Quand ton patron te manque de respect ?

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En cas de manque de respect de votre supérieur :

  • Parlez-en directement et respectueusement, en privé.
  • Écoutez attentivement sa réponse pour comprendre.
  • Si le problème persiste, alertez les RH.

Cette approche permet une résolution constructive et protège vos droits.

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Quand ton patron te manque de respect… Aïe, sujet sensible, hein ?

Bon, je vais te dire, ça m’est arrivé, et c’est le genre de truc qui te ronge de l’intérieur. On se sent petit, humilié, et surtout, on se demande : “Mais qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ?”.

Alors, voilà comment je vois les choses, d’après ce que j’ai appris, parfois à la dure :

  • En parler, direct, mais avec respect. Genre, pas le confronter devant tout le monde. Discrètement, dans son bureau. Un truc du genre : “Chef, j’ai l’impression que votre remarque d’hier, elle…elle m’a un peu blessé. Est-ce que je me trompe ?”. C’est dur à faire, je sais, mais crois-moi, c’est important. Moi, la première fois, j’ai bafouillé comme pas possible, mais au moins, j’ai osé.

  • Écouter sa réponse, vraiment. Essayer de comprendre, quoi. Peut-être qu’il n’avait pas conscience de son attitude ? Peut-être qu’il est juste maladroit ? Mon ex-patron, par exemple, il était hyper cash, sans filtre. Au début, je le prenais pour du mépris, mais en fait, c’était juste… lui. Il avait zéro tact. Du coup, en l’écoutant, j’ai réalisé que c’était pas contre moi, c’était sa façon d’être. Est-ce que ça excusait tout ? Non, bien sûr. Mais ça permettait de relativiser.

  • Si ça continue, là, faut pas hésiter : direction les RH. C’est pas de la délation, hein. C’est se protéger. J’ai une amie, elle a laissé traîner un truc comme ça pendant des mois. Elle était tellement mal, elle en dormait plus. Finalement, elle a parlé aux RH, et ils ont pris des mesures. Pourquoi elle a pas fait ça plus tôt, franchement ?

L’idée, c’est d’essayer de régler le problème de manière constructive, en douceur, si possible. Mais faut pas se laisser marcher sur les pieds, c’est clair. Et n’oublie jamais : tu as des droits, et tu n’es pas obligé de subir ça. C’est ta santé mentale qui est en jeu, bordel !