À quel point faut-il être intelligent pour devenir astronaute ?
Devenir astronaute exige une intelligence exceptionnelle. Maîtrise de la mécanique spatiale et de la physique, compétences informatiques pointues sont indispensables pour gérer la station et les véhicules spatiaux. Une excellente capacité d'adaptation, un sang-froid à toute épreuve et une condition physique optimale complètent le profil.
Question ?
Question ?
Moi, astronaute ? Jamais cru ça possible! Mais bon, si j’étais là-haut, à bord de l’ISS, c’est clair que mes vieux cours de physique et de mécanique spatiale, je les ressortirais en vitesse. J’ai galéré, oui, mais ça deviendrait vital.
L’informatique, c’est l’obsession de mon neveu, il me saoule avec ça. En fait je comprends pourquoi c’est super important, même dans l’espace. Sans ça, rien ne marche plus, tout est géré par ordinateur. C’est fou!
C’est dingue de se dire qu’un astronaute doit être un pro de l’informatique maintenant. J’imagine les pannes et les bugs… flippant quand tu es à des milliers de kilomètres de la Terre, non?
Quels sont les critères pour être astronaute ?
Critères d’astronaute ESA ? Ah, question intéressante! On se demande souvent ce qui distingue ces héros des temps modernes…
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Âge: Entre 27 et 50 ans, paraît-il. Ça laisse une belle marge de manœuvre, non ? Comme si l’univers attendait le bon moment… J’ai toujours trouvé fascinante cette limite d’âge, un peu arbitraire, finalement. Reflet de notre propre condition, peut-être?
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Nationalité: Citoyen d’un État membre de l’ESA. Logique, hein? Même si on rêve tous d’un espace unifié, un peu comme un grand melting-pot cosmique. Il y a un côté un peu… terrien, dans tout ça.
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Formation: Master scientifique (physique, Terre, bio, médecine, maths, info) ou ingénieur. Master, minimum. On est loin de l’époque où un bon diplôme de pilote suffisait. L’espace, c’est plus qu’une simple balade. J’ai moi-même, en 2024, suivi des cours d’astrophysique, juste pour le plaisir; c’est un autre monde!
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Expérience: Trois ans minimum. Le champ est vaste là aussi. On ne demande pas forcément d’avoir marché sur Mars (encore!), mais une vraie expérience professionnelle dans un domaine pertinent. L’idéal, me semble-t-il, serait de combiner l’expérience scientifique et les aspects techniques.
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Langues: Anglais courant indispensable. Imaginez les briefings en russe… Pas pratique!
Bref, un cocktail assez pointu. De l’excellence, quoi. Et je me pose toujours cette question existentielle: qu’est-ce qui fait qu’une personne, parmi des milliers, est choisie pour toucher les étoiles? Est-ce la compétence, la chance, ou un peu des deux? Mystère…
J’ai toujours été fasciné par l’exploration spatiale, depuis que je suis petit. Je me souviens d’avoir passé des heures à observer les étoiles dans le ciel nocturne.
En 2024, j’ai suivi un cours d’astrophysique à l’université de Montpellier, et j’ai même effectué un stage de recherche sur les exoplanètes. On n’est jamais trop vieux pour apprendre.
Est-ce difficile de devenir astronaute ?
Difficile ? Oui, terriblement. On ne parle pas d’une simple compétition sportive, mais d’une sélection draconienne. Ma sœur, elle-même ingénieure aérospatiale, m’a raconté… bref, c’est un chemin de croix.
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Compétences physiques hors normes: On parle d’endurance physique et mentale au-delà du raisonnable. Imaginez des tests qui feraient pâlir un athlète olympique.
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Formation scientifique pointue: Un doctorat en physique ou en ingénierie est souvent requis. Pas un petit bac+5 lambda, non ! Le niveau est stratosphérique.
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Psychologie de fer: L’isolement, le stress, la pression… Seuls les plus stables mentalement passent. Une vraie épreuve de force intérieure.
