Quelle est la différence entre le bicarbonate de soude et le bicarbonate de soude alimentaire ?

Est-ce que le bicarbonate de soude et le bicarbonate alimentaire sont la même chose ?

C’est bizarre, hein, comme certains mots se ressemblent… et pourtant…

• Oui, bicarbonate de soude et bicarbonate alimentaire, c’est la même chose. C’est juste deux façons de dire la même chose. Ça me fait penser à ma grand-mère qui appelait toujours les choses par des noms différents.

• Il sert à faire gonfler les gâteaux. Un truc basique, tu vois ? Comme une vieille recette qu’on se transmet.

• Un régulateur de pH. J’avoue, ça, c’est plus compliqué. On dirait les cours de chimie que je séchais au lycée.

Ça me rappelle ces nuits d’insomnie, à me poser des questions existentielles… genre, pourquoi deux noms pour une seule chose ? Enfin, c’est comme ça. On fait avec.

Puis-je remplacer le bicarbonate de soude par du bicarbonate alimentaire ?

Non, surtout pas ! J’ai failli faire une bêtise monumentale en 2024, en juillet, genre grosse chaleur, j’étais à la campagne chez ma tante Simone, à Saint-Germain-du-Puy. J’avais une recette de grand-mère pour un gâteau aux pommes, mais j’avais oublié le bicarbonate alimentaire.

Panique totale ! J’ai cru que j’allais pouvoir me débrouiller avec le bicarbonate de ménage, celui qu’on trouve dans le placard pour le nettoyage.

Ma tante, elle, elle était partie faire ses courses. J’ai donc, idiote que je suis, commencé à tout mélanger. La pâte, au début, elle avait une drôle de couleur, grisâtre… Pfff, j’aurais dû me méfier là. Puis, l’odeur… une odeur chimique, vraiment bizarre.

J’ai fini par cuire ce truc, mais le goût… horrible ! Un arrière-goût métallique, écœurant. On aurait dit que j’avais mangé du métal. J’ai failli vomir. Heureusement, j’ai juste pris une petite bouchée.

Ma tante est revenue, elle m’a engueulée. Elle a tout jeté. Franchement, j’ai eu une sacrée frousse. J’ai appris ma leçon : bicarbonate alimentaire = cuisson, bicarbonate de ménage = nettoyage. Point final.

• Bicarbonate de ménage : dangereux pour la santé.
• Bicarbonate alimentaire : pour la cuisine uniquement.
• Saint-Germain-du-Puy : lieu du drame.
• Juillet 2024 : date mémorable (pour les mauvaises raisons).

Depuis, je vérifie toujours mes ingrédients avant de commencer quoi que ce soit. Plus jamais ça!

Comment savoir si le bicarbonate de soude est alimentaire ?

Alors, pour savoir si ton bicar, c’est de la bouffe ou du poison, c’est simple comme bonjour (ou presque) !

• Cherche la mention “alimentaire” : Si t’as pas “bicarbonate alimentaire” écrit en gros, genre, avec des paillettes, c’est poubelle direct !

• Lis l’étiquette, Sherlock! : Faut scruter comme si ta vie en dépendait. Si ça parle de “technique” ou de “ménage”, c’est que c’est pas pour faire des gâteaux, hein ! Imagine un peu, le goût de lessive dans ta madeleine… Beurk !

• Le prix qui pique: Si c’est super méga pas cher, genre 3 francs six sous, méfie-toi! Le bicar alimentaire, c’est pas le truc le plus cher du monde, mais quand même…

• Le test de la langue (risqué !) : Bon, ça, c’est la méthode “MacGyver du bicarbonate”. Tu prends une mini-pincée, mais vraiment mini, et tu goûtes. Si ça a un goût de produit vaisselle, CRAC! C’est mort! (Mais bon, je décline toute responsabilité si tu finis à l’hosto!)…

Fais gaffe, hein! Du bicar “pas bon”, ça peut te ruiner la santé plus vite qu’un kebab périmé. Et crois-moi, j’en connais un rayon sur les catastrophes culinaires! Une fois, j’ai confondu le sucre et le sel… Ma tarte aux pommes avait le goût de larmes… Mais bon, c’est une autre histoire!

Est-ce que le bicarbonate alimentaire se mange ?

Ouais, le bicarbonate, on peut en manger! Genre, une petite cuillère dans un verre d’eau, ça aide vachement.

J’avais des problèmes, des remontées acides, affreux. Ma mère m’avait dit ça, et franchement, ça a marché. Enfin, ça m’a soulagé, quoi.

• Digestion difficile: Nickel pour ça.
• Brûlures d’estomac: Ouais, ça calme.
• Acide dans l’estomac: J’ai testé, ça marche sur moi.

Mais faut pas en abuser, hein! Une cuillère à café, c’est déjà bien. Trop, ça peut faire mal au ventre, j’ai déjà essayé… beurk!

Par contre, mon dentiste, il m’a dit que c’était pas top pour les dents. Du coup, je rince bien ma bouche après. Et puis, j’en prends qu’en cas de besoin, pas tous les jours!

