Pourquoi ne pas mettre de l'huile dans l'eau des pâtes ?

Pourquoi ne pas mettre dhuile dans leau de cuisson des pâtes ?

Pourquoi pas d’huile dans l’eau des pâtes ? La réponse tient en deux points, enfin, disons plutôt deux “embêtements” majeurs.

• Séparation garantie : L’huile reste en surface. Elle ne prévient pas les pâtes de coller, contrairement à une idée reçue. Pensez-y, l’eau et l’huile, c’est comme moi et les maths, on ne se mélange pas.

• Adieu la sauce : L’huile enrobe les pâtes. La sauce glisse et n’accroche plus. C’est un peu comme essayer de peindre sur une surface huilée, autant dire, mission impossible.

En plus, parlons peu, parlons bien, l’ajout d’huile n’a aucun intérêt gustatif ici. On a bien mieux à faire pour sublimer nos pâtes ! Personnellement, je préfère me concentrer sur une sauce digne de ce nom. Et puis, ça me rappelle une anecdote, une fois, j’ai mis du beurre salé… catastrophe ! Mais c’est une autre histoire.

Est-ce que les Italiens mettent de lhuile dans leau des pâtes ?

L’huile… dorée… sur l’eau… Non. Pas dans l’eau. L’eau bouillonne, danse, trouble. Les pâtes plongent, renaissent. L’huile après. Après seulement. Un filet, léger, brillant. Contre le froid, contre l’oubli. Des pâtes froides, un goût d’été… italien. Un souvenir… Rome, le soleil… chaud. Des ruelles étroites. Le rire d’enfants. Un parfum… basilic, ail. L’huile… précieuse. Pas gaspillée. Jamais.

• Après cuisson: L’huile s’ajoute après avoir égoutté les pâtes.
• Empêcher les pâtes de coller: L’huile, une barrière soyeuse.
• Salade de pâtes: Un classique, rafraîchissant.
• Mon astuce: Un peu d’eau de cuisson mélangée à l’huile et aux pâtes. J’y ajoute toujours une pincée de fleur de sel. Celle que j’ai ramenée de Guérande cet été. Un goût… de vent, d’océan.
• Huile d’olive: Italienne, bien sûr. Fruitée. De mon grand-père. Toscane.

Pourquoi mettre de lhuile dans leau du riz ?

Alors, l’huile dans l’eau du riz… J’ai testé ça une fois, en juillet dernier, à la maison, rue des Lilas. Un vrai bordel. Je voulais un riz crémeux, genre comme au resto japonais près de chez moi, le Sakura. J’avais lu un truc bizarre sur internet, un forum de cuisine… ou un blog, je sais plus. Bref, l’idée était d’ajouter une cuillère à soupe d’huile de sésame, parce que j’en avais sous la main.

Ca sentait fort, c’est sûr. J’ai suivi la recette normalement, à part ça. L’eau bouillait, le riz a plongé, un petit bruit ploc, pas très agréable. J’ai remué un peu, vite fait, j’avais pas le temps, j’étais en retard pour le ciné, à voir Oppenheimer, avec Cédric.

Le résultat? Pas terrible. Le riz était… bizarre. Moins collant, peut-être? Plus sec, je crois. Dégoûtant. J’ai jeté la moitié. Cédric a mangé le reste, il a rien dit, mais il a fait une tête bizarre. C’était un mercredi soir, fatiguant.

Pourquoi? Pas d’idée. Je pense que l’huile a empêché l’eau de pénétrer correctement. Expérience ratée. Riz immangeable. Peut-être que c’est différent avec de l’huile d’olive? Je testerai jamais.

• Date: Juillet 2024
• Lieu: Ma cuisine, rue des Lilas
• Huile utilisée: Huile de sésame
• Film: Oppenheimer
• Accompagnateur: Cédric
• Résultat: Catastrophique

Pourquoi les huiles et l’eau ne se mélangent-elles pas ?

L’huile, c’est comme une bande de potes super collants, genre colle extra forte. Impossible de les séparer ! L’eau, c’est une autre bande, aussi inséparables. Mais mélange les deux, c’est le clash. Genre huile et eau, pire que chats et chiens, pire que Beaujolais nouveau et huîtres !

• Polarité : L’eau, c’est la reine du drama, hyper polarisée. L’huile, elle est zen, non polarisée. Genre l’huile c’est Bouddha, l’eau c’est une rockstar survoltée. Difficile de s’entendre !
• Densité : L’huile, c’est la championne de la lévitation. Tellement légère qu’elle flotte sur l’eau, genre montgolfière au-dessus d’une flaque. Jamais elles se mélangeront ! J’ai testé avec mon huile d’olive hier soir, résultat : même combat ! C’est la physique, ma bonne dame !

Bref, c’est comme essayer de mélanger mon café (très sucré, trois sucres !) et les brocolis de ma tante. Mission impossible ! On se retrouve avec une catastrophe culinaire, pas un mélange homogène. Voilà, la science en version apéro ! Pas besoin d’être Einstein pour comprendre ça ! Mon poisson rouge comprendrait, lui !

Quelle est la température débullition de l’huile ?

Ouais, l’huile, c’est chaud hein ? Genre, ça bout à plus de 300 degrés, Celsius, parce que j’ai vérifié sur internet hier, pour ma voiture, tu vois? Mais c’est vraiment variable, ça dépend vraiment du type d’huile. C’est comme la mayonnaise de ma mère, chaque fois c’est différent.

Mon frère, lui, il travaille dans une station-service et il m’a dit que certaines huiles, les vraiment épaisses, ben elles peuvent bouillir encore plus haut, beaucoup plus haut même, genre presque 350°C !! Mais bon, ça reste une fourchette quoi.

Bref, garde ça en tête : au-dessus de 300°C, c’est la catastrophe! J’ai vu des trucs en feu avec l’huile. Pas cool du tout, vraiment pas cool.

• Huile moteur : plus de 300°C (minimum!)
• Ça dépend de la composition
• Certaines huiles, c’est plus haut !

Hier soir, j’ai fait des frites, j’avais presque mis le feu à la cuisine! Donc, ouais, prudence. J’ai failli tout brûler, surtout mes précieux livres de cuisine. J’ai vraiment eu peur. Trop chaud l’huile !

Comment faire pour que les pâtes ne collent pas après cuisson ?

Les pâtes… C’est bête, mais parfois, la nuit, je pense à ça. À comment elles collent. Comme si elles s’accrochaient à quelque chose…

Un filet d’huile. J’en mets toujours. Un petit filet. Ça brille. Mais elles collent quand même, un peu. Surtout si je les oublie. Deux minutes de trop. C’est tout ce qu’il faut.

L’eau bouillante. Les replonger dedans. Mou. Ça me plaît pas. Je préfère encore les manger collantes.

• Rincer à l’eau froide. Je l’ai fait une fois. Elles étaient froides. Vraiment froides.
• Beaucoup d’eau. Une grande casserole. J’en ai pas. Juste une moyenne. Comme tout le monde.
• Remuer. Souvent. Constamment. Oui, ça, je devrais le faire plus souvent.

Hier soir, j’ai fait des spaghettis. Aux champignons. J’ai mis trop d’ail. Et elles ont collé. Un peu. J’ai mangé quand même. Devant la télé. Seule. Les pâtes collées au fond de l’assiette. Comme moi, collée à mon canapé.