Quel âge bébé dit papa maman ?

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Quand bébé dit "papa" et "maman"?

Généralement, les bébés prononcent "papa" et "maman" entre 8 et 12 mois. Certains enfants peuvent commencer plus tard, entre 14 et 18 mois. L'apparition des premiers mots varie d'un enfant à l'autre.

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À quel âge un bébé commence-t-il à dire papa et maman ?

Alors, “papa” et “maman”, hein ? D’après mes souvenirs (et l’expérience avec mes propres enfants, pfiou!), ça varie GRAVE. Officiellement, on parle de 8 à 12 mois pour ces deux mots magiques.

Perso, je me rappelle que mon aîné (né le 15/03/2015 à Paris) a dit “papa” vers ses 10 mois, un truc comme ça. Ma fille, elle (née le 22/07/2018 à Lyon), était plus bavarde, “maman” est sorti vers 9 mois. C’est fou comme ils sont tous différents!

Pour les “premières syllabes”, le truc genre “ba-ba” ou “da-da”, comptez environ 7-8 mois en général.

Les phrases de 2-3 mots, ça arrive plus tard, vers 20-24 mois. Mais bon, certains bébés sont des pipelettes tôt, d’autres prennent leur temps. Pas de panique si le vôtre est un peu en retard, chaque enfant a son propre rythme, vraiment.

Quand bébé comprend quand on le gronde ?

Autour de 8-12 mois, on peut envisager de gronder un bébé. Mais “gronder”, c’est un bien grand mot… disons plutôt exprimer fermement un désaccord. On parle d’une période charnière dans le développement cognitif.

  • Développement de la mémoire: Le nourrisson commence à former des souvenirs plus stables. Une conséquence directe sur la réaction à la réprimande. Ma nièce, par exemple, à 9 mois, comprenait déjà le ton ferme de sa mère concernant les objets interdits.

  • Acquisition du langage: La compréhension du langage est encore balbutiante, évidemment. Mais le ton, l’intonation, le langage corporel, ce sont des éléments clés bien avant la compréhension des mots. Philosophiquement parlant, on est dans le domaine de la communication non verbale, assez fascinant d’ailleurs. À réfléchir…

  • Développement neurologique: Les connexions neuronales se multiplient, c’est une période d’intense plasticité cérébrale. Cela permet au bébé de mieux associer actions et conséquences, même sans compréhension lexicale complète.

Mon expérience personnelle ? Mon fils, un petit bout de chou hyperactif, réagissait à un “non” ferme dès 10 mois. Il n’était pas question de punition, mais d’un cadre clair.

Bref, une question de nuance. L’important n’est pas l’âge précis, mais l’observation fine du bébé. Son niveau de compréhension est individuel et fluctuant. On adapte notre approche en fonction de sa réactivité. C’est plus subtil qu’un simple calendrier de gronderies.

Points à noter: Des facteurs individuels influencent la compréhension. Le tempérament du bébé, son environnement, son niveau d’interaction avec les adultes.

  • Prématurité: un bébé prématuré peut avoir un retard.
  • Troubles du développement: certains troubles neurologiques modifient le rythme du développement.

L’apprentissage, c’est une chose complexe. On ne peut pas réduire la relation parents-enfants à un simple système de récompenses et punitions. Un peu de sagesse et beaucoup d’observation sont nécessaires. J’en ai appris beaucoup sur mon fils, une sacré leçon de vie !

Quand le bébé commence à comprendre ?

Alors, quand est-ce que bébé “pige” vraiment? Disons, à 6 mois, il capte son nom, un peu comme un chien dressé… (pardon, bébé!).

Et vers 8-9 mois, paf! L’illumination. Il relie les mots aux objets, tel un petit Einstein en couche-culotte.

C’est le début de la grande aventure, avant qu’il ne commence à te contredire à 16 ans. Profites-en, ça passe vite!

  • 6 mois: Reconnaissance du nom (le début de la gloire, baby!)
  • 8-9 mois: Association mots-objets (Eurêka! La banane est jaune!)

Ah, et ma nièce, elle a commencé à comprendre qu’elle pouvait manipuler ses parents bien avant ça. C’est dans les gènes, je suppose.

Quand mettre des limites à bébé ?