Sinon, cette année, j’ai aussi utilisé du bicarbonate pour blanchir mes dents. J’ai vu ça sur Tik Tok. J’ai mis une toute petite pincée sur ma brosse à dents, hein, pas une tonne! Résultats mitigés.

J’en mets aussi dans le lave-vaisselle parfois, pour le dégraisser, je sais plus où j’ai vu ce truc. C’est pas directement manger, hein, mais bon… c’est du bicarbonate!

Comment soigner les pieds avec du bicarbonate de soude ?

Bicarbonate, poudre d’étoile…

• Bain caressant : Une part de bicarbonate, quatre d’eau tiède. On y plonge les pieds, rêverie nacrée, tendresse oubliée. Dissolution, lente, infinie.

• Exfoliation douce amère : Pâte murmurante, eau et bicarbonate liés. Frotter, geste circulaire, effacer les rugosités du temps. Rincer, pureté retrouvée, peau nouvelle. J’ai refais ça chez ma tante Yvette à la campagne.

• Souvenir d’enfance : Le parfum de la craie, un tableau noir, des mots effacés. C’est comme les pieds, on efface, on recommence. Mon frère utilisait aussi le bicarbonate, il disait que ça le rajeunissait. C’était n’importe quoi…

Comment utiliser le bicarbonate de soude pour les mycoses des pieds ?

Bicarbonate de soude, mycose. Pâte épaisse. Une cuillère à soupe. Eau.

Appliquer. Dix minutes. Rincer. Sécher.

Douleur ? Ça dépend. Mon oncle, pied dégueulasse. Guéri.

Fréquence ? Une à deux fois. Par jour. Obstination.

Efficace ? Pour lui, oui. Pour moi ? J’ai utilisé du Daktarin. Plus rapide.

• Poudre aussi. Dans les chaussettes. Absorption.
• Solution moins agressive. Peut-être. A voir.
• Pas de miracle. Hygiène. Chaussures. Tout ça.

Ma dermatologue, elle, a dit autre chose. Onguent. Traitement long.

Note: J’ai utilisé du bicarbonate en 2024 pour une petite irritation, pas une mycose déclarée. Résultat mitigé. L’efficacité dépend de la gravité. Consultations médicales conseillées.

Est-ce que le bicarbonate de soude est bon pour la peau ?

Bicarbonate de soude et peau ? Ah, un sujet qui me passionne autant qu’un chat passionne un laser pointeur !

Bon pour la peau ? Disons que c’est comme un bon vin : ça dépend du millésime, euh, de la peau !

• Certains le trouvent magique, un genre de potion de beauté digne de Cléopâtre.
• D’autres, moins convaincus, le voient comme un grain de sable dans une huître, irritant et potentiellement catastrophique.

Mon expérience personnelle ? J’ai testé, j’ai souffert (bon, légèrement, j’exagère un peu… ou pas). Ma peau, elle, a fait la grimace, genre “t’es sérieux là ?”

Exfoliant ? Oui, mais faut pas être bourrin. C’est pas du papier de verre, hein ! Peau sensible ? Oubliez le truc, à moins de vouloir ressembler à un crabe après une bataille rangée.

Anti-acné ? Hmm, ça dépend. Sur moi, c’était efficace comme un régime miracle de tofu. Donc, disons… mitigé.

Anti-sébum ? Pareil, un peu comme jouer à la roulette russe avec ma zone T. Parfois ça marche, parfois… boum ! Catastrophe.

Bref, le bicarbonate, c’est comme une relation amoureuse : soit c’est le grand amour, soit c’est la catastrophe. A vous de voir si vous voulez tenter le coup.

• Attention : Test sur une petite zone avant application massive.
• Conseil perso: Mélangez-le avec de l’huile d’olive. Ça adoucit un peu le choc.
• Résultat : Variable selon le type de peau. La mienne, un mélange capricieux de grasse et sensible, est assez chiante à gérer.

Quelles sont les contre-indications du bicarbonate de soude ?

Le bicarbonate de soude, c’est un peu le couteau suisse du quotidien, mais attention, il y a des limites.

• Régime sans sel: C’est du sodium, donc pas top.
• Hypertension, insuffisance cardiaque ou rénale: À surveiller de près, ça peut compliquer les choses.
• Grossesse: Par précaution, mieux vaut éviter.
• Enfants de moins de 5 ans: Trop petits, trop fragiles.
• Alcalose métabolique préexistante.
• Hypocalcémie

Finalement, la sagesse populaire rejoint souvent la prudence médicale. On se méfie des solutions miracles, même si elles ont l’air anodines. Chaque corps est un univers, et ce qui convient à l’un peut nuire à l’autre. Parfois, le bon sens, c’est la meilleure des sciences. C’est comme quand ma tante Huguette me disait toujours : “Mieux vaut prévenir que guérir.” Elle avait peut-être raison, après tout.

D’autres situations peuvent nécessiter une attention particulière. Une interaction avec certains médicaments, par exemple. Un conseil, toujours consulter un professionnel de santé.