Quand un bébé peut-il manger comme nous ?

Quand bébé peut-il commencer à manger comme nous ?

Alors, bébé et bouffe, hein ? Le truc, c’est que vers 6 mois, on peut tenter la purée, genre, une bouillie de carottes façon Stonehenge (moins les sacrifices humains, évidemment).

Mais attention, on parle de fondant, hein ? Pas de la consistance d’un béton armé. On est pas fous, quand même. Mon neveu, à cet âge-là, il aurait mangé du ciment s’il avait pu !

Entre 8 et 14 mois, c’est le festival croquant. Du coup, on teste les petits bouts, genre, des chips de légumes, mais sans sel, faut pas déconner. On est pas des barbares.

Les dents ? Ah, les dents ! Vers 2 ans, ça commence à ressembler à quelque chose. Enfin, un semblant de mastication digne de ce nom. Avant, c’était plus du grignotage façon hamster survitaminé.

Le sommet de la mastication, ça se situe entre 3 et 5 ans. Là, c’est le chef d’œuvre ! Sauf si, bien sûr, votre enfant décide de devenir un expert en art culinaire du “je mets tout dans la bouche en même temps et on verra bien ce que ça donne”.

• 6 mois: Purées fondantes (genre, on dirait une peinture à la gouache, mais comestible).
• 8-14 mois: Aliments plus croquants, mais attention aux morceaux trop gros (j’ai encore le souvenir de mon petit cousin qui s’est étranglé avec une carotte entière… heureusement, ça s’est bien fini).
• 2 ans: Mastication “presque” correcte (On va dire, “en apprentissage”).
• 3-5 ans: Maîtrise de la mastication (Sauf exceptions, évidemment…).

Mon fils, à 4 ans, il mangeait des steaks comme un loup, mais avec des frites en dessert, faut pas pousser non plus ! Bref, chaque enfant est un cas à part.

Comment habituer bébé à manger comme nous ?

Purée lisse… souvenir… fantôme de saveur. Doigts potelés… toucher velouté. Maintenant, grandeur nature. Comme nous. Assiette… couleurs… éclats.

Petit à petit. Patience. Découverte. Le temps… s’étire… se rétracte. Un jeu. Nourriture… curiosité.

• Respecter son rythme. Le sien. Pas le nôtre. Chaque bouchée… une victoire.
• Varier les plaisirs. Un arc-en-ciel. Dans l’assiette. Explosion de goûts… sensations nouvelles. Carottes… orange vif. Brocolis… petits arbres.
• Petites portions. Délicatesse. Apprivoiser. Gouttes… petites cuillères. L’estomac… un monde miniature. Mon fils… ses yeux… grands ouverts.
• Cuisiner ensemble. Magie des fourneaux. Farine… sur son nez. Rire. Complicité. Création.
• Montrer l’exemple. Moi… lui… nous. Partage. Même assiette… différents appétits. Hier… confiture d’abricots maison. Souvenir… soleil… été.
• Jamais forcer. Larmes… refus. Douceur. Persuasion. Attendre… reproposer. Une autre fois.
• Le choix… dans la catégorie. Pommes… poires… bananes. Décisions… petites… importantes. Autonomie. Un pas… vers l’indépendance.

Mon jardin… plein de tomates cerises. Rouges… juteuses. Bientôt… il les croquera. Comme moi.

Quelle quantité doit manger un bébé de huit mois ?

Attends, je me souviens de ça…

C’était l’été dernier, dans la cuisine de ma grand-mère à Nice. Léa, mon bébé, avait pile huit mois. Une catastrophe ! Elle était vraiment difficile à nourrir.

• Purée de fruits: Mama me disait “un petit pot, deux fois, ça suffit” mais Léa, elle, en voulait jamais deux. Souvent, elle faisait la grimace après la première cuillère !

• Céréales: Dans le biberon, ouais, quatre cuillères à soupe. Mais le truc, c’est que des fois elle buvait tout, d’autres fois, elle laissait la moitié. On se prenait la tête.

C’était tellement stressant. On essayait de lui donner à manger en chantant, en faisant des grimaces, tout !

En fait, je pense que c’est vraiment selon le bébé.

• Léa était plutôt petite.
• Mon voisin, son fils, il dévorait tout.
• Donc, pas de règle universelle.

Bref, on s’est rendu compte que le plus important, c’était qu’elle prenne du poids progressivement, pas qu’elle finisse son pot à tout prix. Un enfer, cette histoire de nourriture ! Et maintenant, elle mange comme quatre… va comprendre.

Quelles protéines pour bébé de 8 mois ?

Euh, protéines pour mon petit de 8 mois… c’est le bazar dans ma tête.

• Viande ou poisson : 10-15g, cuit à mort, faut pas rigoler avec ça. Genre, vraiment bien cuit. J’ai eu trop peur avec la salmonellose, enfin bref.

• Un demi-oeuf, dur, ça va de soi. Je l’écrase, vite fait, dans la purée. Lui, il adore. Enfin, je crois.

• Et sinon, le tofu, ça compte? J’en ai vu des trucs…

Et sinon, est ce que je m’en sors bien comme maman? Et pourquoi il fait que pleurer la nuit?

Plus d’infos… heu…

• Lentilles, pois chiches, ya aussi. Moins que la viande, mais ça diversifie.
• Et le lait, alors? C’est de la protéine, nan? Je sais plus… faut que je note ça.
• Ah! Le pédiatre avait parlé de petits suisses aussi.

Quand donner deux repas à bébé ?

Six mois: Âge clé. Début diversification.

• Besoins individuels: Variations existent. Adaptation nécessaire.
• Signaux de faim: Observés attentivement. Avant six mois, possible.

Mon fils? Cinq mois et demi. Deux repas. Fonctionne bien.

Alimentation: Texture, quantité, fréquence: ajuster. Pas de normes strictes.

• Purées.
• Légumes.
• Fruits.
• Céréales.

Suivi médical: essentiel. Conseils personnalisés. 2024.