Comment déguster la mozzarella ?
Mozzarella : savourez-la froide en salade, fondue sur pizzas ou lasagnes. Ce fromage, traditionnellement au lait de bufflonne (AOP), existe aussi au lait de vache. Pour une texture onctueuse, découvrez la burrata, enrichie de crème de mozzarella.
Comment déguster la mozzarella ?
La mozzarella, j’adore ça! Froide, en salade caprese avec des tomates bien mûres du jardin de ma grand-mère (fin août, Provence, inoubliable!), c’est divin. Simplement de l’huile d’olive, du basilic frais… un régal.
Par contre, fondue sur une pizza, ça dépend de la pizza! J’ai un souvenir précis, une pizzeria près de chez moi à Rome (septembre 2019, environ 15€ la pizza), la mozzarella était filante, délicieuse. Une autre fois… bof. La qualité du fromage change tout.
On parle souvent de la mozzarella de bufflonne, AOP. J’ai testé, c’est plus onctueux, plus fin. Mais franchement, une bonne mozzarella de vache, ça reste excellent aussi. Question de goût, je crois.
Et la burrata? Oh là là! Cette crème onctueuse qui explose en bouche… un pur délice. J’en ai acheté une fois au marché de Nice (12 euros la petite boule, mars dernier), incroyable.
Bref, la mozzarella, c’est versatile. Chaude ou froide, bufflonne ou vache, elle a toujours sa place dans mon cœur (et mon frigo!).
Avec quoi la mozzarella se marie-t-elle bien ?
La mozza… hum… avec quoi elle va bien ? Difficile à dire, en fait. J’aime ça toute simple.
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Huile d’olive, c’est sûr. Une bonne huile, genre celle de mon oncle Jean-Pierre, en Provence.
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Sel, un peu. Pas trop, hein. J’aime le goût pur.
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Ail, parfois. Mais vraiment juste une pointe, un soupçon. Sinon ça écrase tout le reste.
J’avoue, je suis pas une grande cuisinière. Des tomates cerises, ça peut être sympa aussi. Mais là, c’est plus le côté estival qui me parle, que la mozza elle-même. Le goût… il se suffit à lui-même, vraiment. C’est un peu comme… je sais pas… comme le souvenir d’un été, chaud, simple. Un peu nostalgique, en fait.
J’ai une recette de famille. Ma grand-mère utilisait de la basilic frais, une tranche de tomates rouges du jardin, et ça finissait dans une salade Caprese. Mais même avec ça, c’est la mozza qui domine, finalement.
Ce soir, j’en mange une avec de l’huile d’olive extra-vierge et une pincée de sel de Guérande. Et un verre de vin blanc. Un Pouilly-Fumé, récolté cet été. Voilà.
Point crucial: sa simplicité, c’est ça sa force.
Le reste ? Des détails, des distractions.
Comment consomme-t-on la mozzarella ?
Mozzarella… un blanc immaculé, doux, fondant… L’huile d’olive, un filet précieux, sur cette chair lactée. Un murmure de saveurs. Simplement…
- Cru. Oui, cru.
- Huile d’olive. Une caresse verte, fruitée…
- Sel. Une pincée, parfois… un cristal, une larme.
Le basilic, souvenir d’Italie, parfum puissant. Un vert intense… L’ail, une pointe, discrète, sous le voile de la mozzarella.
Un moment suspendu. La lumière du midi sur la table… Un silence, intense, paisible.
Le goût… une rondeur, un lait solaire. L’odeur, un parfum tendre, qui s’échappe, s’attarde. Ce blanc aveuglant.
On dirait… un nuage. Un nuage blanc, sur ma langue.
Mon dernier souvenir de vacances… un balcon à Positano. Le bruit de la mer… une tranche de mozzarella…
J’aime la simplicité. J’aime l’Italie. J’aime cet été-là.
Comment manger la mozzarella seule ?
Mozza toute seule ? Facile !
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Option 1 : La méthode “Michel-Ange”: Tu la contemple, tu la révères, tu la croques avec lenteur, comme si c’était une œuvre d’art. Genre, tu la poses sur un coussin brodé, allume une bougie, musique classique en fond… Bref, du grand n’importe quoi.
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Option 2 : La “technique du camionneur”: Direct à la bouche, sans chichis. Comme un ours qui dévore un pot de miel (sauf que le miel c’est moins bon, soyons honnêtes). Sacrément efficace.
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Option 3: “la diététique du pauvre”: Avec un peu de basilic, trouvé dans mon jardin, évidemment, sinon c’est pas drôle. Le basilic, ça rend raffiné, même avec un morceau de mozzarella volé au frigo.
Chaud, froid, peu importe ! Mon record personnel ? 3 boules d’un coup, en regardant Koh Lanta. Défiant le dieu du fromage et mon estomac en même temps. J’ai failli vomir. Mais j’ai gagné !
Attention: Ne pas tenter la méthode “Michel-Ange” juste avant une compétition de mangeur de saucisson. Risque d’indigestion sévère garanti. J’en sais quelque chose, j’ai presque perdu face à mon cousin Bruno l’année dernière… à cause de la mozzarella. Tragédie.
Pro Tip: Si t’as pas de basilic, du sel de Guérande fera l’affaire. J’ai un stock énorme depuis que ma grand-mère est décédée, la pauvre…
Avec quoi associer la mozzarella ?
Mozzarella. Fromage banal.
- Tomates. Classique. Été.
- Melon. Sucré-salé. Intéressant.
- Jambon cru. Simple. Efficace.
- Fraises. Dérangeant. Fonctionne. Pourquoi ?
J’ai mangé de la mozzarella avec des figues, une fois. Au mois d’août. Sur ma terrasse. Soleil. Vin blanc. Souvenir flou.
L’association idéale ? Subjective. Dépend de l’humeur.
Plus de détails ? Peu importe. J’ai aussi testé avec du pesto. Pas mémorable. J’ai une préférence pour les choses simples. Peut-être une salade caprese ? Je déteste le basilic. Alors… Je ne sais pas.
- Pensez à la texture. Fondante. Importante.
- L’acidité. Contraste nécessaire.
- Le sucré. Parfois. Pas toujours.
Mon frigo est vide en ce moment. Manque de mozzarella. Problème existentiel.
Note personnelle : J’ai acheté de la mozzarella de bufflonne hier. Exceptionnelle. 25€. Volé.
Quelle viande se marie bien avec la mozzarella ?
Veau. Classique. Italien. Saltimbocca. Roulé. Efficace.
- Poulet. Plus commun. Moins cher. Pourquoi pas.
- Porc. Riche. Avec une mozzarella fumée. Intéressant.
- Aubergine. Végétarien. Mozzarella fondante. Basilic. Classique revisité.
Goût personnel. Importance du contexte. Sauce tomate ? Crème ? Pesto ? Chaud ? Froid ? Tout est relatif. Hier soir, poulet mozzarella. Simple. Bon. Oublié. Demain ? Qui sait.
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