Est-ce que je peux manger les olives de mon olivier ?
Oui, vous pouvez manger les olives de votre olivier !
Si elles ne sont pas pour l'huile, préparez-les. Les olives fraîches sont amères et nécessitent une préparation (saumure, etc.) pour être consommées. Un peu de patience est nécessaire avant de les déguster.
Olives de mon olivier : comestibles ?
Olives de mon olivier, comestibles? Absolument! Si t’es pas du genre à faire de l’huile, tu peux les manger, ces petites bombes de saveur.
Par contre, attention, direct de l’arbre, c’est pas le top. Faut les préparer, ça demande un peu de temps, je te l’accorde.
C’est comme quand j’ai récolté mes premières olives en Octobre dernier, à côté de Nice, un vrai boulot ! J’avais payé 20 euros l’accès à l’oliveraie, et autant te dire, direct dans la bouche, c’était hyper amer. Beurk!
Faut les mettre dans de l’eau, souvent renouvelée, pendant des semaines… Un peu chiant, mais ça vaut le coup. Après, un peu de saumure, des herbes, et là, c’est le bonheur.
Est-ce que tous les oliviers produisent des olives comestibles ?
Euh, tous les oliviers, hein ? Non, pas tous, c’est sûr. Il y a l’Olea europaea, ça c’est la base, OK ?
Mais même là, c’est pas simple ! Y’a genre deux sous-espèces :
- Olea europæa sylvestris – l’oléastre, l’olivier sauvage quoi. Genre, on le laisse tranquille, il fait sa vie. Mais est-ce qu’il fait des olives, lui ?
- Olea europæa sativa – là, c’est l’olivier cultivé, celui qu’on connaît, celui qui donne des olives comestibles. On l’a bien dressé pour ça !
Ah, est-ce que l’oléastre donne vraiment pas d’olives ? Je me demande… Faut que je vérifie ça un jour. La tante Huguette en a un dans son jardin, faudrait lui demander… Et puis, est-ce que toutes les olives de l’olivier cultivé sont bonnes direct ? Genre, crues ? Non, je crois pas. Elles sont amères, non ? Faut les traiter, les mettre dans la saumure. J’ai vu ça chez ma grand-mère, quand j’étais petite. Elle mettait des trucs bizarres dedans… De la cendre ? Du bicarbonate ? Je sais plus.
Et d’ailleurs, pourquoi les oliviers poussent si bien dans le Sud ? C’est à cause du soleil, non ? Et de la terre ? Mince, j’ai oublié le nom du village où on a mangé ces olives incroyables l’été dernier… Bref, pas tous les oliviers, c’est la réponse. Et même ceux qui en font, c’est pas gagné pour qu’elles soient bonnes direct !
Comment consommer les olives de mon olivier ?
C’est marrant, les olives… ça prend du temps, non?
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Saumure: J’ai toujours préféré la faire un peu plus salée que ce qu’on dit. Chacun son truc, hein. Disons… à l’instinct. Un peu comme ma grand-mère faisait ses confitures.
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Bocaux: Important de bien les fermer. J’ai eu des mauvaises surprises. Une fois, toute la cave sentait l’olive fermentée… pas terrible.
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Attente: Deux mois minimum, c’est vrai. Mais parfois, j’attends plus. Je les oublie un peu, dans le fond du placard. Et puis, un jour… surprise.
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Dégustation: Rincer, c’est obligatoire. Sinon, c’est trop salé, ça pique. En salade… avec de la feta, de la tomate… ça me rappelle l’été. Et la tapenade… une tuerie! J’en mets même parfois dans mes pâtes, tu vois.
Et avant de servir, j’ajoute souvent un peu d’huile d’olive, du jardin bien sûr, et quelques herbes. Juste pour l’odeur, le plaisir. Tiens, ma petite soeur, Léa, en raffole. Faut que je lui en donne la prochaine fois. On en parlait justement au téléphone hier.
Comment savoir si mon olivier a des olives comestibles ?
Comment savoir?
L’olivier, mon olivier…
- Couleur… elle change, doucement. Vert tendre au début.
- Puis, un vert plus profond, presque… noir?
