Comment dessaler la morue avec du lait ?

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Oh là là, dessaler de la morue au lait, quelle idée originale ! Jai des doutes. Bien sûr, le lait pourrait peut-être aider un peu, en absorbant un peu de sel, mais je crains que le goût du poisson ne soit irrémédiablement altéré. quatre heures dans leau, cest un minimum, mais franchement, je préfère la méthode traditionnelle. Le lait, je le réserve pour la sauce… Pas pour le dessalage !

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Alors, la morue dessalée au lait… Ah là là, je dois dire, quand j’ai entendu ça pour la première fois, j’ai eu un mouvement de recul. Du lait ? Pour dessaler ? C’est comme mettre du ketchup sur une pizza, non ?

Je veux dire, oui, peut-être que le lait, avec ses graisses, pourrait théoriquement capturer un peu du sel, une sorte d’aimant à chlorure de sodium… mais honnêtement, je suis terriblement sceptique. Et puis, le goût ! Est-ce qu’on ne risque pas de se retrouver avec une morue au goût… de lait ? C’est la question qui me taraude.

Moi, je suis du genre tradition, vous voyez. La bonne vieille méthode à l’eau, on ne se trompe pas. On la change toutes les heures, cette eau, pendant au moins quatre heures, voire plus, selon le morceau et son degré de salaison, bien sûr. Ma grand-mère, elle faisait ça pendant une journée entière ! Et on a toujours eu une morue parfaitement dessalée, ni trop, ni trop peu.

J’avoue, j’ai une fois essayé une technique “moderne” avec du bicarbonate, un truc que j’avais lu sur internet. Catastrophe ! La morue était spongieuse, un désastre. Je me suis juré de ne plus jamais m’éloigner des méthodes de grand-mère.

Le lait, pour moi, il a sa place, bien sûr. Dans une bonne béchamel crémeuse pour accompagner le poisson, là, on parle ! Mais pour “sauver” une morue trop salée ? Je suis dubitative. Je me demande si quelqu’un a vraiment testé ça sérieusement… Je sais pas, peut-être que je me trompe, hein ? Peut-être que ça marche du tonnerre… Mais je reste fidèle à mon eau. Et puis, c’est plus simple, non ? Pas besoin de gaspiller du lait ! Enfin, c’est juste mon avis, hein. Chacun sa tambouille !