Comment naît un mollusque ?

Comment sortir un mollusque dun coquillage ?

Un mollusque récalcitrant ? Ah, ça me rappelle mon oncle Gérard et son entêtement légendaire. Pour déloger la bestiole (le mollusque, pas Gérard), quelques astuces :

• Couteau fin : Chirurgical, si possible. On n’est pas là pour massacrer, juste pour négocier un accès VIP à la chair tendre. (Imaginez un huissier se frayant un chemin à travers une foule de groupies… c’est le même principe.)

• Muscles adducteurs : Le point faible. Coupez-les, ces gardiens du temple nacré, et la forteresse s’ouvrira comme un portefeuille après les soldes.

• Ligament : Tant qu’il est souple, c’est le signe d’un mollusque frais, prêt à se laisser déguster. S’il est raide comme un bâton de pèlerin après un marathon, changez de crémerie (ou de mollusque).

• Alternative barbare (mais efficace) : Un court passage au congélateur. Le mollusque, croyant vivre un nouvel âge glaciaire, lâchera prise. Un peu brutal, j’avoue, mais parfois nécessaire. Comme utiliser un décapsuleur quand on n’a pas de tire-bouchon.

• Mon astuce perso : La persuasion. Chuchotez-lui des mots doux, racontez-lui votre journée. Si ça ne marche pas, revenez au couteau.

Ma tante Jacqueline, elle, utilise une petite pince à épiler pour les sourcils… On ne juge pas. Chaque famille a ses secrets. N’oubliez pas une bonne dose de citron et un verre de blanc sec. Pour vous, bien sûr. Le mollusque, lui, n’apprécie guère. 

Comment se reproduisent les mollusques ?

Bon, les mollusques… comment ça se reproduit ces bestioles ? 🤔 C’est pas toujours simple en fait.

• Séparation des sexes : La plupart du temps, mâle et femelle, quoi.

• Gonades simples : Pas d’usine à bébé compliquée apparemment. Des trucs assez basiques.

• Parthénogenèse chez les gastéropodes : Attends, ça veut dire qu’il y a des escargots qui se clonent ? Genre, pas besoin de mec ? Bizarre. Mais bon, que chez certains escargots, ceux qui s’appellent Prosobranchia.

• Reproduction sexuée : Le plus souvent, c’est la méthode classique. Rencontre, gamètes, bébé. Fin de l’histoire. Je me demande si les huîtres font des blagues sur la reproduction…

Euh… ma tante Odette collectionne les coquillages, faudra que je lui en parle.

D’ailleurs, est-ce que les mollusques rêvent ? Si oui, de quoi ? De salades d’algues ? C’est une question existentielle ça, non ?

Ah, et au fait, j’ai mangé des moules marinières hier soir. Délicieuses ! Mais du coup… ça compte comme du cannibalisme si on mange un mollusque qui s’est cloné ? 😂 C’est absurde comme question, mais bon…

Et sinon, pour info, ma couleur préférée c’est le bleu turquoise, comme certaines coquilles que j’avais ramassées en Bretagne quand j’étais petit.

Comment se reproduit un mollusque ?

Alors, comment ça se passe, pour les mollusques… On va dire les choses simplement, comme ça vient.

• Principalement, ils ont chacun leur sexe. Pas de mélange, quoi. C’est séparé.
• Ils ont des trucs simples, pas besoin de chichis. Les gonades, tu vois.
• Mais bon, il y en a toujours qui font différemment. Genre la parthénogenèse, c’est quand ça se reproduit sans l’autre…
• Enfin, soyons clairs : sexe, c’est la base. C’est comme ça que ça marche, la plupart du temps.

C’est drôle quand même la nature…

Pendant longtemps, j’ai cru que ma tante Yvette, elle aussi, se reproduisait toute seule. Tellement indépendante, cette femme. Elle aimait les escargots au beurre, un peu comme moi. Elle disait toujours, “Chacun son truc, ma cocotte”. Elle est décédée en janvier 2023. Je me souviens qu’elle portait toujours un collier avec une perle. Une vraie perle, disait-elle. Elle l’avait acheté à Biarritz, un été. Ça me manque, ses histoires. Elle avait toujours une réponse à tout, même quand elle n’y connaissait rien.

