Est-il difficile de se lancer dans l’astrophysique ?
L'astrophysique, une spécialisation en physique abordée tardivement en master, n'est pas intrinsèquement plus difficile qu'une autre branche de la physique. Son apprentissage repose sur des bases physiques solides. Cependant, la difficulté réside dans le nombre limité de débouchés professionnels.
Lastrophysique est-elle un parcours difficile ?
Est-ce que l’astrophysique, c’est dur? Bah, c’est un peu particulier. Disons que moi, perso, j’ai trouvé ça… déroutant au début. Faut dire, j’ai attaqué le truc un peu tard, en Master 2 de physique.
L’astro, on l’aborde vraiment qu’à ce niveau-là. Ce qui est logique en fait, puisque c’est juste une application de la physique, ni plus ni moins. Pas plus compliqué qu’une autre spé, donc. Enfin…
Perso, j’ai galéré avec la cosmologie. Ces notions d’expansion, de matière noire, ça me tordait le cerveau. J’ai eu l’impression que c’était pas toujours rigoureux, un peu “brodé” parfois.
Le truc, c’est surtout les débouchés. Y’en a pas des masses. Faut être conscient de ça avant de se lancer. On va pas se mentir. Le prix pour étudier ça ? Je dirais environ 243€/an à la fac, en 2015-2016, à Montpellier.
L’astrophysique est-elle facile ?
Non, pas facile du tout. L’astrophysique… c’est un gouffre. J’y suis tombée dedans il y a quelques années, en 2023, et je me noie encore un peu.
- Maths. Des maths à n’en plus finir. Calcul différentiel, intégrales, équations… c’est une vraie plaie.
- Physique. La physique générale, déjà, c’est costaud. Ensuite, il faut ajouter la physique nucléaire, la relativité…
- Le ciel. C’est beau, mais comprendre ce que je vois… là, c’est autre chose.
C’est comparable à la physique des particules, oui. J’ai un ami qui fait ça, on se soutient. On se plaint beaucoup des nuits blanches.
Plus dur que je pensais, en tout cas. Je ne regrette rien, mais… des fois, j’aimerais juste comprendre. Surtout les équations de Friedmann-Lemaître… un cauchemar.
J’ai même passé des heures sur la constante cosmologique, et je n’y comprends toujours rien.
J’ai déjà raté deux examens cette année… ça fait mal.
On se retrouve souvent à discuter au café du coin après les cours, pour décompresser. Il y a aussi Claire, et Thomas, ils sont sympas.
Enfin… voilà. Je dois aller dormir. Demain, c’est cours sur les pulsars. Super. J’ai déjà regardé le polycopié… c’est très compliqué.
Qu’est-ce qui rend l’astrophysique si difficile ?
Ouais, l’astrophysique, c’est chaud patate ! C’est pas facile, hein ? Comme les autres trucs de physique, genre particules ou physique théorique, un vrai casse-tête !
-
Mathématiques de ouf: Sérieusement, faut être un as, genre niveau compétition internationale ! Des équations à n’en plus finir, des intégrales partout… j’ai failli abandonner plusieurs fois, je te jure !
-
Modélisation complexe: On parle pas de petits schémas, là ! C’est des simulations informatiques ultra-complexes, des trucs qui prennent des jours à tourner sur des super-ordinateurs. Mon pote, David, travaille là-dessus, il me dit qu’il passe des nuits blanches.
-
Données gigantesques: Imagine des télescopes qui collectent des tonnes de données. Analyser tout ça, c’est une mission impossible presque. Il faut des logiciels spéciaux, et des compétences en informatique, clairement !
Après, y’a aussi des trucs moins “techniques” mais tout aussi pénibles :
-
Accès aux données: Certaines données sont super confidentielles ou réservées aux grands laboratoires, c’est pas facile d’y accéder pour faire ses propres recherches. J’ai galéré avec ça cet été pour mon mémoire sur les exoplanètes, une vraie galère !
-
Collaborations internationales: Travailler avec des gens du monde entier, c’est cool, mais aussi compliqué à gérer. Les fuseaux horaires, les langues… ça demande une organisation folle! Pire que gérer un projet pour mon entreprise, hein !
