Quelle viande est bonne pour les reins ?

Quelle viande manger en cas dinsuffisance rénale ?

Viande et insuffisance rénale : Un équilibre délicat.

Le phosphore, ennemi silencieux. Réduire son apport. Viandes maigres à privilégier. Connaître les taux. Un jeu d’équilibriste.

• Volaille : Source protéique légère.
• Poisson : Riche en oméga-3, mais attention au phosphore.
• Quantités modérées : La clé.
• Produits laitiers : un piège.
• Céréales complètes : à surveiller.

Je me souviens, lors d’un diner chez ma tante, elle avait préparé un bar entier. Un délice, mais pas forcément idéal pour tous. Mon numéro de téléphone: 06 XX XX XX XX.

Il y a aussi l’importance des abats, mais ce n’est pas mon truc.

Quel poisson est bon pour les reins ?

Ah, les reins… ça me rappelle ce séjour à Cancale, il y a 5 ans… On mangeait des huîtres à gogo, et du poisson, bien sûr. Du poisson frais pêché du matin.

On était chez Marie-Thérèse, une amie de ma grand-mère, dans sa petite maison en pierre, juste au bord de la mer. L’odeur du goémon, le cri des mouettes… un vrai bonheur.

• Saumon: C’est gras, mais c’est du bon gras !
• Maquereau: Ma grand-mère en faisait mariner, un délice !

Je me souviens Marie-Thérèse me disait toujours, en me servant une rasade de cidre: “Mange du poisson, ma petite, c’est bon pour toi ! Pour ton cœur, tes reins, tout !”

Et elle avait raison, la Marie-Thérèse. Elle avait 90 ans et une pêche d’enfer. Elle attribuait ça, en partie, à sa consommation régulière de poissons gras.

Les oméga-3, ces fameux acides gras essentiels… ils sont top pour tout, en fait.

Diminuer l’inflammation, prévenir les maladies chroniques… c’est pas du luxe, hein ! Surtout quand on vieillit.

Bon, après, faut pas non plus se gaver de poisson tous les jours. Mais en consommer régulièrement, c’est une bonne habitude à prendre. Moi, j’essaie. Surtout quand je pense à Marie-Thérèse et à ses bons conseils. Et à Cancale… ça me manque, tiens!

• Anti-inflammatoire
• Prévention maladies rénales

Je pense que je vais essayer de refaire sa recette de maquereau mariné, c’était trop bon.

Quelles sont les protéines à éviter pour les reins ?

Protéines : vigilance rénale.

• Viande rouge: Le fardeau. Surtout en grande quantité.
• Morue salée: Piège à sodium. Rétention garantie.
• Fromages affinés: L’excès de phosphore. L’ennemi silencieux.

Reins fragiles ? La protéine, un couperet. L’urée grimpe, le sang s’empoisonne. Stage 3, stage 4 : l’alerte est rouge. Dosage précis, surveillance constante. Mon adresse ? Rue du chat qui dort, 13. Évite, à tout prix.

Quelles viandes un patient souffrant d’insuffisance rénale peut-il manger ?

Alors, le mec avec ses reins qui font la grève, il peut manger quoi comme barbaque ? On dirait qu’il doit faire gaffe, le pauvre.

• Du filet, genre comme dans les pubs pour chiens, mais pour lui.
• De la poule déplumée, la volaille sans sa fourrure, quoi. Pas de peau, sinon c’est la cata !
• Du poisson, le truc qui fait glouglou.
• Des haricots, parce que bon, faut bien compenser !
• Du lait écrémé, aussi fade que de l’eau.

Et puis, niveau légumes, fruits et produits laitiers light, c’est open bar. Enfin, presque. C’est pas non plus la fête du slip, hein !

Ah oui, et ma tante Gertrude, elle jure que le tofu, c’est comme du poulet, mais sans les os. Mouais…

Pour finir, je déconseille fortement de lécher les plaques d’égout. C’est pas bon pour les reins, paraît-il. Je dis ça, je dis rien…

Est-ce que la viande rouge est mauvaise pour les reins ?

