Quelle position pour faire passer le hoquet bébé ?

Ah, le hoquet du bébé… Ce petit tremblement intempestif, ça vous prend aux tripes, non ? Même si on sait que ça ne leur fait pas souffrir physiquement, on se sent impuissant, on a envie de les soulager tout de suite ! Mon petit Théo, lui, il avait le don pour ça, des crises de hoquet qui duraient des plombes ! Je me souviens, une fois, on était chez ma belle-mère, un dimanche après-midi pluvieux… Et bim ! Le hoquet, un vrai marteau-piqueur dans sa petite poitrine.

J’ai tout essayé, sincèrement ! Les trucs de grand-mère, les conseils des amies, même ce que j’avais lu sur internet, des trucs complètement farfelus, genre lui donner à boire à l’envers (et j’avoue, j’ai bien failli essayer !). Au final, ce qui marchait le mieux, c’était… la distraction ! Un petit doudou rigolo, un tour dans le jardin (même sous la pluie, désespérée comme j’étais), ou encore une chanson – je me suis retrouvée à chanter des comptines débiles à tue-tête, peu importe, du moment que ça le calmait.

Et puis, le bercement… ça, c’était sacré. Le serrer contre moi, le sentir respirer doucement contre mon épaule… Ces moments-là, on les oublie jamais, même si c’est juste pour stopper un simple hoquet. C’était plus que juste une solution pour le hoquet, c’était un prétexte pour un câlin, un moment magique et intense. J’avais l’impression de pouvoir le réparer, le protéger de tout, même d’un petit hoquet têtu.

On me disait souvent “fais-lui faire un rot”, mais avec Théo, ça ne marchait jamais… On dirait qu’il avait une sorte de résistance au rot, le bougre ! Bref, aucune méthode miracle, juste de l’amour, de la patience, et beaucoup de câlins. Et puis, on se rend compte après coup que ces petits moments de panique, ça fait partie des souvenirs les plus précieux, non ?