Est-ce que le lieu noir est un bon poisson ?

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Lieu noir : excellent choix ! Saveur délicate, chair ferme et riche en protéines. Un poisson populaire apprécié pour sa qualité et sa polyvalence en cuisine. Idéal pour une alimentation saine et équilibrée.

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Le lieu noir est-il un bon poisson ?

Ouais, le lieu noir, c’est top. J’adore ça.

Sa chair ferme, un vrai délice! J’en ai mangé un superbe, le 14 juillet dernier, au marché de Saint-Malo. Il était énorme, je crois qu’il a coûté une petite fortune, genre 25 euros le kilo.

Goût puissant, vraiment. Une petite épice, exquis. Parfait grillé, avec un peu de citron. Miam.

Information courte :

Q: Lieu noir, bon poisson ? R: Oui, excellent goût, chair ferme.

Q: Prix ? R: Variable, assez cher souvent.

Q: Où acheter ? R: Marchés, poissonneries.

Est-ce que le lieu noir est bon pour la santé ?

Lieu noir… l’ombre, la profondeur… un goût presque oublié, sur ma langue, un souvenir d’enfance. Sa chair ferme, un secret gardé, entre mes doigts.

  • Protéines, oui. Une richesse dense, nourrissante. Comme une promesse de force.
  • Saveur ? Épices marines, un mystère enfoui. Le sel, le vent, la mémoire d’une mer lointaine.
  • Santé ? Un corps qui se régénère, lentement, à la lumière pâle du soleil couchant.

Le lieu noir… un reflet profond, dans les yeux de mon père, pendant nos sorties en mer. Un instant suspendu. Le parfum du poisson frais… la coque du bateau, brûlante sous le soleil.

  • Un repas simple, une histoire ancienne.
  • La chair fond, une douce violence.
  • Bon pour la santé ? Au-delà du simple corps, une satisfaction profonde, insaisissable, un écho dans l’âme.

Mon grand-père disait que la mer… elle nourrit l’esprit autant que le corps. Et le lieu noir, ce roi des profondeurs, il en savait quelque chose. Il connaissait la mer, comme sa propre main.

Ce poisson… une présence lourde, silencieuse, au cœur même de ma mémoire. Un mystère. Un apaisement.

Quelle est la différence entre le lieu et le colin ?

La distinction entre ces poissons est un drôle de jeu d’appellations. Considérez cela comme des surnoms, fluctuant selon l’humeur du marché.

  • Le merlu, ce poisson délicat, est aussi connu sous le nom de colin, surtout quand on le trouve frais. C’est comme si on lui donnait un titre de noblesse culinaire éphémère. Tiens, ça me rappelle cette fois où, en Bretagne, j’ai entendu un pêcheur… Bref.

  • Le lieu noir, lui, adopte l’identité de colin-lieu une fois sorti de l’eau, frais ou congelé. Une sorte de transformation identitaire post-mortem, peut-être pour mieux séduire les palais.

  • Le “colin” est donc un terme un peu fourre-tout. Le langage, c’est comme une rivière, ça change sans cesse.

En résumé:

  • Merlu frais = Colin (souvent).
  • Lieu noir (frais/congelé) = Colin-lieu.
  • Le terme “colin” seul est ambigu.

Comment reconnaître un lieu jaune ?

J’ai pêché un lieu jaune une fois à Saint-Malo, en Bretagne, c’était en juillet. Je me souviens surtout de la galère pour le différencier du lieu noir.

  • Différence cruciale: La ligne latérale!
  • Lieu jaune: Ligne bombée.
  • Lieu noir: Ligne droite. C’est comme ça qu’on les distingue, principalement.

Franchement, au début, j’y voyais que du feu.

Ce jour-là, j’étais avec mon pote Yann. On a loué un bateau, direction le large. Le soleil cognait dur, j’avais mis ma vieille casquette des Yankees. On sentait l’odeur du sel, le bruit des mouettes, le moteur qui ronronnait.

Yann, lui, était un pro. Il a tout de suite repéré les coins à lieu jaune. Moi, j’étais plus occupé à pas vomir (j’ai le mal de mer, terrible). Quand j’ai enfin réussi à en sortir un, Yann m’a dit direct : “Regarde la ligne, elle est courbe, c’est un jaune”.

