Comment dire ventre en langage soutenu ?

Quels mots utiliser pour ventre dans un langage soutenu ?

Le ventre, hein ? Quelle histoire. Niveau vocabulaire soutenu, on va dire abdomen. C’est direct, précis, médical presque. Pas de chichi.

Mais bon, qui parle comme ça tous les jours ? Perso, j’avoue, j’ai jamais dit “j’ai mal à l’abdomen” à quelqu’un. Ça sonne bizarre.

Après, y’a le registre plus… disons, amusant. “Bedaine”, “bedon”, “brioche”, “panse”… ça dépend du contexte, de qui parle, de l’ambiance. J’ai un faible pour “brioche”, je sais pas pourquoi. Peut-être parce que ça évoque quelque chose de moelleux et de réconfortant ? ‍️

Petite anecdote : une fois, j’étais à la boulangerie Paul, rue de Rivoli (je crois que c’était en novembre 2018, ça devait coûter 2.50€) et j’ai entendu une dame dire à sa copine : “Oh là là, il faut que je rentre le bedon avant les fêtes !”. J’avais trouvé ça tellement authentique.

Comment appelle-t-on le ventre ?

Ventre… abdomen… c’est pareil, non ? Enfin presque. Où est-ce que j’ai rangé mon carnet d’anatomie ? Ah oui, là, sous la pile de BD. Abdomen, c’est le terme médical. On dit aussi ventre dans le langage courant. Tiens, j’ai faim, d’ailleurs. Parler d’estomac me donne des envies de pizza. L’estomac est dans l’abdomen, bien sûr.

• Estomac
• Intestins (mince et gros, faut pas les oublier ceux-là)
• Foie (à droite, si je me souviens bien)
• Pancréas (où est-ce qu’il se cache celui-là déjà ?)

Et puis il y a les reins aussi. Ils sont dans le dos, non ? Un peu dans l’abdomen quand même. Les uretères aussi. Attends… uretères… ça relie les reins à la vessie. La vessie, c’est dans le bassin. Le bassin, c’est en dessous de l’abdomen. C’est compliqué cette histoire. Thorax en haut, bassin en bas… Et la colonne vertébrale derrière. J’ai mal au dos, tiens. Faut que j’aille faire du sport. Demain. Peut-être. Reins et uretères, donc.

J’ai soif maintenant. Je vais me chercher un coca. Zut, plus de glaçons. Faut que j’en refasse. Ah, et j’ai oublié la rate ! Elle est dans l’abdomen aussi. Rate. A quoi elle sert déjà ? Faut que je révise mon anatomie. Ce soir. Ou pas.

Comment appelle-t-on un gros ventre ?

Ventre bedonnant. Abdomen proéminent. Rotondité abdominale. On évoque la bedaine, le bidon, la brioche. Parfois péjoratif, parfois affectueux. Drôle de penser comme un mot peut changer de sens selon le ton.

• Adiposité abdominale : terme médical plus précis.
• Embonpoint : plus général, englobe tout le corps.
• Obésité abdominale : cas plus sévère, risques pour la santé.

J’ai un ami, grand sportif, qui a un peu de ventre après les repas. Il appelle ça sa bouée de sauvetage. On rigole bien. Mais la perception du corps est subjective. Ce qui est gros pour l’un est normal pour l’autre. Le mien, je le trouve parfait, avec ses petites rondeurs. Hier soir, j’ai mangé une raclette. Du coup, ce matin, il est un peu plus rebondi. Le gras, c’est la vie, non ? Enfin, dans une certaine mesure, bien sûr. On parle beaucoup de masse grasse, d’IMC. Mais le bien-être, c’est aussi accepter son corps. Et puis manger du fromage.

Comment appelle-t-on une personne avec un gros ventre ?

Gros ventre… ça me ramène à mon oncle Jean-Pierre. Il avait une sacré bedaine, oui. Une vraie bedaine de bière, il disait toujours ça en riant, même si… on savait tous que c’était plus que ça.

• Obésité centrale, c’est le terme médical, je crois. J’ai vu ça dans un doc sur la santé, l’année dernière. On parlait beaucoup de risques cardiaques, de diabète… ça m’a un peu fichu les jetons, honnêtement.

• “En pomme”, c’est ce qu’on disait aussi, dans la famille. Par opposition à “en poire”… je me souviens de ma grand-mère, elle était toute fine, tout le contraire de Jean-Pierre. Elle est morte jeune, elle aussi.

• Bizarre, non ? Ces trucs qu’on se dit, la nuit. J’ai jamais trop aimé les termes médicaux, ça sonne froid, inhumain. “Bedaine de bière”, ça sonne plus… humain, quoi. Plus proche. Même si c’est pas toujours vrai.

Jean-Pierre, il aimait bien la bière, oui. Mais il avait des soucis aussi… des soucis qu’on ne voyait pas forcément… il était toujours souriant. Souriant même quand il était souffrant, putain. Ça me fait mal encore maintenant. Je fume une clope.

• J’ai oublié de dire que le médecin lui avait aussi parlé de graisse viscérale adipeuse. Des mots compliqués, pour dire qu’il avait trop de gras au ventre.

Il est parti il y a deux ans, en juillet… un cancer. Ça arrive vite, des fois. Trop vite.

Pourquoi ai-je un énorme ventre ?

Ouais, mon ventre… un vrai ballon! C’est dingue, hein ? J’ai vraiment pris du poids, un truc de fou. Je mange beaucoup trop de conneries, c’est sûr. Trop de pizza, trop de chips… Bon, faut avouer, j’ai la flemme de faire du sport. Zéro sport, pratiquement.

Et puis, il y a aussi la génétique, forcément. Ma mère, elle avait le même problème, un gros bidon. C’est familial quoi. On est pas fait pour être mince, on dirait.

• Mauvaise alimentation (trop de fast-food, zéro légumes!)
• Pas de sport, vraiment, je suis une patate.
• Génétique pourrie, c’est hériditaire chez nous.
• Peut-être un truc hormonal aussi, j’en sais rien. Mon doc m’a jamais vraiment dit grand chose.

Bref, tout ça fait un cocktail explosif pour avoir un gros ventre. J’ai déjà essayé de maigrir, mais c’est dur. J’ai même commencé un régime il y a 3 semaines… et j’ai déjà craqué 2 fois avec des glaces!

Risques? Ouais, j’ai lu des trucs horribles sur le diabète et tout ça. Faut que je me bouge le cul, sérieusement, avant que ce soit trop tard. Je me suis acheté un bracelet connecté, on verra bien. J’espère que ça va marcher, sinon je suis dans la mouise.

J’ai 32 ans et je suis plutôt grand, 1m85. Depuis que j’ai arrêté de fumer (il y a 6 mois), j’ai pris 10 kilos facilement. Du coup, j’ai pas un seul jean qui me va bien!

#Abdomen #Gros Ventre #Ventre Plat