Comment désalcooliser une boisson ?

Comment désalcoholiser facilement une boisson ?

J’ai testé un truc similaire, disons… fin août 2023, chez moi. J’avais une bouteille de Merlot un peu trop forte. J’ai essayé de la faire mijoter doucement, à couvert, sur ma cuisinière.

Le résultat ? Bof. Le goût était… bizarre. Perdu le fruité, devenu un peu plat. Pas terrible, en somme. L’alcool était parti, certes, mais le plaisir aussi.

Q : Comment désalcooliser une boisson facilement ?

R : L’évaporation douce à basse température est une option, mais attention à ne pas dénaturer le goût.

Comment désalcooliser du vin rouge ?

Alors, tu veux jouer à l’alchimiste du dimanche et transformer ton Bordeaux en jus de raisin sophistiqué ? Intéressant… Disons que tu as deux options, un peu comme choisir entre un marteau et un scalpel pour une opération à cœur ouvert.

• Distillation ou évaporation sous vide : C’est la méthode “scientifique”. On chauffe le vin à basse température (30° à 50°C, pas plus, sinon adieu les arômes !) sous vide. Imagine la scène : l’alcool, ce petit diable volatil, s’évapore et on le capture. Les arômes, eux, suivent le mouvement, coquins ! C’est un peu comme séparer des jumeaux siamois en essayant de ne pas les blesser.

Tu sais, ma tante Gertrude essayait ça avec du Beaujolais Nouveau une année. Le résultat ressemblait davantage à une vengeance qu’à un breuvage… Charmant, mais imprévisible.

• Pourquoi faire simple ? Tu pourrais aussi… non, en fait, non. Gardons les choses simples. Ou compliquées, ça dépend de ton humeur.

Le hic ? On ne désalcoolise pas du vin rouge comme on fait du café soluble. Il faut un équipement spécialisé. À moins que tu aies un labo secret dans ta cave, c’est mission impossible. Bon courage, l’artiste !

Comment désalcooliser ?

Désalcooliser, hein ? Pfff… C’est compliqué, ça. Deux étapes, paraît-il.

• Colonne de distillation: C’est ça, le truc. 30°C, j’ai retenu ça. Arômes récupérés en premier. Pourquoi 30°C ? Mystère. J’devrais me renseigner. C’est quoi, déjà, un composé volatil ?

• Deuxième passage: Là, c’est l’alcool qui s’en va. Totalement. Ou presque ? J’ai un doute. Est-ce que ça change le goût vraiment ? J’ai bu un vin désalcoolisé une fois… Beurk. Non, c’était du jus de raisin, en fait. Je suis sûre.

Alors, le processus… J’ai vu un truc sur internet, un schéma… Mais j’ai pas tout compris. Trop technique. Et puis, j’ai perdu le lien. Dommage.

Vin désalcoolisé: Est-ce que c’est vraiment du vin ? Philosophie, ça ! J’vais boire un verre, moi. Du vrai, celui-là. Avec de l’alcool. Enfin, peut-être pas une bouteille entière… Zut, j’ai faim. Pizza ?

Points importants: température, deux passages, mystère du goût. C’est tout ce que je retiens pour l’instant. Peut-être que je devrais noter ça dans mon agenda… ou sur un post-it ? Non, je vais oublier.

J’ai un chat. Il s’appelle Azor. Il est roux. Il a fait caca dans le bac à sable de ma fille aujourd’hui. Je me souviens plus du reste… Ah si, j’ai un rendez-vous chez le dentiste la semaine prochaine. J’ai peur des dentistes. Faut que j’arrête de boire du vin. C’est peut-être pour ça que je suis fatiguée.

Comment désalcooliser une bière ?

Dans la nuit, je repense à ça… désalcooliser la bière. Chauffer… 80 degrés… Trente minutes. C’est long, trente minutes à regarder le liquide frémir. On perd quelque chose, à faire ça.

• Chaleur. Elle change tout. La texture, le goût… On dirait que le cœur s’en va.
• Alcool. C’est lui qui donne le corps, la rondeur. Sans lui, c’est… vide. Fade.
• 80 degrés. J’ai essayé une fois. Avec ma stout préférée. Catastrophe.

Je me souviens de l’odeur… Aigre, douceâtre. Plus du tout ce parfum de malt grillé que j’aimais tant. Un gâchis. J’aurais mieux fait de la boire telle quelle. Même si… parfois, j’aimerais juste le goût, sans l’effet. C’est idiot, je sais.

Une fois, j’ai fait chauffer trop fort. 90 degrés. Ça sentait le caramel brûlé. Horrible. J’ai tout jeté. Directement dans l’évier. Du gâchis, encore.

• Temps: 30 minutes, c’est trop long, je pense. Peut-être 20… 25?
• Température: 79… juste au-dessus. Suffisant? Je ne sais pas.

Je crois que je ne recommencerai plus. Trop compliqué. Trop risqué. Je préfère encore boire un jus de fruit. Ou juste de l’eau. C’est plus simple. Moins de… déception. C’est peut-être ça, le problème. La déception.

Est-ce que le vin rouge part au lavage ?

Ah, le vin rouge… une catastrophe sur le blanc, hein ?

Bon, alors, le vin rouge et le lavage. Est-ce qu’il part ? Disons que ça dépend. Mais oui, y a des chances si tu t’y prends bien.

• Savon de Marseille: Frotter à sec direct, ça aide. Ma grand-mère jurait que ça marche. Je me souviens elle lavait ses nappes avec ça.
• Machine à 40°C: Après le savon, hop, machine. J’utilise toujours cette température, même pour les trucs délicats.
• Farine ou talc: Saupoudrer, laisser sécher, brosser. C’est un peu comme un cataplasme pour la tache. Ma voisine Chantal fait ça.

Pourquoi on boit du vin rouge d’ailleurs ? C’est bon, mais qu’est-ce que c’est salissant ! Et si ça marche pas, la javel? Non, surtout pas !

Mais au fait, pourquoi je m’inquiète du vin rouge ? Je bois jamais de rouge, moi. Plutôt rosé, ça tache moins, non ? Ou du blanc… Tiens, j’ai soif.

Ah, et si c’est vraiment fichu, le vêtement peut servir de torchon, non? Ou pour essuyer les pattes de mon chat.

Comment enlever une tache de vin rouge incrustée ?

Mercredi dernier, purée, catastrophe ! Robe crème, soirée chez Sophie. Verre de Bordeaux, hop, sur la robe. J’ai paniqué. Sophie, elle, super calme. On a direct tamponné avec des serviettes. Rien. La tache, rouge vif, impossible. On a couru à la cuisine. Vinaigre blanc, on en avait. Alcool à 70°, aussi. Pas de dosage précis, on a fait au pif. Trempé la robe. Attendu. 20 minutes, je crois. Angoisse totale. Miracle, la tache s’est estompée. Presque partie. Lavage en machine après. Robe sauvée. Ouf !

• Tamponner direct. C’est la base. Avec un chiffon propre et blanc.
• Vinaigre blanc et alcool. Efficace, testé et approuvé.
• Bicarbonate et citron. Sophie m’a dit que ça marchait aussi. Pas testé personnellement.
• Pas frotter. Ça empire les choses, Sophie me l’a bien dit.
• Eau gazeuse. J’ai entendu dire. Jamais essayé.

Ma robe était en lin. Important pour le type de tissu je pense. Sophie, elle, m’a dit qu’une fois sur du soie, elle avait utilisé du lait. Chaud. Apparemment, ça marche bien. Mais là, je n’ai pas testé. Lin, vinaigre/alcool, top !

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