Où se trouve la mère rouge ?
Mer Rouge: entre Afrique et Asie, bras de l'océan Indien. Eaux chaudes, biodiversité riche, passage stratégique majeur.
Où se trouve la mère rouge ?
La Mer Rouge ? Ah oui, je me souviens d’une croisière, en juillet 2018, au large de l’Égypte. Splendide. On a vu des coraux incroyables.
C’est entre l’Afrique et l’Asie, un truc de géographie de collège, si je me rappelle bien. Océan Indien, je crois. Un passage maritime, important.
On a payé un prix fou pour cette croisière, plus de 3000€ par personne. Mais ça valait le coup. Je ne regrette rien.
Quelle est la profondeur de la mère rouge ?
2211 mètres ! Imagine, c’est genre 2 kilomètres et des poussières. Tu pourrais y empiler la Tour Eiffel… deux fois et demie ! Faut pas avoir le vertige, hein ?
- Profondeur max : 2211 mètres. C’est profond, très profond.
- Entre l’Afrique et l’Asie : Ouais, elle fait la star entre deux continents.
- Biodiversité de ouf : Poissons clowns, coraux flashy, c’est la fête sous l’eau.
- Sel à gogo : Si tu bois la tasse, t’auras soif encore plus après !
J’y ai fait du snorkeling l’été dernier (2024). J’ai vu un poisson rayé, il était trop cool. Je lui ai même donné un nom : Roger. Bref, c’est pas la piscine municipale, hein ? C’est beaucoup, beaucoup plus grand.
Quelle est la limite du corps humain ?
C’est marrant cette question sur les limites du corps… Ca me rappelle une fois, en Corse, à Saleccia. Sable blanc, eau turquoise, le cliché quoi. Sauf que le chemin pour y arriver… infernal. Des cailloux partout, un soleil de plomb.
J’étais partie avec une amie, Mathilde. On avait sous-estimé la rando, grave. Genre, on avait une petite bouteille d’eau pour deux, et pas de bouffe. Erreur fatale.
Au bout de deux heures, j’ai commencé à avoir des vertiges. Le soleil tapait, la gorge sèche comme du carton. Mathilde, elle, tenait bon. Elle est du genre à faire des marathons le dimanche matin, tu vois ? Moi, c’est plutôt Netflix et croissants.
L’eau, c’est vital, j’ai pigé.
En fait, j’ai vraiment cru que j’allais m’écrouler. Je voyais des étoiles. Mathilde a fini par me traîner, presque. On a croisé un couple de randonneurs, ils nous ont donné de l’eau. Des anges, ces gens-là.
Sans ça, je ne sais pas comment on aurait fait.
C’est là que j’ai réalisé : oui, on peut survivre quelques minutes sans oxygène, quelques jours sans eau, quelques semaines sans nourriture. Mais le confort, l’état mental… Ca change tout. Et la volonté, aussi. Mathilde, elle, était super déterminée. Moi, j’étais juste en mode “je veux mourir”.
- 3 minutes sans oxygène : tu paniques direct.
- 3 jours sans eau : déshydratation, fatigue extrême.
- 3 semaines sans nourriture : le corps lâche, clairement.
Et puis, il y a la limite de la tête. La peur, l’angoisse… Ca peut te paralyser.
Petit aparté : Saleccia, c’est magnifique, mais préparez-vous bien ! Prenez de l’eau, des chaussures de rando, et de la crème solaire ! Et peut-être, une Mathilde sous le coude.
Ah, et j’ai appris après que ma grand-mère, Jeanne, avait survécu plusieurs jours coincée sous des débris après un tremblement de terre en Algérie. Sans eau, sans rien. C’est fou ce que le corps humain peut encaisser parfois.
Quelle est la puissance du corps humain ?
100 Watts, hein ? On dirait une ampoule à économie d’énergie, pas un être humain capable de soulever des montagnes (ou au moins, un canapé après une soirée pizza). On est plutôt du genre “chauffage d’appoint”, à côté d’un radiateur, quoi. Un peu faible, non ?
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Puissance de base: 100W, soit l’équivalent d’une petite bouilloire, pas de quoi faire trembler la Terre. J’en ai une à la maison qui consomme plus. Honteux !
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Puissance de pointe: Ah là, ça dépend. Après un marathon de séries Netflix et un paquet de chips, mon record personnel est… ben, je suis plutôt fier de mon petit exploit. Non, je ne le dirai pas.