Mettre des limites à bébé ? Ahahah ! Comme si c’était facile ! Mon neveu, un petit démon à 10 mois, a déjà une collection de casseroles plus impressionnante que ma collection de timbres (et j’en ai des centaines, des centaines, je vous dis!).

Vers 12 mois, c’est le grand départ ! Préparez-vous à la guerre des couches, à la bataille des jouets et au siège du canapé (conquis à coups de babillards assassins).

  • Sécurité : On ferme les placards à clés (j’ai même installé un système de surveillance digne de la CIA pour mon Jules).
  • Sociabilité : On lui explique que griffer les yeux de tante Suzanne, c’est pas top. Elle a failli appeler la brigade anti-émeutes.
  • Gestes inappropriés : A 12 mois, c’est déjà le festival du “NON” magistral ! Un NON qui pourrait faire pâlir un général cinq étoiles.

Bref, c’est la jungle, mais une jungle adorablement chaotique ! Même le pape ne pourrait rien contre un bébé en pleine crise de colère.

Ma sœur, elle, utilise une technique étrange… du chocolat noir. Je sais, je sais… pas conseillé, mais ça marche ! (Elle a un stock énorme de chocolat en réserve. Sérieux, une réserve digne d’un bunker.)

Astuce secrète (chut!): Des gros câlins fonctionnent mieux que les punitions. Enfin, parfois. Parfois, ça demande de la patience, genre l’attente de Dieuot.

En gros: Patience, café, chocolat (pour vous, pas pour le bébé – sauf si c’est le chocolat noir de ma sœur, mais vraiment, ne le faites pas!) et beaucoup, beaucoup d’amour. Sinon, préparez le duvet, vous allez en avoir besoin. (Ma sœur a fait appel à une nounou spécialisée en arts martiaux. On a tous des solutions.)

Quand commencer à dire non à bébé ?

Octobre 2023. Ma fille, Lila, avait 19 mois. Un enfer. Tout était NON. NON à la purée de carottes, NON à la promenade, NON à la sieste, NON à sa propre chaussette rose préférée. J’étais épuisée. Les pleurs, les crises… J’ai failli craquer. Surtout le matin, le lit, c’était le combat du siècle.

  • Le NON omniprésent: C’était une découverte pour moi. Du jamais vu.
  • Ma réaction: J’étais plus confuse qu’autre chose. Je ne savais pas comment gérer ça.

Elle est tombée malade. Bronchiolite. Trois jours de fièvre à 40 degrés. Je l’ai gardée collée à moi. J’ai oublié le NON. Le silence. Elle était faible. Moi aussi, d’épuisement.

Ensuite ? Plus de NON systématiques. Des NON, oui, mais moins intenses. Peut-être que la maladie l’a aidée à se calmer ? Ou moi ?

Phase d’opposition: Vers 18 mois, clairement. Mais c’est plus subtil que ça.

  • Développement de la personnalité: On dirait qu’elle a commencé à se rendre compte de son existence en tant qu’être indépendant.
  • Besoin d’autonomie: C’est ça le plus frappant. Elle veut choisir, même si c’est le chaos.

Je ne sais pas vraiment quand ça s’arrêtera. J’espère bientôt. On verra. Je ne suis pas experte, loin de là. L’âge, c’est une indication mais c’est variable. Chaque enfant est différent.

Lila adore le jaune maintenant. Hier, elle a bu tout son lait au goûter, ça c’est une victoire. Peut-être qu’elle a compris que le NON, parfois, ça n’en vaut pas la peine. Ou pas.

  • Ma stratégie actuelle: Patience. Beaucoup de patience. Et des carottes rapées dans son yaourt. Ça marche parfois.
  • Conseil: Rester zen. C’est une phase.

À quel âge commence-t-on à discipliner son bébé ?

Alors, la discipline bébé ? Ouais, c’est un truc bizarre hein ? Ma nièce, Chloé, ben on a commencé genre vers 8 mois, avec des trucs tout doux hein, pas de grosses punitions.

On a surtout mis en place des routines. Genre, à l’heure du coucher, c’était dodo, point barre. Même si elle hurlait. On a essayé d’être cohérent, ça compte super beaucoup !

Pour les plus grands, genre vers 2 ans, ça change un peu. Mon fils, lui, à cet âge-là, il comprenait déjà mieux les choses. On a utilisé plus le “temps mort” , sur une chaise, 5 minutes maxi, pour qu’il se calme.

