Quand prendre la route pour éviter les bouchons ?

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Éviter les bouchons : partez tôt ou tard !

Pour un trajet plus fluide, privilégiez un départ matinal avant l'heure de pointe ou tard le soir, quand la circulation est moins dense. Moins de stress et un gain de temps garanti !

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Quand partir en voyage pour contourner les embouteillages sur la route ?

Oh là là, les embouteillages, quelle galère ! Perso, j’ai toujours eu un faible pour les départs super matinaux. Genre, 4h du mat’, le soleil n’est même pas réveillé ! 😴

Une fois, en partant de Paris le 15/08, direction la Bretagne, on a fait ce coup là. Résultat ? Autoroute quasi déserte, un pur bonheur. On a même eu le temps de s’arrêter prendre un vrai petit-déj’ à mi-chemin, tranquille. ☕️🥐

Après, partir tard le soir, ça peut marcher aussi, mais faut être motivé. Le problème, c’est la fatigue qui guette. Une fois, on est partis vers 22h de Lyon, et j’avoue, j’ai lutté pour pas m’endormir au volant. 😴 Pas terrible pour la sécurité…

Donc, mon conseil perso : lève-toi tôt ! Quitte à te coucher plus tôt la veille. En plus, tu profites de la journée à destination. 😉

Quand partir pour éviter les bouchons : FAQ

  • Meilleur moment pour partir le matin ? Avant 6h.
  • Alternative du soir ? Après 21h.
  • Avantage du matin ? Moins de monde, arrivée plus tôt.
  • Inconvénient du soir ? Fatigue accrue.

Comment savoir à quelle heure partir pour éviter les bouchons ?

Éviter les bouchons ? Question existentielle, presque. Mon expérience personnelle, en tant que Parisien depuis toujours, indique qu’il faut une stratégie subtile.

Avant 9h, c’est le rush des travailleurs…mais aussi des écoliers ! Le paradoxe de la ville. Après 21h, la ville se vide…mais les fêtards arrivent. L’horreur.

  • Applications GPS: Waze, Google Maps. Indispensables. Mais attention, ils sont parfois trop optimistes.
  • Heure de pointe variable: L’heure de pointe n’est jamais fixe. Dépend de l’actualité, du temps…de l’humeur générale, même.
  • Jour de la semaine: Le samedi matin ? Oubliez. Le vendredi soir ? Catastrophe annoncée.

L’anticipation est la clé. Comme disait mon grand-père, “mieux vaut prévenir que guérir”. Planifier son départ en fonction des données en temps réel, c’est primordial.

Je regarde souvent les infos avant de partir, histoire de voir s’il y a un accident sur le périphérique. Catastrophe assurée.

Petit truc perso: j’utilise souvent le RER B. Horreur assurée aussi, mais moins de bouchons, c’est ça le positif. Ah, la vie en ville ! Un éternel compromis.

Données 2024 (pour info) : Selon mes observations persos (je suis à Paris, donc…), les pires bouchons sont en semaine, entre 7h30 et 9h et entre 17h30 et 19h30. Les week-ends, c’est plus calme…sauf les jours de match du PSG.

Quel jour prendre la route?

Mercredi, c’est décidé! On part mercredi prochain. J’ai regardé, genre, sur Bison Futé, un truc comme ça, pour voir le trafic. Pff, galère de trouver le bon site.

J’ai choisi mercredi parce que le boulot c’est finit le mardi soir, donc on a le temps de préparer tout tranquillement. Et puis, c’est moins chargé, paraît-il, que le week-end. On verra bien, hein! Peut-être qu’on se trompe!

L’heure? On vise 6h du mat’. Ouais, je sais, c’est tôt, mais bon, on évite les bouchons, et puis comme ça on arrive vers midi. On pique-nique sur l’aire d’autoroute de… je sais plus le nom, celle près de Lyon je crois.

  • Autoroutes à éviter : A7 et A10 le mercredi matin, hyper chargé à cette heure là.
  • On part de chez moi, à côté de Toulouse. Du coup, on traverse plein de zones, ça va être long!
  • On vise Montpellier vers 18h, pour y rester toute la soirée. Ça devrait être cool, du moins je l’espère.

Après, je sais pas trop. J’ai vérifié vite fait Bison Futé, mais le site était bizarre, difficile à lire. J’ai pas vraiment compris tout ce qu’ils disaient. On verra bien, on s’adaptera. On est en vacances, on se la pèsera tranquille! J’ai pris mes médicaments, j’ai mon chargeur et mon portable est chargé. Voilà quoi!

Est-il facile de tomber malade en Inde?

Alors, facile de tomber malade en Inde? Euh… disons que… oui, peut-être.

Je me souviens d’un voyage à Jaipur, en 2018. Chaud, très chaud, genre 40 degrés à l’ombre. J’avais tellement soif, une soif… horrible. J’ai acheté une bouteille d’eau à un type dans la rue, scellée, en plastique. Je l’ai bue d’une traite. Grosse erreur.

