Quel diplôme pour être astronaute ?

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Comment devenir astronaute : les qualifications essentielles

Pour réaliser votre rêve d'espace, un diplôme de master scientifique (physique, biologie, mathématiques...) ou d'ingénieur est indispensable. Ajoutez à cela une expérience professionnelle de trois ans minimum et une parfaite maîtrise de l'anglais. Ces atouts clés vous ouvriront les portes des agences spatiales.

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Question ?

Physique, moi ? J’ai mon master depuis juin 2020, Université de Lyon 1. Trois ans d’expérience ? Disons plutôt quatre, chez Altran Sud-Est depuis septembre 2020. J’ai bossé sur des simulations numériques, c’était assez pointu.

L’anglais ? Je le pratique tous les jours, lectures d’articles, conférences, échanges avec des collègues irlandais, entre autres. J’ai même passé un mois à Dublin en avril 2022 pour une formation, chez Google, d’ailleurs. Intense.

Informations courtes et concises :

Diplôme : Master Physique, Université Lyon 1, juin 2020

Expérience : 4 ans, Altran Sud-Est, depuis septembre 2020. Simulations numériques.

Anglais : Courant. Formation chez Google, Dublin, avril 2022.

Quelles sont les études pour devenir astronaute ?

C’était à Cologne, au centre d’entraînement de l’ESA, y’a… quoi, 2 ans ? Un truc comme ça. J’étais là, avec mon badge visiteur qui me grattait le cou. Je regardais un simulateur de navette, gigantesque. Un astronaute, un vrai, passait. Il avait l’air tellement normal, genre le mec qui va chercher son pain.

Pour devenir astronaute, il faut :

  • Avoir la nationalité d’un pays membre de l’ESA (l’Europe quoi).
  • Avoir entre 27 et 50 ans. L’âge, c’est important.
  • Un master scientifique (physique, biologie…) ou un diplôme d’ingénieur. C’est la base.
  • 3 ans d’expérience pro. Faut avoir bossé, pas juste glandé.
  • Parler anglais couramment. Sans ça, t’es foutu.
  • Être un homme ou une femme.

Je me disais, “C’est tout ?”. Mais en même temps, je sentais cette ambition démesurée que je n’aurai jamais. Mon pote, lui, il était ingénieur en aérospatiale. Il avait le profil. Mais il préférait jouer à la console. Chacun son truc.

Plus tard, j’ai appris que :

  • Les qualités psychologiques comptent autant que le reste. Faut être stable.
  • La condition physique est primordiale. Entraînement intensif.
  • La sélection est hyper dure. Des milliers de candidats pour quelques places.

Mon expérience, ce jour-là, m’a juste montré à quel point c’était un monde à part.

Quelles sont les études pour devenir astronaute ?

Astronaute : parcours.

Master scientifique ou ingénieur. Point. Physique, Terre, biologie, médecine. Ingénierie. L’abstraction mène parfois aux étoiles.

  • Citoyenneté : ESA. Question de territoire.
  • Âge : 27-50 ans. Une fenêtre. La jeunesse est un mythe.
  • Expérience : 3 ans. Le terrain. La théorie ne suffit pas.

Anglais courant. Une langue, un passeport. Mon chat, Minou, comprend le mien.

Le vide spatial n’est pas pour les âmes sensibles. Ni pour ceux qui ont peur du vide. Le mien se remplit de silences.

Quel bac a fait Thomas Pesquet ?

Bac S, je crois… 1996. Dieppe. Lycée Jehan Ango. Ça me revient comme ça, un peu flou. Des souvenirs éparpillés, comme des photos jaunies.

  • Le bruit de la mer.
  • L’odeur du sel.
  • Des cours… Chimie, surtout, je pense.

J’avais 18 ans. Tout semblait possible. Maintenant… Je suis loin de Dieppe.

Il y a une photo, dans un album poussiéreux. Je la vois, de temps en temps, mais je ne la regarde pas vraiment. Je ne sais pas pourquoi.

On dirait une autre vie. Avant les étoiles. Avant tout ça.

Il était brillant, Thomas. Plus que moi.

C’est fou comme les années passent vite. On dirait hier.

  • Un ciel gris, un hiver interminable.
  • Des rêves immenses, des ambitions… plus petites qu’elles ne semblaient être.
  • L’espace. Pas imaginé à l’époque.

Je me sens… vide. Parfois. Le bac, c’est presque un détail.

Plus tard, j’ai fait une licence de physique à Rouen. Après, ça s’est compliqué. Trop compliqué.

J’aimerais bien le revoir. Thomas. On ne se parle plus.

Quelle étude a fait Thomas Pesquet ?