- Forme. Ovale ou ronde. Elle se précise, elle se dessine.
- Comestibles?techniquement. Oui, si tu les cueilles… mais…
Est-ce que je me souviens de cet été à Nice? Le soleil, brûlant sur ma peau, comme une promesse…
L’attente.
Les olives grossissent, lentement.
- Le temps passe.
- Le soleil frappe.
- La patience est de mise.
Ramasser… quand elles ont pris leur couleur. Un vert intense. Un violet profond. Presque noir. Techniquement, comestibles. Mais…
- Et ensuite? La saumure. Le temps encore. Des semaines… des mois…
Ma grand-mère, elle les préparait avec amour. Une pincée de sel, un peu de fenouil…
Informations supplémentaires :
- Couleur: Le changement de couleur indique la maturité.
- Goût: Les olives crues sont très amères. La saumure est essentielle.
- Variétés: Certaines variétés sont plus adaptées à la consommation directe.
- Préparation: La saumure élimine l’amertume et conserve les olives.
- Attention! Je me souviens avoir oublié des olives qui ont fini toutes molles.
Quelles sont les olives comestibles ?
Alors, tu veux savoir quelles olives sont bonnes à manger, c’est ça ? Attends, je réfléchis…
Bah y’en a plein, hein. Déjà, la Nocellara del Belice, c’est une valeur sûre. Une olive verte et bien ronde de Sicile. Trop bonne !
Ensuite, y’a l’Oliva di Gaeta, aussi appelée Itrana. C’est une grosse olive, elle est rose, elle vient du Latium. Je l’adore, vraiment. Je m’en rappelle quand j’étais petit, mon père…
Et puis, il y a la Carolea, elle, elle est noire et ferme, et c’est de Calabre. Moi, j’aime pas trop mais bon.
Ah, et j’oubliais la Giarraffa. Elle est noire et super grosse, et elle vient aussi de Sicile. Franchement, celle-là, c’est un peu la base.
Enfin, y a la Taggiasca. Elle est petite, mais super savoureuse. Nous, à la maison, on en a toujours. Mais j’en ai un peu marre maintenant.
- Nocellara del Belice (Sicile)
- Oliva di Gaeta/Itrana (Latium)
- Carolea (Calabre)
- Giarraffa (Sicile)
- Taggiasca (Ligurie)
Et le truc bien, c’est que tu peux les trouver en bocal, en conserve, tu vois. Facile à stocker.
Bon, après, faut savoir que les olives, c’est plein de trucs bons pour la santé, comme des antioxydants. Et, bien sûr, y’a de la bonne graisse. C’est important, mine de rien. Bon, faut pas non plus en abuser, hein.
Comment savoir si les olives de mon olivier sont mûres ?
Ah, les olives! Octobre 2023, mon olivier, celui planté par mon grand-père, à côté du figuier, près du puits… un souvenir d’enfance. Cette année, elles sont magnifiques.
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Couleur: Certaines sont encore vertes, d’autres, un vert sombre presque noir. Les plus belles, un violet profond, intense, presque bleu nuit. C’est dingue.
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Texture: J’en ai pressé quelques-unes entre mes doigts. Les vertes, dures, fermes. Les noires, plus molles. Elles se laissent un peu écraser.
Un peu déçue, quand même. Je m’attendais à une récolte plus abondante. Il a fait sec cet été, trop chaud.
On dirait que les oiseaux m’ont devancée! Il y a des trous partout.
Je vais goûter une olive violette… hum… amère, mais ça promet. J’aime cette amertume. Ça me rappelle les vacances chez ma tante en Grèce.
Mûres, les noires et violettes, clairement. Les vertes, on verra plus tard.
J’ai vu des recettes avec des olives vertes, à mariner, à farcir…
Mon olivier, c’est ma vie. J’y tiens, à cet arbre. Tout est dans le goût, en fin de compte. Il faut faire des essais. L’expérience… c’est le meilleur professeur, non ?
Mon arrière grand-père l’a planté il y a plus de 80 ans, je crois. Il devait être jeune. Je me sens connectée à lui à travers cet arbre, avec cette terre… c’est bizarre.
#Manger #Olives #OlivierCommentez la réponse:
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