Quand remettre du sel dans un adoucisseur Culligan ?

Quand faut-il mettre du sel dans son adoucisseur ?

Alors, le sel dans l’adoucisseur, c’est un peu comme mettre de l’essence dans une bagnole, faut pas oublier sinon c’est la panne sèche !

• En gros, une fois par semaine, l’adoucisseur fait sa petite toilette, une sorte de spa pour résine.

• Un sac de 25 kg tous les 2-3 mois, c’est la dose. Imagine, c’est comme si ton adoucisseur mangeait un sac de patates par trimestre, mais des patates salées, bien sûr !

Cependant, si t’as une eau plus dure que le cœur de ma belle-mère, ou une vanne gourmande comme mon oncle au buffet, prévois plus. Et si t’as oublié, pas de panique, ta douche sera juste un peu moins douce ! 😉

En vrai, ça dépend du modèle de ton adoucisseur, de la dureté de ton eau, et du volume de résine. Faut faire confiance à son instinct, comme pour le dosage du Ricard en été.

Comment remplir de sel un adoucisseur deau Culligan ?

Sel pour adoucisseur Culligan : le casse-tête ! On se croirait face à un sphinx ! Bon, déjà, oubliez le 3/4 ! On vise le mi-chemin. Trop de sel, c’est comme trop de sucre dans le café : ça gâche tout.

• Mi-bac : le niveau idéal. Ni trop, ni trop peu. Comme Boucles d’or, mais en plus salé.
• Consommation : ben oui, si vous avez une piscine olympique chez vous, il faudra remplir plus souvent ! C’est comme les chips, impossible de s’arrêter.
• Vidange occasionnelle : un grand nettoyage de printemps pour votre bac à sel. Histoire d’éviter qu’il ne ressemble à la grotte de la mer Morte.

J’ai personnellement renommé mon adoucisseur « Salty ». On est potes maintenant. Je lui parle, je le caresse… Bref. Une fois, j’ai mis trop de sel. J’ai eu l’eau de mer au robinet pendant une semaine. Depuis, je suis raisonnable. Comme quoi, on apprend de ses erreurs (surtout les salées). D’ailleurs, hier, j’ai mangé des anchois. Trop salés.

Doit-il y avoir de l’eau dans le réservoir de sel de mon adoucisseur ?

Réservoir de sel… eau… Attends. C’est quoi déjà le truc ? Ah oui, l’adoucisseur. Faut de l’eau là-dedans ? Logique, non ? Le sel doit se dissoudre. Sinon, ça sert à rien. On dirait du sucre en poudre dans un gâteau sans liquide… Beurk.

• Eau + sel = saumure. C’est ça le truc. La saumure, c’est l’ingrédient magique.
• Pas assez d’eau ? Adoucisseur en panne. Vaisselle sale, peau qui gratte… Horreur.
• Trop d’eau ? Problème aussi. Gaspillage. Et puis, le sel se dissout mal.

Tiens, hier, j’ai vu un truc bizarre avec mon adoucisseur. Un genre de dépôt blanc. C’est quoi ce truc ? Du calcaire ? Possible. Faut que je vérifie le niveau d’eau. Et la quantité de sel. J’ai acheté un nouveau sac la semaine dernière, celui avec l’emballage bleu, chez Bricotruc. Plus cher, mais soi-disant plus efficace. On verra.

Marre de cette eau calcaire. On dirait qu’elle abîme tout. La cafetière, la bouilloire… Même mes cheveux ! Ils sont tout ternes.

• Vérifier le manuel. Bonne idée. Il doit être… Dans la buanderie ? Ou sous l’évier ?
• Appeler un plombier ? Trop cher. Je vais essayer de me débrouiller. YouTube est mon ami.

Bon, allez, j’y vais. Faut que je finisse la lessive. J’ai mis ma nouvelle robe rouge à laver. J’espère qu’elle ne va pas déteindre…

Comment remplir son adoucisseur de sel ?

Sel régénérant. Un tiers du bac. Contrôle régulier. Alarme en cas de manque.

• Type de sel: Spécial adoucisseur. Pas de sel de table, gros sel, sel marin.
• Granulométrie: Sel en pastilles conseillé. Dissolution optimale. Éviter le sel en bloc.
• Niveau: Remplir au tiers. Jamais complètement.
• Fréquence: Variable. Consommation d’eau, dureté. Tous les 2-3 mois en moyenne.
• Indicateur: Adoucisseur équipé d’un système d’alerte. Voyant, message.
• Surveiller: Contrôle visuel régulier. Prévenir les pannes.
• Eau stagnante: Si présente, aspirer avant ajout de sel.
• Manipulation: Sacs lourds. Précautions de sécurité. Dos.
• Stockage: Lieu sec. À l’abri de l’humidité.

Mon adoucisseur, contrôle tous les dimanches. Remplissage tous les deux mois. Sel en pastilles. Jamais eu de problème.

Quand ajouter le sel ?

Mercredi dernier, purée de carottes au menu. Casserole rouge, celle qu’on a depuis des années. 18h30, faim de loup. Eau du robinet, direct dans la casserole. Plaques vitrocéramiques, lent à chauffer, ça m’énerve. Je coupe les carottes, grossièrement. Toujours trop pressée. L’eau frémit. Sel. Paquet bleu, marque de supermarché, celui en promo. Ploc, ploc, deux pincées. Je me suis brûlée la main l’autre jour en vidant les pâtes, douleur lancinante qui revient. Carottes dans l’eau. 20 minutes à attendre. Je déteste attendre. Je regarde par la fenêtre. Voisins rentrent du travail. Chien qui aboie. Routine. Remue la casserole. Carottes presque cuites. Égoutter. Mixeur plongeant. Bruit infernal. Purée un peu liquide. Tant pis. Beurre, une noix. Sel, encore un peu. Goût fade. On mange.

• Eau bouillante pour le sel. Fond de la casserole.
• Casserole rouge. Vitrocéramique.
• Carottes. Purée. Mercredi.
• Sel. Paquet bleu. Promo.
• Brûlure. Pâtes. Main.