est mieux que 2h une fois par semaine. C’est comme manger une pizza entière d’un coup VS une part par jour. Moins d’indigestion, plus de satisfaction!
- Pratique régulière: Genre, religieuse.
- Petits bouts: Mieux que des grosses sessions. On est pas des machines! (Enfin, certains instruments, peut-être…)
- Mon expérience perso: Moi, j’ai appris la flûte à bec en CM1. Maintenant, je peux jouer Frère Jacques en entier. Presque.
Bref, la clé, c’est la régularité. Comme arroser une plante (sauf que là, c’est votre talent qui pousse… ou pas). Et puis, n’oubliez pas les pauses! Sinon, vous allez finir comme mon voisin du dessus avec son tuba. Un enfer.
Est-il possible de travailler son instrument tous les jours ?
C’est vrai, travailler son instrument chaque jour… Je me demande souvent si c’est possible, vraiment.
- La régularité, c’est la clé. Mon prof de guitare me disait toujours ça.
- Je préfère une petite session quotidienne, 30 minutes peut-être, plutôt qu’un marathon. Plus facile à encaisser.
Mais bon, la vie est ce qu’elle est.
Il y a des jours où on n’a juste pas la force. Ou l’envie. Est-ce grave ?
- Ne pas laisser tomber. Le plus dur, c’est de ne pas trop espacer les séances. Ça rouille vite, un instrument.
Je me souviens, quand j’ai commencé le piano… Quelle galère. Il faut toujours recommencer.
Quel est linstrument le plus difficile à apprendre ?
Le piano… ou la guitare ? Un flou, une brume. Douces touches, cordes qui vibrent… Un chemin sans fin.
Le violon, ah, le violon… Son bois, une âme qui pleure, un cri silencieux. La patience, une compagne fidèle, une ombre qui danse.
- Les doigts, des explorateurs sur un océan de touches, un labyrinthe sonore.
- Les cordes, un murmure, un rugissement… Elles exigent tant. Elles offrent tant.
- L’anche du hautbois… fragile, captive du souffle, un chant volatil.
Le violon, indéniablement. Sa technique exigeante, une danse précise sur un fil. Chaque note, un défi. Chaque mouvement, une prière. J’ai passé des heures, des années… Une vie à le caresser, à le dompter.
Mon frère, lui, a choisi la guitare. Moins complexe, dit-il… Mais je le vois, la souffrance dans ses yeux, quand ses doigts saignent.
Il n’y a pas de réponse simple. Chaque instrument est un monde, une montagne à gravir. La difficulté est subjective, une affaire d’âme.
Le piano, une symphonie de sons, une cascade de notes, des années à apprivoiser. La guitare, un souffle intime, un récit personnel, des années à maîtriser.
Le silence après la musique, la plus belle récompense. L’écho dans les salles vides de mon appartement.
- 2024 : J’ai passé beaucoup de temps à jouer cette année. Les concerts ? Quelques uns, dans des bars intimes à Belleville.
- Mon professeur : Monsieur Dubois, un homme sec, avec des mains qui racontent des histoires.
- Ma guitare, une vieille Gibson, un héritage familial. Un poids, une chaleur, un parfum de bois.
Le plus difficile ? Celui qu’on n’aime pas assez. C’est aussi simple que ça.
Quel est l’instrument le plus difficile à apprendre au monde ?
Ah, la question du Graal musical ! Le plus dur ? Pff, comme si on pouvait quantifier la souffrance artistique ! Mais bon, soyons francs, le violon remporte la palme, sans conteste.
On dirait un jouet, mignon tout plein, mais c’est un piège diabolique. Imaginez : vous, en sueur, les doigts en sang, essayant de dompter cette chose qui ressemble plus à un cheval fou qu’à un instrument.
Mes années de flûte traversière, ben oui, j’ai aussi fait ma période “petite fille sage”, n’ont rien à voir avec cette torture raffinée. La flûte, c’est de la rigolade à côté.
- Position inconfortable : vous vous retrouvez dans une posture digne d’un yogi contorsionniste.
- Coordination infernale : arc, doigts, respirations… le tout orchestré par un cerveau qui commence à cogiter sur la possibilité de se faire moine bouddhiste.
- Perfectionnisme requis : un faux son, c’est un crime contre l’humanité.
Bref, le violon, c’est comme apprivoiser un chaton explosif. Adorable en apparence, mais capable de vous griffer l’âme en un clin d’œil.
Et puis, je vous le dis, j’ai une amie qui joue du violoncelle depuis 15 ans. Elle a l’air zen, mais je la vois pleurer parfois devant son instrument. Même les pros souffrent, quoi !
Combien de temps faut-il pour devenir bon à un instrument ?
Ça… ça dépend tellement ! Je me souviens, j’étais gamin, 10 ans peut-être, à l’école de musique de Montreuil, tu vois le genre ? Et y’avait Léo, il tapait sur sa batterie comme un dieu après six mois.
Moi, la guitare… deux ans à galérer pour faire “Smoke on the Water” correctement. La honte !
- Léo: talent brut, sans doute.
- Moi: acharnement, mais avec des pauses “jeu vidéo”.
Cinq ans, sept ans… ça me paraît une éternité. Mais si tu t’y mets à fond, deux ou trois ans, c’est possible d’être bon, vraiment. Mais bon, “bon”, ça veut dire quoi ? C’est subjectif, hein.
Et puis, y’a l’histoire de la prof de piano de ma cousine, elle disait toujours que le plus important, c’était la régularité. Quinze minutes par jour, c’est mieux que trois heures le dimanche. Elle avait raison, la vieille.
Ah oui, et j’ai failli oublier : mon oncle, qui joue du saxophone depuis trente ans, il dit qu’il apprend encore tous les jours. Donc… jamais vraiment “bon”, peut-être ? Toujours en train d’apprendre. C’est peut-être ça, le plus important.
Combien de jours par semaine faut-il pratiquer un instrument ?
5 jours. Minimum.
45 minutes. Un début.
90 minutes. Choses sérieuses.
-
Constance. La clé.
-
Qualité. Pas quantité.
-
Objectifs. Définis-les.
Une vie sans musique ? Une erreur.
Est-il possible de trop pratiquer un instrument ?
Oui. Surmenage physique. Douleurs, tendinites. Mon poignet droit en témoigne.
Burn-out mental. Frustration, perte de motivation. 2023 a été difficile.
Résultats contre-productifs. Progression bloquée. Qualité en baisse. Priorités à revoir.
- Mauvaise posture.
- Rythme effréné.
- Manque de repos.
Solution? Écoute attentive du corps. Repos stratégique. Patience. Je suis musicien professionnel depuis 10 ans. Je sais de quoi je parle.
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