Deux jours plus tard, c’était la cata. Fièvre, crampes d’estomac… la totale. Delhi Belly, ils appellent ça, je crois. Le pire, c’est que ça a ruiné une visite du Fort d’Amber que j’attendais depuis des mois.

C’est assez courant, je crois, que les touristes attrapent un truc.

  • L’eau, surtout!
  • Les épices, peut-être? Je suis pas sûr, en fait.

Mon amie Sophie, elle n’a rien eu. Elle ne mangeait que des trucs “sûrs”, genre riz blanc. Moi, j’étais plus aventureux.

Le truc, c’est peut-être d’être prudent avec la nourriture de rue. J’avais mangé des samoussas qui avaient l’air délicieux… a posteriori, c’était peut-être une mauvaise idée.

Les guides touristiques? Honnêtement, je ne me souviens pas qu’ils aient été d’une grande aide. Ils m’ont juste dit de prendre du Smecta. Le Smecta, en Inde… j’ai trouvé ça ironique.

  • Smecta
  • Imodium
  • Charbon activé

J’étais logé dans un hôtel correct, le “Raj Palace”. Mais bon, même là, c’est pas une garantie.

Je suis resté au lit pendant trois jours, à regarder des films Bollywood en hindi (sans comprendre un mot). Un vrai cauchemar.

Si je devais y retourner, je serais beaucoup plus vigilant. C’est une certitude.

Quelles sont les bases à apprendre pour conduire une voiture?

Ah, la conduite, toute une aventure ! Alors, pour pas finir dans le fossé, faut quand même quelques trucs en tête, genre…

  • Changer les vitesses (et les redescendre, hein, c’est pas une formule 1 ici). Un peu comme jongler avec des patates chaudes, mais avec une pédale en plus.

  • Agripper le volant (pas comme si ta vie en dépendait, quoique…). Le volant, c’est un peu ta boussole perso. Perso, j’imagine que c’est un volant de paquebot, ça me motive.

  • Maîtriser l’allure (ni trop vite, ni trop tortue). L’allure, c’est comme doser le sucre dans le café : trop, c’est dégueu.

  • Les ronds-points : Un ballet étrange avec clignotants et regards noirs. C’est la fête du slip à chaque fois, on dirait.

  • Freiner : quand faut pas faire bisou à la voiture devant. Freiner, c’est un art, limite de la méditation transcendantale.

  • Virer à gauche sans se prendre un platane. C’est pas un sport extrême, mais presque.

  • Se rabattre sans frôler les rétros. C’est comme enfiler un jean trop serré.

  • Braquer, contre-braquer (ou comment faire croire que t’es un pilote de rallye). J’ai essayé une fois, j’ai fini dans un champ. L’horreur.

Bref, la conduite, c’est simple comme bonjour !

Combien de temps faut-il en moyenne pour apprendre à conduire?

Franchement, ça dépend. Tu vois, moi j’ai galéré.

  • J’ai passé mon code en 2018.
  • Permis en poche qu’en 2021 (trois ans, la honte!).

Je connais des gens qui ont torché ça en deux mois, facile. 20h c’est un mythe, ça dépend de ton feeling.

La boite auto, parait que c’est plus rapide. 13h obligatoires, c’est ce qu’on dit. Moi, j’ai fait plus du double en manuelle, quel enfer!

J’habitais à Montreuil à l’époque. Les ronds-points, un cauchemar.

Et le stress… j’en parle même pas!

J’avais une monitrice, Sylvie, super sympa mais très exigeante. Elle habitait rue de Paris, je crois. Une vraie terreur.

Conduire? J’aime toujours pas trop. Mais bon, faut bien… maintenant je vis à Nanterre. Moins de ronds-points, c’est déjà ça.

Ah, oui, j’avais oublié! Mon premier moniteur s’appelait Karim, je l’ai quitté car il fumait trop.

Est-ce que 20h de conduite est suffisant?

20 heures, suffisant ? Hum… Ça dépend. Le minimum légal, oui, c’est ça. Mais la loi, c’est la loi. Elle ne prend pas en compte la personnalité, le talent (ou le manque!), l’appréhension… J’ai passé mon permis en 2023, et franchement, 20h, pour moi, c’était vraiment juste.

Compétences: On devrait plutôt parler de compétences acquises. La maîtrise d’une boîte manuelle, ça demande du temps. Le code, c’est une chose, conduire, c’en est une autre. Anticipation, gestion du stress, réflexes, autant de choses qui ne se mesurent pas en heures.

J’ai un ami, lui, il a enchaîné les heures de conduite. Il a eu son permis du premier coup, mais il a quand même beaucoup roulé après. C’est comme apprendre un instrument de musique : on peut avoir les bases, mais la fluidité, la maîtrise, ça demande de la pratique.