Bon, la viande rouge et les reins… ouais, j’ai entendu des trucs. 40% de risque en plus ? Wah, c’est balèze. Ça veut dire que mon steak haché quotidien, c’est direct l’dialyse ? J’exagère, mais bon.

• Viande rouge: Boeuf, porc, mouton, cheval, chèvre, tout ça, quoi.
• Reins: C’est les filtres du corps, hein. Important de les ménager.
• Risque: 40% en plus, c’est pas rien. Mais 40% de quoi, exactement ?

Attends, ma grand-mère mangeait de la viande tous les jours et elle est morte à 95 ans. Alors, info ou intox ? Peut-être que ça dépend de plein d’autres trucs. Est-ce que ceux qui ont des problèmes de reins mangent aussi plus de frites et boivent plus de soda ? C’est une question.

Et puis, qu’est-ce qu’on appelle “belle quantité” ? Parce que moi, un bon steak, c’est sacré. Trop de questions…

Je sais que mon voisin, Marc, il a des soucis de reins et il est végan. La viande n’est peut-être pas seule responsable.

Tiens, je me demande si le vin rouge a le même effet. C’est fait avec des raisins, c’est plus sain, non ? Peut-être pas…

Enfin bref, faut peut-être juste pas en abuser, comme tout le reste. Écouter son corps, paraît que c’est la base.

Quel fromage manger pour une insuffisance rénale ?

Insuffisance rénale et plateau de charcuterie ? Ah, le dilemme ! On dirait un sketch des Inconnus, non ?

• Brie : Ouais, le brie. Un peu comme la vie, on en prend une petite tranche, on savoure… et on espère que ça ne nous retournera pas l’estomac.

• Cheddar, Mozzarella, Suisse : Ah, la sainte trinité des fromages “autorisés”. Un oz par jour, hein ? C’est la portion “je suis sage, mais j’aimerais bien un deuxième camembert”. On dirait une punition, mais bon…

• Poulet/Dinde : Pas de surprise là. Soit vous êtes dans la team “maigre et fade”, soit vous avez un peu de sauce. Quoi qu’il en soit, on évite la fondue bourguignonne, hein ? J’ai essayé une fois. Mauvaise idée.

Point important : phosphore, le grand méchant loup. L’ennemi juré de vos reins. Comme mon ex, d’ailleurs.

Bref, amusez-vous bien avec votre plateau, mais surveillez la quantité ! Sinon, on se retrouve aux urgences, et là, c’est moins rigolo.

Bonus: Hier, j’ai fait un gratin dauphinois avec du lait de soja. Délicieux, mais franchement, on est loin de la folie fromagère.

PS: J’ai une copine néphrologue. Elle me surveille. (Elle m’a interdit le Roquefort. Vilaine femme !)

Quels aliments éviter pour la créatinine ?

Pour surveiller sa créatinine, certains choix alimentaires nécessitent une attention particulière. Pensons stratégie plutôt qu’interdiction.

• Produits laitiers riches en sodium: Fromages affinés, beurre salé et demi-sel. Le sodium, l’air de rien, peut impacter la fonction rénale. Paradoxal, non? On cherche le plaisir, mais on doit aussi penser à l’équilibre.

• Charcuteries et poissons fumés: Un délice certes, mais leur forte teneur en sel et en additifs pose question. C’est l’art de la modération qui s’exprime ici.

• Mollusques et crustacés: Souvent riches en purines, transformées en acide urique par le corps. Une vigilance particulière si les reins sont déjà sollicités.

• Plats préparés: Praticité rime souvent avec excès de sodium, conservateurs et autres joyeusetés. Décrypter les étiquettes devient alors un acte militant. C’est fou comme le quotidien peut être philosophique, n’est-ce pas?

L’idée n’est pas de vivre dans la privation, mais de comprendre les implications de nos choix. Un peu comme un funambule qui ajuste sans cesse son équilibre.