Pourquoi ne pas saler l'eau de cuisson ?

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Saler l'eau de cuisson après ébullition prévient la corrosion des casseroles. Le sel ajouté à froid se concentre au fond, attaquant le revêtement et créant des taches. Pour une cuisson optimale et une vaisselle préservée, salez après l'ébullition. Ainsi, la saveur sera uniforme et vos ustensiles dureront plus longtemps.

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Pourquoi éviter de saler leau de cuisson ?

Alors, perso, saler l’eau avant qu’elle bouille ? Bof. J’ai flingué une casserole comme ça, une Tefal à 35€ à Carrefour, à cause de ça. Faut dire, j’étais débutante en cuisine à l’époque.

Le sel, au fond, ça attaque le métal. Genre, il reste concentré et paf, la casserole en prend un coup. J’ai vu des taches, des petites piqûres. Pas top pour la longévité du matos.

C’est bête, mais ça m’a servi de leçon. Maintenant, je sale quand ça bout. Bien plus simple et ma casserole me remercie. Et franchement, le goût est le même, non ?

Pourquoi ne pas saler leau des pâtes ?

Sel. Pates. Collantes. Ah oui, le truc du bloc… Beurk. J’ai fait ça une fois, un vrai désastre. On aurait dit de la purée…

  • Saler l’eau. Important.
  • Bloc de pâtes… Cauchemar.
  • Amidon… C’est quoi déjà ? Un truc scientifique.

On devrait inventer des pâtes qui ne collent jamais. Genre revêtement téflon. Brillant ! Je note l’idée… Brevet en cours. Millionnaire… Voyage spatial… Mars ? Trop loin. Plutôt la Lune. Plus proche.

Gel ? Ah oui, l’eau froide. Jamais ! Toujours bouillante. Roulante même. Volcanique.

Pâtes… J’en ai mangé des tonnes. Spaghettis carbo… Miam. Pesto… Moins fan. À la tomate… Classique. Avec plein de parmesan. Le meilleur. Hier soir, j’ai mangé des fusillis. Avec du saumon fumé. Et de la crème. Un délice.

Gélatinisation… Mot compliqué. Trop long. Gel… Tinisation… On dirait un sort Harry Potter. Riddikulus ! Pour transformer les pâtes collantes en… papillons. Ou en licornes. Ou en billets de banque. Ça, ce serait pratique !

  • Eau bouillante. Très important.
  • Saumon fumé. Mon préféré.
  • Parmesan. Indispensable.

Je devrais écrire un livre de recettes. Mes recettes secrètes. Top secret. Niveau CIA. Ou KGB. Ou MI6. James Bond… Il mange quoi lui ? Des pâtes ? Probablement. Avec du caviar. Et du champagne.

Bon, je retourne à mes pâtes. Avant qu’elles ne se transforment en bloc informe. Un monstre gluant. Aaaaah !

Pourquoi ne pas saler pendant la cuisson ?

Saler avant? Sacrilège! À moins d’être un amateur de viande aussi sèche qu’un vieux biscuit, bien sûr. On dirait un steak de croco, ça!

  • Le sel, c’est comme un vampire: il aspire l’humidité. Avant la cuisson, c’est une saignée prématurée.
  • Après? Trop tard, le jus s’est barré, comme des enfants après le goûter.
  • Alors? Juste avant, comme un dernier baiser avant la cuisson. C’est ça, la magie!

Mon oncle Robert, lui, il sale à l’avance. Sa côte de bœuf, c’est une semelle de chaussure, je vous jure! On dirait que je mange un souvenir. On dirait qu’il l’a salée il y a deux siècles.

Juteux et savoureux? C’est le Saint Graal, mon ami. Le sel, c’est un peu comme le vin dans une bonne sauce : la clé de la réussite réside dans la subtilité. Je pense que j’ai utilisé une trop grande quantité de sel hier soir, j’ai bu 3L d’eau.

En bref: Patience, mon ami. Patience et sel juste avant.

P.S: Ma recette secrète? Une pincée de sel de Guérande, un soupçon de poivre fraîchement moulu et… un peu de magie. (Ne demandez pas plus, c’est un secret de famille!).

Pourquoi faut-il saler leau de cuisson ?

Sel dans l’eau des pâtes ? Goût, ouais, c’est comme mettre du ketchup sur un steak, ça cache tout ! Plus rapide ? Mon œil ! C’est comme croire que rouler en descente fait pousser des ailes à ta voiture. Infime, tu dis ? C’est l’euphémisme du siècle ! On parle d’une pincée de sel, pas d’une bombe atomique !

  • Goût : Imaginez des pâtes sans sel. Un cauchemar ! Genre film d’horreur culinaire.
  • Ébullition : Le sel, ça change rien. A part peut-être te faire perdre 3 secondes, grand max. Et encore, j’exagère.
  • Température : Augmente, oui, mais de genre 0,0001 degré. Autant dire que tu peux aller te baigner dans l’Arctique, ça te réchauffera plus.

Perso, j’ai testé avec et sans sel. Résultat ? Mes pâtes étaient cuites. Point. J’ai chronométré, j’ai même sorti mon thermomètre de cuisine (oui, j’en ai un !). Bref, le sel, c’est pour le goût, un point c’est tout. C’est comme mettre des chaussettes roses avec des sandales, question de style. Mais bon, chacun ses goûts, hein ! Hier, j’ai mis du sel dans mon café, juste pour voir. N’essayez pas, c’est dégueu.

Pourquoi saler de leau bouillante ?