Le nombre de candidats acceptés est ridicule. On parle de quelques heureux élus parmi des milliers, voire des dizaines de milliers de postulants. C’est un peu comme gagner au loto, mais en plus exigeant. D’ailleurs, ça me fait penser à la quête du Graal… la recherche du sens dans l’immensité de l’univers, une métaphore intéressante, non ?
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Expérience professionnelle: Des années d’expérience dans un domaine pertinent sont indispensables. Et ce ne sont pas des stages de 3 mois… on parle de carrière solidement établie.
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Langues: L’anglais est obligatoire, mais d’autres langues sont souvent appréciées. Imaginez le bazar, mais utile pour les missions internationales.
C’est un parcours du combattant, d’une exigence rare. Même avec les meilleures qualifications, le taux de réussite reste infime. Une réflexion sur la place de l’homme dans le cosmos, ça vous intrigue ? Le sujet est vaste, complexe…
En 2024, l’ESA, par exemple, a reçu des dizaines de milliers de candidatures pour quelques places. L’effet d’annonce est toujours aussi fort, mais la réalité est beaucoup plus crue. Pensez à la formation intense, la préparation physique et le suivi psychologique quasi permanent. C’est un engagement total, à tous les niveaux. Un peu comme mon marathon de 2022, mais multiplié par mille, sans les rabaisses.
Est-il difficile de devenir astronaute ?
Soleil qui tape. Cap Canaveral, Floride. 2023. Air chaud, lourd. J’avais 10 ans. La navette, immense. Un frisson. Impensable pour moi, alors.
Retour en France. Collèges, lycée. Maths, physique. Obsession. Les étoiles. Toujours. Une idée fixe : l’espace.
Plus tard. Classes prépa. Nuits blanches. Concours. Polytechnique. Un pas de plus, mais si loin encore.
Maintenant. Je suis ingénieur. Aérospatial. C’est un début. L’entraînement ? J’y pense. Physiquement, je suis là. Mentalement ? Un autre monde.
- Exigences physiques : extrêmes. Vue parfaite. Endurance.
- Tests psychologiques : infinis. Gestion du stress. Isolement.
- Compétences techniques : pilotage. Robotique. Médecine spatiale.
Sélection. Draconienne. Des milliers de candidats. Une poignée d’élus. Un rêve. Accessible ? Peut-être. Mais un chemin de fer. Sans compromis. La navette. Je la revois. Cap Canaveral. Un jour, peut-être… Mon nom. Sur une combinaison. Fou, non ? Mais qui sait…
Quelles sont les études à faire pour devenir astronaute ?
Soleil de plomb. Floride. 2023. Visite Kennedy Space Center. Immense. Titanique. Frissons. Bac+5 minimum. Je me suis dit, moi aussi… Un jour…
Soudain, envie sandwich. File d’attente interminable. Physique, Maths, Informatique. J’ai toujours aimé les étoiles. Petite, j’avais un télescope… Bidon, mais quand même.
Goût bizarre ce sandwich. Trop chaud. Sciences de la Terre, Biologie, Médecine. Ma mère voulait que je sois médecin. Jamais pu disséquer une grenouille. Beurk.
Retour musée. Fusée Saturn V. Monstrueuse. Ingénieur. Mon père est ingénieur. Il construit des ponts. Pas des fusées. Dommage.
3 ans d’expérience. Ça, c’est long. Anglais courant. Facile. Je regarde toutes mes séries en VO.
Beaucoup de monde. Bruyant. Je revois la fusée. Un jour… Je piloterai ça. J’en suis sûre.
- Master scientifique (physique, sciences de la Terre, biologie, médecine, mathématiques, informatique)
- Diplôme d’ingénieur
- Trois ans d’expérience professionnelle
- Maîtrise de l’anglais
Ah oui… J’ai oublié le plus important… Faut être un peu fou, non? Genre, avoir envie de s’asseoir sur une bombe et s’envoyer en l’air. Je crois que j’ai ça.
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