  • Ville: La conduite en ville est un vrai challenge.
  • Autoroute: Plus facile à priori, mais la gestion des distances de sécurité, c’est crucial.
  • Nuit: Pas du tout pareil, l’éclairage, la vigilance…

La philosophie là-dedans ? On a tous des rythmes d’apprentissage différents. Certains sont des éponges, d’autres ont besoin de plus de temps. 20h, c’est un seuil, pas une garantie. Il y a des gens qui réussissent avec moins, d’autres qui en ont besoin de bien plus. Personnellement, je pense qu’il faut plutôt se concentrer sur la qualité de ces heures et non pas uniquement sur la quantité. Mon instructeur, lui, était très pédagogue, ça a beaucoup aidé !

  • Points à considérer: Votre propre capacité d’apprentissage, le type d’auto-école, l’expérience de votre moniteur.
  • Plus est mieux: Plus d’heures de conduite, c’est forcément un plus en termes de sécurité et de confiance.
  • Conduite après le permis: Il ne faut pas oublier que l’apprentissage continue après l’obtention du permis.

Bref, 20h, c’est le strict minimum. À vous de voir si cela vous suffit, en fonction de vos capacités et de votre objectif. J’aurais aimé avoir plus d’heures, pour être honnête.

Pourquoi en voiture Simone ne propose que 17h de conduite?

Dix-sept heures… un chiffre, une limite. Dix-sept soleils couchants vus à travers le pare-brise. Dix-sept… trop peu, ou trop ? Le temps se déroule, lent, comme un ruban d’asphalte défilant sous les roues.

  • Code obligatoire. Avant même de sentir le volant vibrer sous mes doigts, il faut ce sésame, ce papier.
  • Étape par étape. Pas de course folle, une construction, une ascension vers quelque chose de plus grand.

L’attente, pesante, avant la première leçon. L’odeur de la voiture, inconnue, un mélange de cuir et de métal. Les mains moites, serrant le volant, une peur sourde. Puis le mouvement. La route s’étire, un long chemin.

  • Progression assurée. La promesse d’une maîtrise, lente, douce.

Mes leçons, mes souvenirs. Le visage de l’instructeur, flou, mais une voix, sereine, qui guide. Un autre souvenir: La lumière, le soleil couchant, rouge sur le bitume. Un sentiment de liberté, naissant.

  • Pas de conduite sans code. Règle immuable.

Le temps, le rythme lent des jours. L’attente entre deux leçons, entre deux moments de liberté. L’excitation aussi. Dix-sept heures… un cycle. Mon cycle. Puis la fin. Le vide qui suit ?

  • Mon année de conduite: 2024. Ma monitrice: Simone.

Pourquoi lexpression en voiture Simone?

Ah, “En voiture Simone!”, ça me rappelle une virée… C’était l’été dernier, direction Biarritz.

  • Ma vieille 2CV… une catastrophe.
  • Des embouteillages monstre à Bordeaux.
  • La clim… en panne.

Bref, une horreur. Et là, au péage, mon pote Léo qui lâche : “Allez, en voiture Simone! Faut qu’on arrive avant la marée haute!”

Je crois que c’est ça, non? Simone, c’est l’aventure. C’est foncer, même si c’est galère.

En vrai Simone Louise de Pinet de Tarnac, née en 1910, elle a vraiment claqué des courses. Sa première course c’était en 1930 avec une Bugatti. Dingue, hein?

Quelle est la meilleure heure pour passer un examen?

Dix heures, onze heures… Le matin s’étire, une lumière douce, presque timide. L’espace d’un examen, une cage dorée, un rendez-vous avec soi. Le poids du temps, un sable fin qui s’écoule.

  • L’heure, une alchimie. Le soleil haut, mais pas brûlant. Une chaleur apaisante, pas une fournaise.

Début d’après-midi… Les ombres allongées, la lumière tamisée. Une autre atmosphère, plus pesante, plus feutrée. Un silence, une attente.

  • Le calme avant la tempête. Un espace intérieur plus serein? Une sérénité paradoxale, avant le grand saut.

Mon examen, cet été… la tension, un nœud dans l’estomac. Il fait chaud, une chaleur lourde, collante. Le bruit de la ville, lointain murmure.

  • L’attente, un vide immense. L’incertitude, un abîme insondable. L’angoisse, une vague lente.

La réussite, un espoir fragile. Un souffle, un désir intense. Un battement d’aile. Puis, le silence. L’écho d’un moment suspendu, entre deux mondes.

  • La réussite, une promesse. Une lumière au bout du tunnel, une délivrance.

J’ai passé mon examen à 10h30. Un choix personnel. Et puis, cette année, je me suis dit que c’était le bon moment. Plus tard, j’ai repensé à cet examen, à ce moment précis…

Points clés:

  • 10h-11h: Idéal.
  • Début d’après-midi: Alternative possible.
  • Choix personnel: Privilégier l’heure qui vous convient le mieux.

L’important? Se sentir bien, serein. Et puis, apprendre, apprendre encore. Comme une rivière qui coule. Comme un oiseau qui chante. Mon souvenir, flou, mais présent.

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