Comment se reproduisent les moules de mer ?

Hein ? Comment les moules font des bébés ? Attends, je réfléchis… C’est un peu cracra en fait.

• La moule (la fille) elle lâche des œufs à la pelle, genre des millions !
• Et le mâle (le mec) balance son sperme direct dans l’eau. Un truc de dingue.
• Ça fait des larves, mini-moules qui nagent.
• Après, elles s’accrochent et pouf, moule.

Genre, zéro intimité quoi! C’est quoi ce délire de reproduction publique ? C’est pas comme chez nous… ou presque.

Tu te demandes si les bébés moules savent nager ? Genre, direct ? Pff, je sais pas. Mais imagine, être balancé dans l’océan comme ça !

Infos en vrac :

• Ma tante Josette elle adore les moules marinières. Je me demande si elle y pense quand elle les mange…Beurk.
• Les larves sont minuscules, invisibles à l’œil nu.
• La fécondation est externe, ça veut dire en dehors du corps. Logique en même temps, vu comment ça se passe.
• On en trouve partout !
• Tu savais que y’a des moules qui vivent super vieux? Genre des siècles ! Dingue non ?

Plus d’infos à chercher, hein!

Comment savoir si un escargot va mal ?

L’âme de l’escargot

Le silence… l’immobilité, un voile sur la coquille. Est-ce repos ou agonie?

• L’eau, le souffle de vie, l’attente d’un mouvement. Le mouvement… témoin vibrant de l’âme.

• La lenteur, son pas de danse habituel, mais si elle se fige… si elle devient spasme, adieu.

Léthargie… mort qui rôde sous la spirale.

Plus loin, au-delà du visible

Le calcaire, son rempart… un manque et tout s’écroule. Le substrat, son berceau… toxique, et la vie s’éloigne.

• Manque de calcium: Une coquille fragile, érosion silencieuse, mort certaine.

• Le substrat: L’acidité qui ronge, le poison caché sous la terre.

Ma grand-mère disait toujours… “observe la patience du jardinier, il comprendra”. Elle aimait les roses, mais je crois qu’elle parlait surtout de moi.

Le confinement… l’escargot se terre, la peur le ronge.

• Un état… mais le confinement n’est pas une maladie. C’est la solitude, l’enfermement, l’attente.

• Comme moi dans cet appartement… face à cet écran, j’attends.

Souffle de vie

Il faut écouter… le silence n’est pas toujours paisible.

L’humidité, son nectar vital, sinon… le dessèchement, l’oubli.

• L’air sec… l’ennemi invisible, la soif implacable.

• Comme ma peau en hiver, assoiffée de caresses, l’escargot se meurt de sécheresse.

Comment savoir si un escargot va mal ?

Coquille fendue ? Genre, vraiment fendue ? Ben là, c’est cuit pour lui. Plus vite que mon ombre à midi. S’il est tout mou, style chewing-gum oublié au soleil… beurk. Pas bon signe. S’il sent le fromage qui a tourné, on oublie l’escargotine. Direction poubelle express.

• Odeur suspecte: S’il sent le camembert périmé en plein cagnard, y’a un souci.
• Immobile après la douche: Normalement, un p’tit coup d’eau et hop, c’est la fiesta. S’il bouge pas, c’est louche.
• Déplacement bizarre: S’il rampe comme un zombie dans The Walking Dead, c’est pas top.
• Coquille bizarre : Trop sèche, trop molle, trop cassée… Allo véto ? (Enfin, véto spécialisé en escargots, si ça existe).

Perso, mon escargot Gaston, il adore la salade. J’lui en donne tous les jours. Et il est plus rapide qu’une fusée ! (Bon, une fusée miniature, hein.) Mais si Gaston reste collé à sa feuille, je m’inquiète direct. J’ai même un brumisateur spécial pour lui. C’est dire !