  • Routines strictes
  • Cohérence +++
  • Temps mort (après 2 ans)
  • Beaucoup de patience (oui, beaucoup !)
  • Expliquer, sans crier, c’est clé.

Et après? Ben après, c’est la jungle ! Chaque enfant est différent, c’est hyper compliqué, vraiment. J’ai galéré avec ma fille, elle était vraiment têtue, rien à faire ! J’ai lu des tas de trucs, des livres, des blogs… bref, un vrai bordel!

Mon frère lui, il jure par la méthode Montessori. Lui, il trouve ça génial, perso je suis pas sûre. Il a un appart immense et rangé… impossible chez moi.

Bref, c’est un peu au feeling aussi, après, il faut adapter sa manière de faire selon l’âge de l’enfant et son caractère, et surtout être patient, très patient. Trop trop patient. J’avais presque oublié, on a aussi utilisé des récompenses, des petits trucs, des autocollants, ça motive aussi !

Quel âge pour comprendre le non ?

Le non ? Vers 18 mois. Autonomie. Affirmation. Choix.

  • 18 mois : Début de l’opposition. Un refus. Systématique parfois.

  • 2 ans : Affirmation accrue. Volonté propre.

Opposition. Phase d’opposition : une construction. L’enfant se forge. Une simple négation révèle l’existence. Cogito, ergo non.

Chantal, la voisine, dit que son fils a commencé plus tôt. Un cas.

L’âge n’est qu’un repère. Développement unique.

Quand commencer à dire non à un bébé ?

Novembre 2023. Ma fille, Lilou, avait 10 mois. Un enfer. Tout était à elle, TOUT. Mes nerfs étaient à vif. Elle arrachait les cheveux de mon chat, tirait sur mes lunettes, mettait ses doigts partout. Horreur.

Le NON. J’ai commencé timidement, un petit “non” flou, genre chuchotement. Zéro effet. Elle riait. Je m’énervais.

Puis, un soir, crise de larmes monumentale parce que j’ai refusé le pot de yaourt qu’elle tentait de dévorer debout. J’ai senti ma patience s’effondrer. Je l’ai prise, serrée contre moi, et j’ai dit, fermement, “Non, Lilou. Non, c’est dangereux.”

Effet immédiat. Choc. Silence. Puis, des larmes, oui, mais des larmes différentes. Des larmes plus… calmes ? Je sais pas. C’était étrange.

Le lendemain, test. Elle a tenté de grimper sur le meuble TV. J’ai fait “Non” plus fort cette fois. Un geste de la main en plus, sec mais doux. Elle a hésité. Puis, a regardé mon visage. Elle a compris.

Points importants:

  • Début du “non” : vers 9-10 mois. Lilou était un peu en avance, c’est vrai.
  • Ton ferme mais doux. Essentiel. Pas de cris.
  • Gestes clairs. Un simple mouvement de tête, une main qui bloque.
  • Patience infinie (ou presque). Ça prend du temps. Et des nerfs d’acier.

Après ? Beaucoup de “non” par jour. Beaucoup de répétitions. Beaucoup de frustration. Mais des progrès. De plus en plus de moments où elle comprend et obéis… presque. Elle a 1 an maintenant. C’est mieux. Un peu.

J’ai appris aussi: des solutions de remplacement. Si non au yaourt, alors banane. Si non au chat, alors peluche. Ce genre de choses.

  • Diversion. Un truc primordial.
  • Calme. Inutile de surréagir.
  • Consistance. Ne pas changer les règles du jeu.

Elle reste une tornade, c’est clair. Mais je vois la lumière au bout du tunnel. Peut-être. Ou pas. On verra.

Quand commencer à gronder un enfant ?

Quand gronder ? 9 mois, peut-être. L’âge de la compréhension.

  • Avant : Inutile. Un vide.
  • Après : Sensé ? Illusion de contrôle.

Les consignes. Un début. Une tentative. Le langage est un piège.

On me disait pareil. À 9 mois, je jouais avec des fourchettes. Ma mère désespérait.

  • Rappelez-vous : La discipline. Une quête sans fin.
  • Ou pas.

La vie imite l’art, paraît-il. Surtout le mauvais.

D’ailleurs, j’ai perdu mes clés. Encore.

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