Comment savoir si on mange trop sucre ?

Quels sont les signes quon mange trop de sucre ?

Ok, alors… Trop de sucre, le truc c’est que… comment on sait ?

• Fatigue persistante, ouais, ça c’est clair. Genre, même après une nuit de 8h…
• Envie folle de sucre. Une envie, genre, t’es prêt à tuer pour un Mars.

Ça me rappelle cette fois, j’étais à Lille, j’avais tellement envie d’une gaufre… Bref.

• Difficulté de concentration, ah, le cerveau embrumé. Le truc, c’est est-ce que c’est le sucre ou juste l’âge qui avance ?
• Prise de poids, logique, mais bon, qui compte les calories de toute façon ?
• Problèmes de peau. Ça, c’est plus étonnant, non ?

Et après ? On fait quoi ? On arrête le sucre du jour au lendemain ? Impossible ! Enfin, pour moi, c’est impossible.

• Réduire progressivement ?
• Privilégier les sucres naturels ? Genre, les fruits… Même si, techniquement, c’est du sucre quand même.
• Boire plus d’eau ?
• Faire du sport ? Oh non, pas ça !

C’est un cercle vicieux, en fait. Plus on mange de sucre, plus on en veut… Pourquoi la vie est si compliquée ?

Info en plus (vite fait) :

Le sucre caché… attention aux sauces, aux plats préparés, même le pain ! C’est un vrai piège.

Quel est l’effet de l’excès de sucre sur votre corps ?

L’excès de sucre, c’est le drame ! Prise de poids, évidemment. On parle même d’obésité, un vrai fléau moderne, non ? Et ça, ça ouvre la porte à plein de problèmes.

• Cancer: Sein, pancréas, rein, côlon… le sucre semble avoir un penchant pour la mauvaise compagnie. C’est fascinant, presque poétique, cette relation perverse. Ma grand-mère, elle, disait que le sucre, c’était le poison lent. Elle avait peut-être raison.

• Diabete de type 2: Le pancréas, épuisé par tant de sucre, lâche prise. Il y a des limites à la générosité, même celle des cellules bêta. Un peu de philosophie là-dedans, je trouve.

• Maladies cardiovasculaires: On parle d’athérosclérose, de problèmes cardiaques… Le sucre, c’est comme une accumulation de mauvaises idées : on finit par être encombré. J’ai lu un article là-dessus, il y a quelques semaines.

Le sucre, il faut le voir comme un élément perturbateur, un invité indésirable. Il déséquilibre tout; l’équilibre intérieur, la paix mentale, la santé. C’est un peu comme une invasion.

Fonction hépatique: Le foie, pauvre foie, il doit travailler jour et nuit pour gérer cette invasion. Je me demande parfois si les foies ont des syndicats… ils devraient.

Bref, la liste est longue, et j’en ai probablement oublié des choses. Mon régime alimentaire, ces derniers temps, est assez restrictif. On apprend sur soi en même temps qu’on apprend sur le sucre. C’est paradoxal, non ?

Note personnelle: J’ai diminué ma consommation de sucre il y a 6 mois, suite à une visite médicale (un peu obligatoire, disons le). Mes résultats étaient… encourageants, pour le dire gentiment.

Comment réussir à manger moins de sucre ?

Sucre. Le réduire est un art.

• Liquides. L’ennemi invisible. Les éviter. C’est simple.

• Aliments entiers. La base. Pas de raccourcis.

• Collations. Piège. Anticiper. Préparer. Choisir avec soin. J’ai croisé un vendeur de rue qui vendait des fruits découpés. Un régal.

• Céréales. Un leurre. Les marques. Mentir. Privilégier la pureté. J’aime les flocons d’avoine.

• Cuisine. Le contrôle. Total. Indispensable. Ma grand-mère disait toujours : “On est jamais mieux servi que par soi-même”. Elle avait raison. Sa tarte au sucre était d’ailleurs imbattable, mais ça… C’était avant.

Bonus:

• Lecture étiquettes. Décrypter. Comprendre. Agir.
• Patience. Un processus. Lent. Nécessaire.
• Eau. L’allié. Incontournable. J’en ai toujours une bouteille.
• Alternatives. Tester. Découvrir. S’adapter. Le miel, parfois.
• Lentilles. J’aime les lentilles. Partout. Tout le temps. Ma recette favorite est celle de ma tante Germaine. Gardée secrète.

Comment faire pour ne pas avoir envie de manger du sucre ?

L’eau, premier rempart contre les envies de sucre ? Pas si simple. On dit souvent que la soif se masque en faim, notamment sucrée. Un verre d’eau, c’est donc une première étape logique. Mais attention, l’effet placebo joue aussi un rôle crucial. L’attente qui suit est aussi importante que l’action elle-même. Une introspection, quoi. Un peu comme la méditation, on observe ses sensations.

• Hydratation: On ne le répétera jamais assez. Une bonne hydratation est fondamentale. Manque d’eau = confusion des signaux.

