Quel est le canal du château de ma mère ?

Quel est le canal dans Le Château de ma mère ?

Le canal? C’est la Rigole de la Plaine, pardi! Elle fait un peu office d’autoroute aquatique pour le Canal du Midi, figurez-vous.

Imaginez, c’est comme donner une tasse de café à un géant assoiffé. Sans la Rigole, le Midi serait à sec!

• Le Château de ma mère: Un havre de paix (et de potins littéraires!)
• La Rigole: Le tuyau d’arrosage géant du Midi. Plus poétique qu’un tuyau, bien sûr.

L’orientaliste avait du goût, on ne peut pas lui enlever ça. Vivre au bord de l’eau, ça inspire… sauf peut-être des factures salées pour l’arrosage du jardin! 😉 D’ailleurs, je me demande si Lamartine n’a pas piqué quelques idées en se promenant par là…

Où se trouve le château du film Le Château de ma mère ?

Aix, les Pinchinats… la Gaude.

Je me souviens… euh… c’était pas l’été dernier? On visitait Aix avec ma cousine, Léa. Elle est fan de Pagnol, une vraie. Du coup, direction “le château de ma mère”. On galère un peu, les routes qui montent, qui tournent… Finalement, on arrive.

C’est le château de la Gaude, un hôtel maintenant. Superbe, mais bon, c’est pas exactement “mon” Pagnol, tu vois? Léa, elle, était aux anges.

Et le lien avec le film?

• Décor: Ils ont utilisé la Gaude, genre, pour faire croire que c’était un château voisin de la Buzine.
• Le Comte-Colonel: Plus précisément, celui du comte colonel du 1er cuirassiers. Un détail, mais Léa, elle connait ça par cœur.

J’avais les pieds qui chauffaient, après la montée. Un coca bien frais, ça aide, hein. Et Léa qui me racontait encore des anecdotes sur Pagnol…

Est-ce que Le Château de ma mère est une histoire vraie ?

Château de ma mère, histoire vraie? Mouais, disons “inspirée de” hein! Pagnol, c’était un peu le roi des bobards améliorés. Genre, transformer un cabanon en palais des mille et une nuits. On est d’accord, le mec, c’était un pro de l’exagération. Mais bon, ça reste une chouette histoire!

• La Buzine: C’est là qu’il a planté son décor (enfin, son vrai château).
• 1941: L’année où Pagnol a fait son gros coup immobilier. Imaginez le prix au m² aujourd’hui! Dingue, non?
• Cinémathèque: En 2011, la Buzine devient le temple du 7ème art. Presque aussi glamour que Hollywood!
• Marseille: La ville a récupéré la baraque. Proprio à sa place!

J’ai visité La Buzine l’été dernier avec ma tante. Canicule de folie, on a failli fondre comme des esquimaux au soleil! On a bu, facile, 3 litres d’eau chacune. Le château, il est beau, hein, mais sous 40 degrés, l’émotion est… mitigée. On se serait cru dans un four à pizza!

Où se joue Le Château de ma mère ?

Le Château de ma mère, ah, un classique ! Le tournage s’est déroulé principalement à Astros, en Provence.

• Domaine d’Astros : Ce lieu a servi de décor principal. Imagine, une ancienne commanderie templière !

• Villa palladienne : Yves Robert l’a choisie, elle est devenue une star du film.

Et pourquoi pas ? La Provence, avec ses paysages doux et son histoire riche, est un écrin parfait. Un peu comme ma collection de timbres, chaque détail compte. D’ailleurs, je me demande si les Templiers avaient le sens du cinéma ? La vigne, c’est déjà un spectacle en soi, non ?

Pourquoi le livre sappelle Le Château de ma mère ?

Le Château de ma mère… Pourquoi ce titre ? Ah oui, la peur. Le château de la peur de sa mère, c’est ça l’explication. Mais c’est bizarre, non, de penser à ça comme un château ?

• Un château, c’est censé être solide, protecteur.
• La peur, c’est tout le contraire, ça te ronge.
• Ma mère, elle aurait détesté l’idée. Trop romantique pour elle.

Et puis, l’auteur rachète le château après… Quel château ? C’était même pas un vrai château, enfin. Un genre de maison, quoi.

On y allait souvent quand j’étais gamin, près de chez ma grand-mère, à côté du terrain de foot où je me suis cassé le bras une fois. C’est peut-être ça, mon “château de la peur” à moi, ce terrain avec ce souvenir précis. Mais bon, je digresse.

