Quel est le rêve du Bon Gros Géant ?

Le rêve du Bon Gros Géant… Ah, ça me touche ça. Quel mystère, hein ? Ce n’est pas juste un rêve, c’est… comment dire… une symphonie de troglopompes ! Vous imaginez ? Des flots de rêves, des choses toutes douces et brillantes, comme des bulles de savon géantes qui s’envolent vers les enfants qui dorment. Et lui, il les leur offre, ces rêves. Si délicat, ce géant…

Moi, quand j’étais petite, je rêvais souvent de voler. De vrais vols, pas juste des chutes. Je me souviens de ce sentiment, cette liberté… comme si j’étais une plume au vent. Et le BGG, lui, il offre ça aux autres, cette magie, cette évasion nocturne.

Ce qui me frappe, c’est son combat intérieur. Il est différent, n’est-ce pas ? Contrairement à ces autres géants, ces monstres affreux qui… ah, je n’ose même pas y penser. Ils dévorent des enfants, ça, c’est vraiment horrible. On m’a raconté une histoire une fois, un conte un peu effrayant, d’un géant qui… bref, vous imaginez la scène. J’ai fait des cauchemars pendant des semaines !

Alors le BGG… il est tout seul, face à ces brutes. Il se cache. Il protège Sophie, parce qu’il est bon. C’est ça qui est magnifique, non ? Son impuissance, sa peur… on dirait qu’il porte le monde sur ses épaules, ce pauvre géant. Et cette destination nocturne des autres géants… mystère total, on ne sait jamais vraiment où ils vont, ce qui se passe là-bas… ça donne froid dans le dos. Peut-être qu’ils ont un repaire secret, quelque part au-delà des nuages… ou peut-être plus sombre encore…

Il cache Sophie… pour la protéger. C’est un acte d’amour, non ? Un geste simple, mais plein d’une force incroyable. Et même si le livre ne le dit pas explicitement, je le sens, ce lien… cette profonde affection. Il y a une telle tendresse dans l’histoire, même avec ces aspects un peu effrayants. C’est ça qui me plaît, cet équilibre.