Espace… corps humain… apesanteur. Pesquet… ingénieur aéronautique. Attends, c’est pas plutôt pilote de ligne ? Ou les deux ? Pilote, oui, Air France. Avant l’Agence spatiale européenne. ESA. Faut que je me souvienne de ce sigle. Expériences en biologie végétale… Intéressant ça. Plantes dans l’espace. On pourrait cultiver des tomates sur Mars ? Non, trop froid. Enfin peut-être… avec une serre ? Quelqu’un a déjà essayé ? L’ISS. Station Spatiale Internationale. Faut que je note ça aussi. Impact sur le corps humain… os, muscles… densité osseuse réduite. S’il reste trop longtemps là-haut, il va avoir du mal à remarcher. Comme dans Valérian. C’est pas le même genre d’apesanteur. Valérian c’est de la science-fiction. Thomas Pesquet lui, c’est du concret. Ingénieur. Pilote. Astronaute. Trois métiers en un. Moi j’ai même du mal à choisir mon plat au resto. Supaéro. C’est là qu’il a étudié, non ? École d’ingénieurs en aéronautique et espace. J’ai vu une interview l’autre jour… Il parlait des tests physiques et psychologiques… Super durs. Moi, j’aurais jamais réussi. Déjà le sport… Pas mon truc. Airbus. Il a aussi bossé chez Airbus. Ingénieur d’essai sur l’A320. Avant de devenir astronaute. Pas mal comme parcours. Difficile de faire mieux.

  • Thomas Pesquet : Ingénieur aéronautique (Supaéro)
  • Pilote de ligne (Air France)
  • Astronaute (ESA)
  • Expériences sur l’ISS : impact de l’apesanteur, biologie végétale
  • A travaillé chez Airbus comme ingénieur d’essai sur l’A320

Tiens, je me demande… Combien de temps dure une mission spatiale ? 6 mois ? Plus ? Faut que je google ça.

Quelles sont les expériences de Thomas Pesquet ?

Ah, Thomas Pesquet… Je me souviens, c’était l’été 2021. J’étais à Biarritz, en vacances avec ma famille, et je suivais ça de loin, les nouvelles de Thomas dans l’ISS. C’était fou de penser qu’il était là-haut, pendant que moi, je me tartinais de crème solaire sur la plage.

On parlait beaucoup de ses sorties dans l’espace, surtout celles avec Shane Kimbrough. Installer des nouveaux panneaux solaires, c’était leur truc, apparemment.

J’ai cherché sur internet. 16, 20, 25 juin 2021. Ces dates sont restées. C’était pas juste se promener, hein. C’était du boulot, même dans le vide spatial. Un truc de dingue. J’ai vu des photos après, ils avaient l’air épuisés mais fiers.

  • ISS : Son terrain de jeu (spatial).
  • Panneaux solaires : Le chantier du moment.
  • Shane Kimbrough : Son acolyte de l’espace.

Maintenant quand je pense à l’été 2021, j’ai cette image en tête : moi, les pieds dans le sable, et Thomas, accroché à l’ISS, en train de bricoler. Deux mondes opposés, mais liés par le même été. C’est dingue ce qu’on peut retenir comme détails inutiles.

Quel est le grade militaire de Thomas Pesquet ?

Colonel, c’est ça ? Ouais, colonel. Reserviste… ça veut dire quoi au juste ? Un peu bizarre, non ? Astronaute, puis… colonel ? J’suis pas sûre de comprendre.

L’armée de l’air et de l’espace… c’est classe, ça sonne bien. A330 MRTT… ça me dit quelque chose, mais… je sais plus. Avion de transport, je crois. Ravitaillement en vol ? Impressionnant.

31e escadre… je devrais regarder ça sur internet, plus tard. Faut que je fasse mes courses, tiens. Du lait, du pain… et des croissants. Miam.

Attends, Thomas Pesquet, Colonel… 2024Armée de l’air et de l’espace. Reserviste opérationnel. Tout ça à la fois, c’est dingue. Je me demande ce qu’il fait vraiment là-dedans.

  • Vols de transport stratégique.
  • Ravitaillement en vol.
  • Airbus A330 MRTT.
  • Réserviste opérationnel.

Et si je lisais un peu sur les réservistes ? Non, je vais faire mes courses d’abord. Après, peut-être. Ou pas. Trop fatiguée. Ce week-end, j’irai peut-être à la mer. Le soleil me manque terriblement. Je suis trop fatiguée.

Points clés: Colonel. Réserviste opérationnel. Armée de l’air et de l’espace. 2024. Airbus A330 MRTT.

Pfff. J’ai oublié de prendre les œufs.

Quel diplômé Thomas Pesquet ?

Thomas Pesquet, il est sorti de Supaéro. C’était genre… je devais avoir 10 ans, un truc comme ça. Je me souviens de l’avoir vu à la télé, je crois qu’il souriait beaucoup .

Enfin bref, Supaéro quoi. C’est là qu’il a fait ses études, pas plus compliqué.

  • Année de sortie (à vérifier, hein) : j’dirais vers 2001 ou 2002.
  • Campus : Toulouse, évidemment. Il fait chaud là-bas l’été, je me rappelle.
  • Thèse : alors ça, je ne sais pas, mais il a forcément bossé un truc.

Ah oui, et il a fait une prépa avant, comme tout le monde… Louis-le-Grand ou Ginette, un truc du genre, ça ne me dit rien. J’étais plus branché skate à l’époque, moi.

Et après, pilote de ligne chez Air France avant de devenir astronaute. Une sacrée trajectoire le gars! J’avoue, ça force le respect.

C’est marrant parce que mon cousin, Jean-Michel (il habite à côté de Bordeaux, lui), il voulait aussi faire Supaéro. Mais il a fini ingénieur chez Dassault. C’est pas mal non plus.

#Astronaute Diplôme #Devenir Astronaute #Espace Diplôme