• Le titre, c’est pour Augustine, sa maman.
• Trente ans plus tard, la boucle est bouclée.
• Mais au fond, qu’est-ce qu’il a racheté exactement ? Juste une bâtisse.

Est-ce que racheter un lieu efface la peur ? J’en doute fort.

C’est vrai, quel est le rapport entre la peur et un château ? Le titre est un peu métaphorique, quoi.

Quels sont les trois films de Marcel Pagnol ?

Marius. 1931. Théâtre d’abord. L’ombre de la Canebière.

Fanny. 1932. Suite logique. Le temps qui ronge.

César. 1936. La fin d’un cycle. Ou le début ? On ne sait jamais vraiment.

• Trilogie marseillaise. Un classique. Pourquoi ? Les archétypes. L’universel dans le local.
• Pagnol. Plus qu’un cinéaste. Un observateur. De l’âme humaine. Un peu comme moi, devant mon écran. (Je regarde les mouches).
• Marseille. Le soleil. La mer. L’illusion du bonheur simple. La vie est ailleurs. Toujours.

Mon chat miaule. Je lui donne des croquettes. Du poisson. Il préfère le poisson. Comme moi. Mais je ne mange pas ses croquettes. Lui non plus d’ailleurs. On a nos limites. Même les chats. Surtout les chats.

Les films ? Des histoires de gens ordinaires. Amour, trahison, regrets. La vie quoi. On s’identifie. On se ment. Un peu. Beacoup ? Peu importe. Le cinéma est un mensonge. Le plus beau. Le mien en tout cas.

Quelle est la trilogie de la gloire de mon père ?

Pagnol. Trilogie? Trois livres. Un peu plus.

• La Gloire de mon père. Enfance. Soleil. Provence.
• Le Château de ma mère. Suite logique. Plus grand. Plus sombre.
• Le Temps des secrets. Déjà oublié? Enfance, encore. Secrets. Pas tous racontés.

Six CDs au total? Non, sept. Erreur de calcul. Ou de mémoire. Peu importe.

L’été dernier, j’ai relu Le Château. Mes parents détestaient Pagnol. Ironique. J’habite maintenant près d’Aix-en-Provence. Coïncidence? Peut-être.

L’ordre importe peu. La chronologie est floue. Comme les souvenirs. Comme la vie.

L’œuvre reste. Un héritage. Pesant. Beauté brute. Brutalité. Le midi brûlant.

La Provence. Toujours là. Même si ça change. Comme moi. Comme tout.

Points clés: L’enfance. La Provence. La mémoire. Le temps. La famille. L’oubli. La beauté.

Données 2023 : Toujours disponibles. Achèvement de la trilogie. Pas de nouvelles versions. Aucune autre publication de Pagnol, cette année.

Qui est propriétaire du château de la Buzine ?

Marseille, c’est ça ? Le château de la Buzine… Pfff, 2010, déjà… ça date. Henri de Buzens, le proprio d’origine, hein ? Logique. Mais maintenant ? La ville, non ? Marseille, je crois. Ouais, c’est ça. Musée, bibliothèque… un truc comme ça. Un foutoir organisé, quoi.

• Musée
• Cinéma
• Bibliothèque
• Salle d’expo… un vrai bordel !

Et la vidéothèque ? J’oubliais ! C’est fou tout ce qu’ils ont entassé là-dedans. Faut que j’y retourne, j’y suis allée en 2018, il me semble, avec Chloé. On avait vu une expo sur… quoi déjà ? Ah, non, ça m’échappe.

Propriétaire actuel : Ville de Marseille. C’est sûr ça.

Pourquoi ils ont pas gardé le nom de Buzens ? Mystère. Ou alors c’est juste moi qui suis nulle en histoire. Je devrais peut-être relire mes cours… ou pas.

Plus important : Est-ce qu’ils ont gardé le jardin ? Les arbres étaient magnifiques. J’espère qu’ils n’ont rien détruit. J’avais adoré l’odeur des pins.

Destination : Lieu hyperactif, un peu fouilli mais intéressant. On dirait un fouillis créatif…

Bref, Marseille possède le château. Fin de l’histoire. Ou pas. Il y a plein de trucs que j’ignore sur ce château, sûrement. Comme si j’avais besoin d’en savoir plus !