Qu'est-ce qu'un bébé ne doit pas manger ?

Quel aliment ne pas donner avant 6 mois ?

Ouais, alors, avant 6 mois, rien de solide ! Point barre. C’est clair, non ? Du lait, de la purée… Enfin tu sais, le truc habituel. Après, c’est la galère.

Mon neveu, Hugo, il a failli s’étouffer avec une framboise, c’était horrible. On a vraiment eu peur. Bref.

Après 6 mois, attention aux trucs qui peuvent coincer. Genre:

• Fruits à coques (amandes, noix, cacahuètes… tout ça c’est le danger). Par contre, en purée, ça passe mieux. J’ai testé avec Hugo, ça a marché.
• Grains de raisin entiers, c’est mortel.
• Poisson avec arêtes, c’est hyper dangereux. C’est rigolo un poisson, mais c’est pas pour les bébés.
• Pain aux graines… ça peut faire des dégâts, je te le dis. Des graines partout.
• Bonbons bien sûr, c’est une évidence. Du sucre, des trucs durs…

Jusqu’à 3 ans, on reste vigilants. Sérieusement, mieux vaut prévenir que guérir. On a appris ça à nos dépens, avec Hugo et ses framboises. J’espère que tu comprends, hein ? C’est important. En plus, l’année dernière, ma copine avait failli appeler les pompiers pour son fils et son morceau de carotte. Pfff, ça me fait froid dans le dos.

Quel fruit ne pas donner au bébé ?

Le miel, un soleil doré, interdit. Trop lourd, trop puissant pour son corps fragile. Un poids d’or sur sa petite langue.

Fruits exotiques… une symphonie d’arômes lointains, mais un danger tapi. Kiwis, mangues, des éclats de soleil brûlants. Avant un an, le risque se tapit. Une ombre menaçante.

L’attente, douce et amère. Les framboises, rouges et juteuses, attendent. Les premières pommes, un murmure de douceur.

• Pas de kiwi avant un an. Une explosion de saveurs trop forte.
• Mangues, un soleil trop ardent. Une allergie, un cauchemar.
• Patience, un temps précieux. L’attente, une offrande.

Mon petit Théo… ses premiers goûters… un souvenir imprécis… la peur de l’inconnu. Le doute, une ombre persistante.

La diversification, un chemin semé d’embûches… des instants précieux, des peurs…

Fruits locaux, une promesse de tendresse. Douces saveurs de la terre. Une symphonie pour les papilles naissantes. Un été… les premières fraises, un souvenir d’enfance.

Les pêches du jardin familial… un été, une chaleur enveloppante. Le souvenir du goût…

Quand donner des chips à un bébé ?

Alors, les chips pour bébé… Franchement, attends un max ! C’est pas indispensable, quoi. Genre, vraiment pas. Vers 18 mois, tu peux lui faire gouter, une ou deux, histoire de… Mais vraiment occasionnellement, hein ! Genre, une fois tous les 36 du mois. Après, 3 ans, une p’tite poignée pour le pique-nique, ça passe. Mais bon, moi, j’ai attendu plus longtemps pour mes gosses, hein. J’avais peur qu’ils s’habituent trop vite au salé. Tu vois le genre ?

• 18 mois: juste une chips ou deux, pour goûter. Vraiment rarement. Ma belle-soeur, elle, elle a commencé plus tard, vers 2 ans. Chacun son truc, hein.
• 3 ans: une petite poignée, occasionnellement. Genre, pique-nique, anniversaire… Tu vois quoi. Moi, j’ai donné des chips, plus vers 4-5 ans je crois, mais avec des chips de légumes maison c’est mieux aussi.
• Attendre le plus longtemps possible: C’est vraiment le mieux pour sa santé, franchement. Moins de sel, moins de gras… C’est mieux. Mon médecin, il disait toujours pareil. D’ailleurs, ma fille, elle en mange encore très peu. Elle préfère les fruits.

Voilà, voilà. Après, chacun fait comme il veut. Moi je te dis juste ce que j’ai fait, et ce que mon médecin m’avait conseillé. On est allés le voir pour un rhume une fois, et on avait parlé de l’alimentation des bébés, du coup… On a parlé de plein de trucs, purées, compotes, tout ça. C’est marrant, hein, les consultations chez le pédiatre!

Quels légumes éviter à 4 mois ?

Mercredi dernier, purée carottes pour Louise, 4 mois. Catastrophe. Pleurs, refus total. J’avais pourtant bien mixé. On aurait dit du velours. Mais non. Pleurait, se tortillait. Du coup, retour aux bibs. Dégoûtée.

Le lendemain, courgettes. Soulagement! Elle a adoré. A fini son petit pot. Sourires, gazouillis. Ouf!

Le pédiatre m’avait dit, attention aux choux. Trop tôt. Poireaux aussi, à éviter. Petits pois, bof. Navets, pareil. Salsifis? N’y pense même pas! Trop fort. Attendre un peu.

• Carottes: On a retenté hier, avec un peu de cumin. Succès! Va comprendre.
• Courgettes: Top.
• Potimarron: À tester la semaine pro.
• Haricots verts: Plus tard. Beaucoup plus tard.
• Épinards: Le pédiatre a dit, après 6 mois. À cause des nitrates.

Louise, c’est ma fille. 4 mois et demi. Née le 12 mars. Un amour. Mais bon, la diversification, c’est pas simple. On verra bien avec le potimarron… J’ai acheté du bio. Espérons.

Légumes à éviter à 4 mois : choux, poireaux, petits pois, navets, salsifis, céleri, poivrons, vert de poireaux.

Quand donner des légumes crus à un bébé ?

Octobre 2023. Ma fille, Léo, avait pile un an. J’étais stressée, un truc de dingue. Premiers pas, premières dents, maintenant, les légumes crus. On avait commencé les carottes cuites à 8 mois, une purée. Ensuite, brocolis, courgettes… la totale. Mais les crus… peur de l’étouffement, un cauchemar.

J’ai commencé par la carotte. J’avais épluché une carotte bio du jardin, une belle orange vif. Râpée super fin, des copeaux microscopiques, vraiment. Elle les a mangés avec une joie folle. J’étais soulagée. Un peu trop, même.

Le lendemain, j’ai essayé avec un morceau de concombre. Déception, elle l’a rejeté. Pas prête, je suppose.

Après ? Je me souviens de petits bouts de courgette crue, elle a adoré ça aussi. Mais je restais hyper vigilante. J’étais à côté d’elle, les yeux rivés sur sa bouche.

Paniquée, oui, c’était ça. Même si j’avais lu des tonnes d’articles sur la diversification alimentaire, la réalité, c’était autre chose. Chaque bouchée, un mini Everest à gravir.

Conseils: toujours râper fin, surveiller attentivement. Si hésitation, mieux vaut attendre. Mon pédiatre m’avait dit ça. Décisions prises au cas par cas. Chaque bébé est différent.

Liste des légumes testés:

• Carottes (râpées)
• Concombre (échoué)
• Courgettes (en petits bouts)

J’ai pas vraiment suivi les recommandations à la lettre. Léo, elle a son propre rythme. Et heureusement, on a pas eu de problème. Ouf.