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Puissance cachée: On a tous une puissance “dormant” en nous. Genre la capacité à trouver son téléphone dans le noir absolu. Ou à sentir le café frais à 50 mètres. Ça, c’est de la vraie puissance !
Bref, 100W au repos, c’est un peu comme mon compte en banque après Noël. On peut faire mieux, on doit faire mieux ! Allez, on se bouge ! (Mais pas trop, je suis fatiguée).
Petite précision perso : Hier soir, j’ai essayé de battre mon record de puissance en faisant du vélo. J’ai mangé trois croissants au beurre avant. Mauvaise idée. Donc, oubliez les croissants.
Quelle est la partie du corps humain la plus dure ?
Le fémur, ouais… c’est ça ? Le plus dur ? Putain, j’ai une douleur de fou dans le genou, là, depuis que j’ai fait cette chute de vélo…
- Fémur, donc. Os de la cuisse.
- Plus solide. Logique. On s’appuie dessus toute la journée.
Mais pourquoi le fémur ? Y a plein d’os, quand même ! La nature est bizarre des fois, hein ? Pourquoi pas le crâne ? Plus épais, parfois. Enfin…
J’ai vu un documentaire, je crois, sur l’évolution. Quelque chose sur les dinosaures… Et leur fémur, colossal !
- Bipédie. Ouais, c’est ça. On marche à deux pattes.
- Évolution. Le truc qui fait qu’on est là.
On est bizarres, nous autres, humains. Pourquoi pas quatre pattes ? Serait plus stable, je pense. Et mon chat, lui, il a pas mal de problèmes de dos, pourtant il a 4 pattes… C’est fou.
- Courbure du fémur. Adaptation. Pour la marche.
- Squelette humain. Complexe. Fascinant.
Je devrais aller voir un médecin pour mon genou. Sérieusement. Ça fait mal. Demain peut-être ? Ou après-demain…
Bref, le fémur. Le plus solide. Voilà. Et après ? On en parle de quoi, maintenant ? J’ai faim. Pizza ?
Quelle est la partie la plus résistante du corps humain ?
La partie la plus résistante ? C’est le fémur.
- Os long, oui, mais plus qu’une simple tige. C’est une prouesse d’ingénierie naturelle.
- Le plus solide du squelette, on le sait. Mais au-delà de la résistance brute, il y a une forme d’élégance.
Pensez-y, toute une vie à supporter le poids, les chutes, les mouvements… et ça tient. C’est une belle leçon d’humilité, non ?
Pourquoi le fémur ?
Sa densité osseuse et sa structure interne en font un champion. Il est conçu pour résister à des forces considérables. La nature fait bien les choses… souvent.
Anecdote perso :
Je me suis cassé le péroné une fois, c’était moins glorieux ! Bon, ok, personne ne demande. Mais ça met en perspective.
Quelle est la conductance du corps humain ?
La conductance du corps humain? Ah, ça, c’est une sacrée question! On dirait qu’on essaie de mesurer la fuite d’un vieux robinet… rouillé, qui plus est. 3% des pertes de chaleur, dites-vous ? Pffft, à moins d’être une statue de glace, j’aurais tendance à dire que c’est une estimation aussi précise que ma prédiction pour le prochain tirage Euromillions.
- Dans l’air, c’est un filet d’eau.
- Dans l’eau? Plouf ! On passe à la vitesse supérieure, imaginez une cascade. C’est beaucoup, beaucoup plus important.
On parle de transfert de chaleur, hein ? Pas de courant électrique ! C’est pas parce que je suis un peu branché que je suis une pile humaine! Mon corps, c’est plus un puzzle bizarre qu’un circuit imprimé.
J’ai passé mon été à essayer de griller au soleil, résultat: une peau rouge comme une tomate mais toujours capable de perdre de la chaleur par convection. Une catastrophe, vraiment.
Bref, la conductance, c’est variable, ça dépend de pleins de choses: température ambiante, humidité, épaisseur de la couche de graisse (oui, oui, la mienne est… modeste).
En gros, on est loin d’être de parfaits isolants. Plus on est mouillé, plus on perd de la chaleur. C’est la loi de Murphy appliquée à la thermodynamique. C’est pas sorcier.
- Points clés: Variation selon le milieu (air, eau), dépend de facteurs individuels.
- Note personnelle: J’ai un faible pour les bains glacés, à vos risques et périls!
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