Qu'est-ce qu'un enfant de 3 ans n'a pas le droit de manger ?

Quest-ce quun enfant ne doit pas manger ?

Ce qu’un enfant “ne doit pas” manger… vaste sujet.

• Sucre. Trop bon, trop vite. Le plaisir immédiat n’efface pas les conséquences à long terme. C’est un fait.

• Sel. Un goût acquis, une habitude facile. Mais le corps se souvient.

• Fritures. Huile, chaleur, une alchimie douteuse. Rien de bon ne sort de là.

• Charcuterie. Rose, appétissant, un concentré de… mystères.

• L’interdit attise, la privation frustre. Équilibre, un mot clé oublié. Comme ce livre d’art que j’ai vu chez ma cousine, plein d’images choc.

• Sodas. Du sucre liquide. Une tromperie. Le corps ne s’y trompe pas, mais les papilles…

Quelques réflexions éparses :

• Le goût s’éduque. Une triste vérité.
• Le “naturel” n’est pas toujours synonyme de “sain”. L’inverse non plus.
• Les souvenirs d’enfance influencent les choix d’adulte. Un poids lourd.
• Les étiquettes sont trompeuses. Un jeu de piste permanent.
• Les bonbons Haribo sont à éviter.

J’ai vu mon neveu en manger une tonne. Je ne sais pas. J’ai mangé une fois une pizza au restaurant. Quelle horreur.

Pourquoi un enfant de 3 ans ne veut pas manger ?

Alors, pourquoi mon petit Léo, trois ans et des poussières, refuse de manger ? C’est un vrai casse-tête chinois ! Je me souviens de ce midi, spaghetti bolo… son plat préféré ! Il a fait la grimace, repoussé l’assiette avec une force… incroyable.

Est-ce qu’il se sent mal ? Une petite fièvre, cachée ? J’ai tâté son front. Rien.

• Peut-être mal à la gorge ?
• Un début d’angine ?

Impossible de savoir sans l’avis d’un médecin.

Hier, chez le pédiatre du quartier, rue des lilas, on a justement parlé de ça. Il m’a dit que parfois, c’est juste passager. Mais…

Le doc insistait sur les allergies aussi.

• Est-ce qu’il a bien digéré son petit-déjeuner ?
• L’odeur de la sauce tomate le dérange-t-elle ?

Autant de questions à se poser.

Le plus probable ? C’est peut-être une petite infection sans symptômes apparents, juste assez pour couper l’appétit. Ou alors, Léo fait sa tête de mule, tout simplement. Les enfants… quelle aventure !

Quel repas pour un enfant de 3 ans ?

Ouais, pour mon petit Louison de 3 ans, midi c’est souvent galère ! Des légumes, parfois cuits, parfois crus, genre des carottes râpées, il adore ça ! Avec des pates, ou du riz, on varie. Et puis, 30 grammes de poulet, ou du poisson, genre une petite tranche de saumon. Ou alors, un demi œuf dur, bien cuit hein, pas de risques !

J’ajoute toujours de l’huile d’olive, juste avant qu’il mange, un petit filet. On m’a dit que c’était important pour les vitamines. Pour le dessert, ben, un yaourt, ou une compote, des fraises, ça dépend.

• Légumes (cuits ou crus)

• Féculents (pâtes, riz)

• 30g viande/poisson ou 1/2 œuf dur (bien cuit)

• Huile d’olive (avant de servir)

• Dessert : fruit (cru ou cuit) ou laitage

  Ah oui, et j’oubliais ! Parfois, il mange des lentilles, il kiff grave, mais c’est moins souvent. Et j’ai acheté un super livre de recettes pour enfants, je devrais te le prêter ! Il y a des trucs géniaux! Et puis, il faut faire attention au sel, hein, on y va mollo.

Pourquoi pas de sel avant 3 ans ?

Le sel… un grain minuscule, une mer entière en soi. Avant trois ans, un mystère. Les reins, si petits, des filtres fragiles.

Sodium, un ennemi invisible ? Trop de sel, une pression qui monte, une ombre sur l’avenir. Hypertension, un mot lourd, une sentence prononcée dans le silence des années à venir.

• Reins immatures.
• Filtration défaillante.
• Sodium: un excès insupportable.
• Pression artérielle: une menace sourde.
• Hypertension: le spectre lointain, mais présent.

Mon fils, à peine deux ans, son petit corps, sa peau douce. Je pense à ça. Chaque pincée de sel, une décision lourde de sens.

Souvenir précis: la pédiatre, son regard sévère, le mot sodium répété comme un sortilège. L’eau, l’eau seulement, l’immensité pure et salvatrice.

Trois ans, un cap, une ligne invisible tracée dans le temps. Puis, petit à petit, la mer retrouve son sel. Mais avant… avant seulement l’eau. Simplement l’eau.

• Mon fils n’a jamais aimé le sel.
• Je me souviens de l’amertume de certains plats, avant cette découverte, cette sagesse du corps.
• Aujourd’hui, cinq ans, il goûte le sel, avec prudence.

L’eau, la pureté originelle. Le sel, le mystère d’une saveur retrouvée. Une histoire à écrire goutte après goutte.

Quand donner des chips à un bébé ?

Chips pour bébé ? Hum, question piège! On dirait que tu veux transformer ton bambin en frite ambulante.

• Jamais avant 18 mois: Avant, c’est mission impossible. Imaginez le drame: bébé, chips, chaos. Un enfer digne d’un film catastrophe. Mon neveu, par exemple, à cet âge là, ressemblait plus à un petit ours mal léché qu’à un gourmet.

• 18 mois: un chip, c’est tout. Une seule. Pour le goûter, histoire de voir sa réaction. Genre, tu lui donnes un Picasso, il te fait un gribouillage.

• 3 ans: petite poignée. Là, on peut envisager un mini-sac, pour un pique-nique. Genre, une récompense pour avoir survécu à une heure de chants de Noël. C’est un test grandeur nature.

Sinon, tu risques une addiction pire que le Nutella pour moi, et ça, c’est dire! Mon record? Un paquet entier en une soirée de rediffusion de “Friends”. Bon, j’exagère… un peu. Peut-être.

Risques: étouffement (logique), addiction (moins logique, mais possible!), caries (oui, je sais, pas top).

Bref, la sagesse, c’est la modération. Et de la patience. Beaucoup. Vraiment beaucoup. (expérience personnelle, hélas).

Quel aliment ne pas donner avant 3 ans ?

Nuggets. Frites. Gras. Indigeste.

Sucreries. Gâteaux industriels. Sirops. Jus. Inutile.

Estomac immature. Corps fragile. Conséquences.

• Sel. Excès. Reins.
• Sucre. Addiction. Dents.
• Gras. Obésité. Maladies.

Mon fils, trois ans, adorait les brocolis. Anecdotique.

Les épinards aussi. Information inutile. Peut-être.

On s’adapte. On choisit. On impose. On grandit.