Comment puis-je décoller du riz froid ?

Comment décoller ce satané riz froid, hein ? On dirait parfois qu’il est collé pour la vie ! J’ai passé des matins entiers à lutter contre ça, vous savez, ce genre de combat silencieux contre un ennemi gluant et obstiné. Comme cette fois où j’avais préparé un énorme plat de riz pour un repas de famille… un vrai marathon culinaire ! Et le lendemain, horreur ! Impossible de séparer les grains, c’était une masse compacte, un bloc monolithique, presque intimidant.

Alors, comment j’ai appris à dompter cette bête gluante ? Eh bien, en gros, il faut le rincer, mais pas n’importe comment ! Pas un petit coup de jet d’eau, non, un vrai rinçage sous l’eau courante, froide de préférence, comme si vous vouliez lui faire prendre un bain glacé pour le réveiller ! J’utilise une passoire, évidemment, sinon c’est la catastrophe assurée. Imaginez : du riz partout dans l’évier, une scène digne d’un film catastrophe culinaire ! On dirait presque qu’il s’accroche, le coquin !

Ensuite, à la fourchette, doucement, on démêle les grains. On a presque l’impression de faire de la coiffure pour des petits grains de riz rebelles ! C’est un travail minutieux, un vrai travail de patience, mais ça marche. L’eau froide, c’est magique, elle dissout l’amidon. J’ai lu quelque part – je crois que c’était sur un blog, ou peut-être un magazine… je ne me souviens plus vraiment – qu’il y a une explication scientifique derrière tout ça, quelque chose avec des molécules et des liaisons… bref, on retient le principal : l’eau froide fait des miracles ! Sans elle, c’est la galère assurée, on se retrouve avec une bouillie informe, inmangeable… ou presque.

Bref, après avoir subi quelques traumatismes rizicoles, j’ai enfin trouvé LA méthode. Maintenant, je peux dire adieu aux grumeaux et bonjour à un riz froid parfaitement décoté ! Enfin, presque parfaitement… parfois, un ou deux grains résistent encore, les petits rebelles. Mais bon, on ne peut pas tout gagner, non ?