• L’effet placebo: La croyance en l’efficacité de l’eau peut influencer la perception de l’envie. Une forme de suggestion hypnotique, presque.

• Analyse introspective: Après l’eau, on se concentre sur ce qui se passe. Mon corps réagit comment ? Est-ce vraiment du sucre dont j’ai besoin?

On pourrait même parler de philosophie, non ? Le sucre, c’est la récompense immédiate, un plaisir simple. L’eau, c’est plus subtil, moins gratifiant à court terme, une sorte d’ascèse.

Alternatives à l’eau pure: Du thé vert, par exemple. Moins de calories, mais un goût satisfaisant. Hier, j’ai testé une infusion à la verveine, excellent!

L’importance du contexte: L’envie de sucre, c’est aussi une question d’habitude, de rythme de vie, d’émotions… C’est un problème complexe. Il faut aller plus loin que l’eau.

En conclusion (pour faire genre): L’eau est un point de départ, mais elle ne résout pas tout. Il faut aussi travailler sur le “pourquoi” de cette envie. Plus je vieillis, plus je m’aperçois de l’importance de comprendre son corps.

Plus d’infos:

• Nutrition: Un régime équilibré est crucial. Trop de sucre raffiné est l’ennemi.

• Activité physique: L’exercice aide à réguler le niveau de sucre dans le sang. Je cours 3 fois par semaine, ça m’aide bien.

• Gestion du stress: Le stress peut augmenter les envies de sucre. Je pratique le yoga parfois. Bon, pas souvent.

• Sommeil: Un manque de sommeil peut aussi influencer. Je dors mal ces derniers temps…

Quels sont les effets de manger trop de sucre ?

Bon, alors, le sucre… trop de sucre, hein ?

• Caries, direct. On le sait, ça colle aux dents, les bactéries adorent.
• Poids. C’est clair. Trop de sucre, c’est trop de calories, pas besoin d’être Einstein pour comprendre. En plus, ça te donne envie de manger encore plus de sucre, un cercle vicieux quoi.
• Le diabète… Type 2, paraît-il. Est-ce qu’il y a une différence entre le type 1 et le type 2?
• Et le coeur aussi ! Les maladies cardio-vasculaires, c’est pas la joie. Maman en a eu, c’est pas drôle.

Ah oui, les boissons sucrées, c’est le pire. Le soda, les jus de fruits… Une horreur. Tellement facile d’en abuser. Est-ce que le miel, c’est mieux?

Tiens, parlant de ça, faudrait que je pense à faire mes courses, j’ai plus de lait. Et faut que j’appelle le garagiste aussi, cette voiture qui fait un drôle de bruit…

Est-ce que les édulcorants sont bons? J’ai toujours un doute.

Et puis, est-ce qu’on sait vraiment tout ça avec certitude ? Les études, c’est souvent compliqué à interpréter, non?

Informations supplémentaires :

• Le sucre active les zones de récompense du cerveau, un peu comme certaines drogues. C’est pour ça que c’est si dur de s’en passer.
• On trouve du sucre caché partout : dans les sauces, le pain, les plats préparés… Faut lire les étiquettes.
• Certaines études lient la consommation excessive de sucre à des problèmes de peau (acné, eczéma).
• Le sucre peut perturber le sommeil.
• Le foie transforme le sucre en graisse. C’est ce qu’on appelle la stéatose hépatique non alcoolique.
• L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de limiter sa consommation de sucre ajouté à 25 grammes par jour (environ 6 cuillères à café).

Quelle conséquence quand on mange trop de sucre ?

J’étais à Biarritz, cet été, juillet, pendant les vacances de mon fils. On avait passé la journée à la plage, sable chaud sous les pieds, odeur d’algues et de sel dans l’air, vraiment un bonheur. Le soir, crêpes party familiale… trop de crêpes, trop de sucre… Une vraie orgie de Nutella, vous voyez le genre.

La semaine suivante, je me suis sentie vraiment naze. Fatigue intense, genre je pouvais dormir 12 heures et encore être crevée. Et des envies de sucre… dégueulasse. C’était horrible. J’avais l’impression d’avoir une boule de plomb dans le ventre. Plus la flemme de tout.

On a fait des analyses de sang après le retour à Paris, un peu par hasard. Rien d’alarmant au niveau du diabète, ouf. Mais le médecin m’a bien sermonnée sur ma consommation de sucre. Il a dit qu’à long terme, c’était vraiment dangereux. Cancer? Il a éludé la question. M’a juste dit que c’était un facteur de risque parmi d’autres.

J’ai 42 ans, et je comprends maintenant que c’est pas une histoire de “on verra bien” pour l’excès de sucre.

• Fatigue extrême
• Mauvaise humeur
• Risque diabète
• Risque maladies cardiovasculaires
• Risque accru de certains cancers (d’après mon médecin)

Ce jour-là à Biarritz, j’ai appris une leçon à la dure.

Mon fils, lui, il a tout mangé sans conséquences… injustice!

J’ai arrêté le sucre. Enfin, j’essaie…

C’est dur. Mais je sais que c’est important.