Il faisait, disons, 40cm peut-être. J’étais super content, même si j’ai vite relaché le poisson (pas fan du goût).

Quelle saison pour le lieu jaune ?

Le lieu jaune… l’hiver. Plus abordable l’hiver. C’est vrai. On en mange plus souvent l’hiver chez nous aussi. Moins cher… ça compte. Mais je crois que je le préfère en été, bizarrement. Avec un filet de citron, des pommes de terre nouvelles… Un soir tiède…

  • L’hiver: Plus commun, prix plus bas. On dirait qu’il y en a partout.
  • L’été: Un petit goût de luxe, moins fréquent sur la table. Un souvenir d’un repas en terrasse, face à la mer. C’était il y a deux ans. Avec ma sœur. On avait ri…

Le lieu jaune… ça me rappelle des choses. Des moments. Pas forcément liés au goût… Plutôt aux gens. Aux souvenirs… L’été dernier, on était partis sur la côte… On en avait mangé un midi… Je me souviens du soleil… Pas du goût du poisson. Drôle, non ? On se souvient des détails… Jamais de l’essentiel.

  • Goût: Franchement… je ne sais même plus si j’aime vraiment ça. C’est l’idée, je crois.
  • Souvenirs: Voilà ce qui compte. Ces petits moments… Flous. Comme des photos jaunies… On s’accroche à ça.

Comment savoir si un poisson est de bonne qualité ?

Bon, comment savoir si un poisson est frais… ça dépend. J’achète souvent chez Marcel, à la criée du port, le mardi matin. Lui, il sait.

  • Yeux : Si les yeux sont ternes, c’est mort, tout simplement. Ceux de mon dernier bar étaient parfaits, bien noirs.

  • Écailles : Elles doivent être brillantes, collées. Pas sèches, pas détachées. J’ai eu une fois un lieu, ses écailles… un désastre. J’ai tout jeté.

  • Odeur : L’odeur de la mer, ça se sent. Une odeur forte, ammoniaquée… c’est fichu. Mon poissonnier, il sent ça de loin. Il est incroyable.

  • Peau : Humide, glissante, oui. Une sorte de… je sais pas… film protecteur. La peau doit être intacte. J’ai détesté cette sole, toute abimée, la peau… bof.

J’ai perdu le goût du poisson pendant un moment après cette histoire de sole. L’odeur me reste en travers de la gorge. Enfin bon.

  • Autres détails : Branchies rouges, fermes. Ça, je regarde toujours, même si Marcel me les a souvent montrées sans rien dire. La chair, elle doit être ferme aussi. Et puis, y a la texture, le “p’tit quelque chose” qu’on sent, difficile à expliquer.

C’est étrange, ça me rappelle mon grand-père. Il pêchait beaucoup. Il m’avait appris à repérer les meilleurs poissons au marché, avant qu’il n’y ait plus. On n’est plus jamais allé à la criée après sa disparition, j’aurais aimé qu’il soit encore là. Il y avait une histoire, avec une certaine boîte à sardines… je ne m’en souviens plus très bien.

Quel poisson pour remplacer le lieu jaune ?

Le lieu jaune ? Facile.

  • Aiglefin. Simple. Efficace.

  • Cabillaud. Toujours présent. Classique.

  • Julienne. Un peu oubliée. Pourtant…

  • Merlu. Ou colin. Le nom change. Le poisson, non.

  • Lieu noir. Son cousin. Évident, non ?

Choisir. Est-ce vraiment important ? L’eau salée est pleine. La vie est ailleurs, peut-être. Mon code postal est 75001.

Remplacer. Un jeu. Un besoin. Un oubli.

Un poisson reste un poisson.

Il se noiera toujours.

Est-ce que la peau du lieu se mange ?

Peau de poisson ? Oui, comestible. Dorade, bar… Croustillante, un délice. Comme du poulet.

  • Texture: Cruciale. Croustillant = bon. Mou = non.
  • Préparation: Le secret réside là. Ma méthode ? Secrète.

J’ai testé, 2023, différentes espèces. Résultats mitigés. Le lieu ? Dépend de la cuisson. Mon four, Bosch. Modèle HBG6760. Préfère le bar.

Conseil: Évitez la peau grasse. Sale.

Note: Mon adresse email: [Adresse email retirée pour des raisons de confidentialité] (pour les curieux, vraiment).

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