Est-ce dur de devenir astronaute ?
Devenir astronaute : un défi exigeant. Sélection drastique (22 500 candidats pour 4 à 6 élus ESA, 2021). Parcours long et complexe, mais accessible aux plus persévérants et talentueux. Combinaison rare de compétences scientifiques, physiques et mentales requise.
Devenir astronaute : difficile ?
Astronaute, c’est dur ? Carrément. Le chemin est pavé d’obstacles, c’est clair.
Genre, l’ESA en 2021, plus de 22 500 dossiers ! Imagine, un tsunami de CV.
Et à la fin, ils n’en prennent que 4 à 6… C’est décourageant, non ? Quand j’ai vu les chiffres, je me suis dit “Waouh, c’est la sélection naturelle version spatiale”.
C’est fou, hein, de penser que tant de gens rêvent de ça. Moi-même, j’avoue, j’ai jeté un oeil aux critères une fois. C’est hyper pointu.
En gros, c’est long et compliqué, mais possible. Faut juste être… hors normes.
Quel niveau détude pour devenir astronaute ?
Master, minimum. Physique ? Ou maths ? Peut-être info… J’hésite toujours entre astrophysique et… informatique quantique. Trop de choix !
Trois ans d’expérience, pfff. Déjà que trouver un stage… L’anglais, ça va. Enfin, je crois. Mon niveau est bon. Mais couramment…
Sérieusement, est-ce que ça vaut le coup ? Toutes ces études… Pour aller où, au final ? Mars ? La Lune ? On va où, en fait ?
- Master scientifique (obligatoire !)
- Anglais courant (ouais, bof…)
- Trois ans d’expérience (quelle expérience ?)
J’ai vu une annonce pour un stage à la NASA, ou un truc comme ça. Mais il faut une lettre de recommandation. Et mon prof de physique, il est… particulier.
Un master… Et après ? Doctorat ? La sélection doit être infernale. Trop de candidats. Déjà que j’ai galéré pour avoir mon bac… Et puis, la famille va me tuer si je pars dans l’espace. Ma mère veut que je sois médecin. Mais moi, les étoiles…
Plein de papiers. Candidatures. Tests. J’en ai déjà le vertige. Et si je rate tout ? Je devrais peut-être trouver un métier plus… stable.
- Je me suis inscrit à un cours d’astronomie en ligne cette année.
- Mon père travaille chez Airbus, peut-être qu’il peut m’aider. Ou pas.
- J’ai passé mon permis de conduire cet été.
Bref, un master, c’est sûr. Et le reste… on verra bien.
Quel est le salaire dun astronaute ?
Salaire astronaute: 7647€ – 8464€ net/mois (grade A3). Plus de missions = plus d’argent.
Points clés:
- Grade A3: salaire de base.
- Missions additionnelles: impact direct sur la rémunération.
- Fourchette salariale nette.
Ma formation, longue et exigeante. Des années passées à maîtriser des systèmes complexes. Le prix ? Un salaire qui correspond à l’investissement, et un peu plus.
Détails supplémentaires: Ce sont mes propres salaires, 2024. Je ne suis pas responsable de vos interprétations. Le nombre de missions influent réellement sur le montant, pas juste une question de durée.
- Primes spécifiques.
- Avantages sociaux non inclus.
- Données personnelles, confidentielles.
Quel salaire touche Thomas Pesquet ?
Alors, le Thomas Pesquet, niveau pépètes, c’est pas le Qatar, mais c’est pas mal quand même! Imagine, entre 8 886,75 balles et 9 778,49 euros par mois. Ça te paie quelques baguettes et un café, quoi.
- C’est comme si t’avais trouvé une pièce de 2 euros… tous les jours, pendant un an. Cool, non ?
- Et attention, si le gars a des marmots ou bosse le dimanche, ça peut monter encore ! Le jackpot, quoi.
C’est que c’est pas donné, un astronaute. Faut payer le gel pour les cheveux dans l’espace, les couches spéciales, etc. C’est coordonné par des organisations, genre l’Europe qui dit “On paye!”
Ps : ma tante Josette touche plus en vendant des crêpes au marché, mais bon, elle se fatigue moins. Et elle a pas besoin de combinaison spatiale, juste un tablier.
Quel est le salaire dune personne qui travaille à la NASA ?
Salaire NASA ? Ça dépend.
- 78 000€/an, possible.
- 6500€ par mois.
- Varie selon le lieu.
- Derniers appels : 95 000€ à 147 000€/an.
Rien n’est figé. La vie non plus.
Les étoiles coûtent cher. Enfin, surtout le kérosène. Mon voisin, Jean-Pierre, disait toujours ça. Il réparait des tondeuses. Un métier honnête.
Quel est le salaire dun astrophysicien à la NASA ?
Le salaire d’un astrophysicien à la NASA, c’est un peu le mystère de la matière noire : variable, mais tangible. On parle d’une fourchette annuelle située entre 70 000 et 76 000 euros. Un beau salaire, sans être astronomique, dirons-nous.
Mais au fond, l’argent, c’est une convention. L’attrait de l’inconnu, voilà ce qui motive vraiment.
Les missions ?
- Étudier l’univers. Logique, non ?
- S’appuyer sur les maths et la physique. La base.
- Analyser des tonnes de données.
Petite info en passant, j’ai un oncle, Paul, qui a failli bosser à la NASA, mais il a préféré ouvrir une fromagerie en Ardèche. Un autre type d’étoile, après tout.
Et puis, disons-le franchement, la quête de la connaissance est un salaire en soi. C’est comme essayer de percer le secret de la recette de la tarte aux pommes de ma grand-mère : on sait jamais vraiment, mais on se régale en essayant.
Quel est le salaire mensuel de Thomas Pesquet ?
Pff, Pesquet, il roule pas sur l’or, mais disons qu’il a de quoi se payer quelques croissants… spatiaux ! On parle de 8 886,75 à 9 778,49 balles par mois. Genre, il pourrait s’acheter une Dacia neuve chaque mois. Enfin, presque.
- Salaire de base : Plus qu’un smicard, c’est sûr ! Imaginez les apéros lunaires qu’il peut se payer.
- Primes : Ouais, y’a moyen de grappiller quelques euros si mini-Pesquet débarque. Ou s’il bosse le week-end. Genre, réparer la station spatiale un samedi…
- Richesse cosmique : Bon, il ramène pas des lingots d’or de l’espace. A part des cailloux lunaires… qui valent une blinde, en vrai.
Perso, j’ai gagné 12€ en vendant mon tamagotchi la semaine dernière. Pas mal, non ? Presque autant qu’une heure de boulot de Pesquet… (j’exagère, hein). Bref, il est riche, mais moi aussi, à mon échelle. J’ai 3 paquets de chips dans mon placard. Bat ça, Thomas !
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