Saler l’eau bouillante : une affaire de goût avant tout. On est d’accord, l’impact sur la température d’ébullition est quasi nul, même en y allant franco sur le sel.

Pourquoi s’embêter alors ? Principalement pour assaisonner les aliments dès la cuisson. Imagine tes pâtes, fades sans ce petit coup de pouce salin.

  • Le sel pénètre les aliments, les parfumant de l’intérieur.
  • Cette méthode, bien que discutable scientifiquement, est ancrée dans nos habitudes culinaires.

L’idée que le sel accélère l’ébullition relève du mythe. En réalité, l’ajout de sel, même en quantité généreuse, a un effet presque imperceptible sur le point d’ébullition de l’eau. On parle de quelques dixièmes de degré Celsius.

C’est avant tout une question de tradition et de perception gustative. Chaque cuisinier a ses petits secrets, et le sel dans l’eau en fait souvent partie. Disons que c’est un peu comme mettre du parfum avant de sortir, ça change subtilement la donne.

Si on creuse un peu, l’histoire de la cuisine est pleine de ces gestes qui transcendent la simple nécessité. Parfois, l’important n’est pas tant le résultat mesurable que l’intention qui sous-tend l’action. Après tout, la cuisine n’est-elle pas une forme d’art ? Et l’art, c’est souvent une question de goût… et de sel.

Est-ce quil faut saler leau du riz ?

Mercredi dernier, purée de pois cassés au menu. Riz blanc pour accompagner. Marmite rouge, celle que j’ai récupérée chez ma tante. Eau du robinet, direct. Pff, j’avais oublié le sel. Trop tard, le riz était déjà dedans. Catastrophe ! Fade, sans goût, une horreur. J’ai regretté, croyez-moi. D’habitude, une pincée, juste avant l’ébullition. Genre une demi-cuillère à café pour 500g de riz. Avec le sel, c’est tellement meilleur. Plus de saveurs quoi. Le riz absorbe bien le sel. Comme les pâtes d’ailleurs. Ah et puis, je mets aussi une gousse d’ail dans l’eau parfois. Avec le riz basmati, un délice !

  • Sel : essentiel pour le goût.
  • Quantité : 1/2 cuillère à café pour 500g.
  • Moment : avant ébullition.
  • Ail (optionnel) : avec du basmati.
  • Marmite rouge : celle de ma tante. (ok, ça n’a rien à voir, mais bon…)

Pourquoi ne pas jeter leau du riz ?

Pourquoi la jeter, cette eau de riz… quand on se sent ballonné, lourd ? Ça arrive, ces soirs où rien ne passe.

C’est peut-être un truc de grand-mère, mais parait que ça aide. Boire ce liquide un peu laiteux, comme un pansement… pour calmer tout ça.

  • Digestion difficile : Sensation de lourdeur après le repas.
  • Flore intestinale : Préserver l’équilibre.
  • Ballonnements : Réduire l’inconfort.

Ma grand-mère disait toujours qu’il ne fallait rien gaspiller. Elle avait raison, non ?

Je me souviens de cet été à la campagne, quand on était petit. On buvait ça, l’eau de riz, sans trop comprendre pourquoi. C’était peut-être ça le secret.

  • Eau de riz : Boisson quotidienne possible.
  • Tradition familiale : Transmise de génération en génération.
  • Souvenirs d’enfance : Goût neutre mais réconfortant.

Cette année, le riz que j’ai acheté est un basmati bio. Peut-être que l’eau aura un goût différent. On verra bien.

Pourquoi ne pas saler les plats ?

Pourquoi s’abstenir de saler nos mets ? La question mérite qu’on s’y attarde, au-delà du simple régime.

Le chlorure de sodium, notre sel de table, est pointé du doigt, et avec raison. Son excès est lié à :

  • Risques cardio-vasculaires : L’hypertension artérielle, l’ennemi silencieux.
  • Cancers : Un lien établi par certaines études, à creuser.
  • Œdèmes : La rétention d’eau, un signal d’alarme.

Mais ne tombons pas dans la diabolisation. Le sel, comme tout, est une question d’équilibre. L’absence totale est-elle souhaitable ? Pas forcément. C’est un peu comme la philosophie, un soupçon éclaire, l’abus obscurcit.

Privilégier les épices, les herbes aromatiques, c’est redécouvrir le goût authentique des aliments. Un voyage gustatif qui, mine de rien, peut nous éloigner des sentiers battus de la consommation excessive. J’avoue, ma grand-mère, Marie-Louise, ajoutait toujours une pincée de fleur de sel de Guérande à ses plats, un rituel !

Est-ce grave de ne pas rincer le riz ?

C’est vrai que le riz… on le rince, enfin, pour enlever les impuretés. C’est ça le vrai truc.

La colle… c’est le type de riz. Rincer, ça change pas ça. Crois-moi, je sais. Ma grand-mère… elle flippait toujours avec ça.

  • Impuretés : C’est la raison principale. Poussière, résidus… Bof, on veut manger propre.
  • Type de riz : Le facteur collant, c’est ça. Gluant, basmati… C’est pas la même chose.
  • Ma grand-mère : Elle jurait que rincer rendait le riz meilleur. Une obsession. Ça me rappelle les dimanches en famille.
  • Le riz de Sushi : Lui, il doit être collant. On le rince juste pour l’excès d’amidon, pas pour qu’il colle moins. Logique non?

Rincer, c’est plus… une habitude, un truc de grand-mère. Mais si ton riz est clean, est-ce que c’est grave ? Je sais pas. On se pose des drôles de questions la nuit.

#Cuisine #Eau De Cuisson #Sel