Bref, c’est un domaine super intéressant, mais la difficulté est vraiment énorme. Besoin de maîtriser plein de disciplines, c’est ça le truc. Et faut être patient, très patient… parce que les résultats, ça prend du temps ! J’ai failli tout plaquer après ma première année de master, mais bon, maintenant ça va mieux, ouf !
Comment commencer l’astrophysique ?
Alors, tu veux devenir astrophysicien, hein? Ambitieux, le p’tit! On dirait que tu veux percer les mystères de l’univers, découvrir des planètes plus cool que ma tante Ginette et sa collection de chats à poils longs!
Étape 1: Licence, ou la course à l’obstacle intellectuel. Choisis parmi physique-chimie, maths, ou sciences… Si tu as raté ton bac de justesse, la fac de lettres est toujours une option… Non, je déconne!
Étape 2: Master, la traversée du désert (académique). Trouve un master qui te prépare à l’astrophysique. Imagine-toi, des cours passionnants, genre, “Comment calculer la distance entre deux trous noirs avec une règle de 30 cm et une tasse de café bien chaud”. Du sport mental, quoi!
Étape 3: Doctorat, le marathon cosmique. Trois ans à bosser comme un dingue. Prépare-toi à des nuits blanches, plus longues que la liste de courses de ma grand-mère! Pire que le régime détox de ma copine, ça va être dur! Et si tu as de la chance, tu découvriras une nouvelle galaxie (ou juste une nouvelle erreur dans tes calculs).
Ah oui, et j’ai oublié : faut être passionné. Sinon, oublie. C’est plus dur que de convaincre ma mère de manger des légumes verts. Et j’ai oublié de mentionner que, personnellement, j’ai passé ma licence à jouer à Zelda et à manger des chips. Ça compte?
- Liste non exhaustive des compétences nécessaires :
- Savoir calculer (surtout pour éviter de se planter comme moi, l’année dernière).
- Patience (plus que celle d’un moine bouddhiste).
- Caféine (en quantité industrielle).
Bonus: Avoir une maison dans les Alpes. Plus facile de pointer le télescope, et le ciel est magnifique. (La mienne est au bord de la mer. J’ai des problèmes de buée)
À quel point l’astrophysique est-elle compliquée ?
Putain, l’astrophysique… Compliquées ? Trop ! Sérieux, les équations… J’ai passé des nuits blanches sur la relativité générale, c’est du chinois parfois.
- Calculs infernaux.
- Matière noire, énergie sombre… On en parle même plus à la fac. C’est quoi ce truc?
- Et les trous noirs ? Mystère total ! Je comprends rien.
Mais bon, y’a des trucs cool aussi hein. Les galaxies, par exemple. J’adore les images du Hubble. Enfin, celles que j’arrive à comprendre. Pourquoi je me suis inscrite en astrophysique déjà ?
- Supernovas.
- Pulsar.
On utilise des outils simples, ouf ! Heureusement. Enfin, simples… pour un astrophysicien. Pas pour moi, clairement. En fait, j’ai un peu peur de rater mon année. Maman va être dégoûtée.
Bon, faut que j’aille réviser les spectres stellaires. C’est quoi déjà la différence entre une étoile de type M et une étoile de type O ? Je mélange tout.
Aujourd’hui, j’ai mangé un sandwich au thon, j’avais pas le temps de faire autre chose. 23h et je suis encore là.
Points clés:Extrêmement complexe, Nécessite beaucoup de travail, Formules mathématiques difficiles, Concepts abstraits. Je dois mieux dormir pour comprendre. Ou changer de voie. Peut-être infirmière ?
Bref, dur dur. Mais j’aime bien les étoiles. C’est un peu paradoxal. Peut-être que je vais en parler à mon prof demain. En espérant qu’il soit moins cruel que sur les forums.
J’ai une interrogation sur les quasars jeudi. Prière de m’envoyer des ondes positives. Ou des notes de cours. N’importe quoi, là. Je suis fatiguée.
Commentez la réponse:
Merci pour vos commentaires ! Vos commentaires sont très importants pour nous aider à améliorer nos réponses à l'avenir.