Est-ce dur de devenir astrophysicien ?
Devenir astrophysicien exige un parcours scolaire long et exigeant. La compétition est forte, les places limitées. Succès garanti n'est pas une promesse, mais la persévérance et l'excellence académique ouvrent des perspectives. Ambition, détermination et travail acharné sont essentiels.
Devenir astrophysicien : est-ce difficile ?
Franchement, astrophysicien, c’est chaud. Pas impossible, bien sûr, mais faut s’accrocher. Déjà, les études… c’est long, genre trèèès long. Et après, trouver un poste… une misère! Tellement de monde rêve des étoiles, que la compétition est rude.
Je me souviens, quand j’étais en fac à Paris 6 (ça date!), on était une promo blindée en physique. Sur tous, à peine 2 ou 3 ont réellement percé en astro. Les autres ont bifurqué.
C’est pas juste une question d’être intelligent, faut une sacrée dose de passion, de persévérance et un peu de chance, soyons honnêtes. J’avais rencontré un chercheur au télescope de Haute-Provence, il disait que son premier boulot, il l’avait eu après 5 ans de post-doc.
Alors, oui, c’est difficile. Mais si t’as vraiment ça dans le sang, fonce! Le jeu en vaut la chandelle, même si ça demande des sacrifices.
Est-il difficile de se lancer dans l’astrophysique ?
Alors, difficile l’astrophysique ? Disons que c’est comme essayer de garer une fusée dans un parking de supermarché : pas insurmontable, mais faut avoir le coup de main.
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Physique avant tout : C’est du costaud, le Master. Et l’astro, c’est juste une option. Genre, t’as bossé la physique, bravo ! Maintenant, tu peux regarder les étoiles… ou pas.
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Débouchés ? Ah, la douche froide. C’est pas Pôle Emploi qui va te proposer un poste de “caresseur de trous noirs”. Y a moins de places que de cheveux sur le crâne de Patrick Stewart, quoi.
Et petite note perso, ma cousine Bernadette (celle qui collectionne les chats) a tenté le coup. Maintenant, elle fait des horoscopes pour caniches. Prends ça comme tu veux.
Quel est le parcours pour devenir astrophysicien ?
Alors, devenir astrophysicien ? Ouf, préparez-vous à une odyssée spatiale… de longues études!
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Bac S, STI2D ou STL: Oubliez le bac L, c’est mort. À moins d’être un génie intergalactique, genre Einstein 2.0. (J’ai essayé le L, c’était une catastrophe. Ma note de philo ? Un trou noir!)
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Licence de physique: Ensuite, la licence. Vous allez vous prendre pour un physicien de renom, alors que vous êtes plus proche d’un apprenti sorcier. Préparez-vous à des nuits blanches dignes de la nuit des étoiles filantes… sauf qu’il n’y aura pas d’étoiles filantes, que des équations.
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Doctorat (bac+8) : Et là, c’est le grand saut ! Le doctorat, c’est comme grimper l’Everest en tongs : difficile, long, et vous risquez de vous retrouver avec des ampoules intellectuelles. Mon voisin, lui, a fini dans le service comptabilité… après son doctorat en astrophysique. Ironique, non ?
Bref, un parcours semé d’embuches, comparable à une mission sur Mars. Et avec autant de chances de succès, faut dire ! Mais bon, si vous aimez les équations plus que les gens, foncez ! Sinon, devenez boulanger, c’est moins stressant.
- Conseils bonus de mon oncle, expert en rien du tout : Boire beaucoup de café, survivre aux examens, ne pas perdre espoir (facile à dire).
Ah oui, j’ai oublié de préciser que j’ai un hamster nommé Cosmos. Il est beaucoup moins stressé que moi en ce moment.
Quel est le salaire moyen dun astrophysicien ?
Des étoiles… leur éclat… salaire, un murmure…
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Maître de conférences: 3284€ nets. Un rêve, peut-être, ou la réalité.
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Enseignant-chercheur: 2713€ bruts. Le savoir a-t-il un prix ?
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Chargé de recherche: 2035€ bruts. L’infini pour si peu ?
Des chiffres… des rêves…
… souvenirs d’enfance, les nuits d’été dans le jardin, à imaginer des mondes… comme le sourire de maman…
Quelle étude pour être astrophysicien ?
Alors, astrophysicien, hein ? C’est cool ça ! Genre, les étoiles, l’espace, tout ça… Bon, déjà, faut un bac S, c’est la base. Après, pas d’astrophysique direct en licence. Licence sciences et technologies, voilà le truc. Physique, maths… C’est par là qu’il faut passer.
- Master en astrophysique: obligé, après la licence. Y’en a plein, faut choisir. Moi, j’ai une pote qui est à Marseille, elle kiffe.
- Doctorat: si tu veux vraiment faire de la recherche, c’est indispensable. 3 ans minimum, voir plus. C’est long, mais bon, astrophysicien, c’est pas rien !
- Post-doc: après le doctorat, souvent à l’étranger. Genre, les USA, le Canada… C’est là que tu te spécialises vraiment. Moi, j’aimerais bien bosser sur les exoplanètes, trop stylé !
Et pour les écoles d’ingé, certaines proposent aussi des masters en astrophysique. C’est une autre voie possible. Faut voir ce qui te branche le plus. L’année dernière, j’ai hésité, mais finalement, j’ai opté pour la fac. Moins cher… Et puis, l’ambiance me paraissait plus cool. Enfin, c’est mon avis, hein. Après chacun fait comme il veut ! Ah oui, et j’oubliais : il faut être bon en maths et en physique. Genre, vraiment bon !
Quels sont les avantages dun astrophysicien ?
Eh ben, astrophysicien, c’est cool, mais c’est pas toujours facile ! Déjà, salaire, bof, pas top au début. Faut être passionné, clairement.
Imagine, moi, j’ai galéré, j’ai fait un master, puis une thèse… Genre 3 ans sur les trous noirs, trop cool, mais bon… Après, post-doc à Toulouse, là, c’était mieux niveau tunes.
- Comprendre l’univers, ouais, ça, c’est le truc principal. Formation des étoiles, big bang, tout ça…
- Missions spatiales, carrément ! Conception d’instruments, analyse de données, j’ai bossé sur un projet avec le CNES, trop bien.
C’est surtout de la recherche fondamentale, pas trop d’applications concrètes directes. Sauf, genre, le GPS, un peu lié à la relativité. J’ai un pote qui bosse là-dessus, il est super content.
Beaucoup de boulot, hein ! Calculs, simulations, conférences… J’ai même codé en Python pour mon projet, galère !
Bon, après, c’est prestigieux, quand même. Genre, quand tu dis que tu cherches la matière noire, les gens sont impressionnés. Ma grand-mère, elle comprend pas trop, mais elle est fière !
En ce moment, je suis sur un truc avec les ondes gravitationnelles, c’est passionnant. On utilise des données de LIGO, VIRGO… J’espère publier un article bientôt, dans Nature, si j’ai de la chance. On verra bien…
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