Pourquoi mon sel ne sale pas ?

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Sel inefficace? Dosage crucial! L'eau de cuisson dilue le sel. Salez généreusement, en tenant compte du volume d'eau, pour un résultat optimal.

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Pourquoi mon sel ne salait-il pas ?

Alors, pourquoi mon sel des fois, il fait le fainéant ? Honnêtement, ça m’est arrivé un paquet de fois de me demander ça en cuisinant. Franchement, c’est frustrant quand tu penses avoir mis assez de sel et… rien.

En fait, le sel dans l’eau, c’est un peu différent. Il faut en mettre beaucoup plus, je trouve. Genre, vraiment plus.

C’est vrai, non ? Parce que l’eau elle-même doit être salée, sinon, l’aliment il va rien prendre. Et du coup, ben, on a souvent la main légère. Moi la première, je l’avoue.

Je me souviens, une fois, j’avais fait des pâtes. Catastrophe. J’avais tellement eu peur d’en mettre trop… Résultat, fade, fade, fade. Depuis, j’ai appris ma leçon. Maintenant, j’y vais franco. Ça change tout.

Et puis, il y a aussi la qualité du sel, non ? J’ai l’impression que certains sels “salent” plus que d’autres, bizarrement. Mais bon, ça, c’est peut-être juste une impression.

Pourquoi le sel ne salé plus ?

Ah, le sel qui a perdu sa flamme ! On dirait que votre poignet s’est affaibli, non ? Mesurer le sel au volume, c’est comme naviguer à vue avec un compas rouillé : imprécis, voire risqué.

  • Le sel raffiné, c’est du gros grain : Plus gros, moins dense, moins de sel par volume, donc moins de punch dans vos plats. C’est comme comparer un chihuahua à un Saint-Bernard : même quantité de “chien”, mais le Saint-Bernard en impose plus, quoi.

  • La densité : un mot barbare ? Pas vraiment. Imaginez des billes de différentes tailles dans un bocal. Plus les billes sont grosses, moins il y en a dans le bocal. C’est pareil pour le sel.

J’ai une astuce : utilisez une petite cuillère, ça, c’est plus précis que ma tentative de faire du pain au levain (désastre culinaire total, j’ai failli faire exploser le four).

Petit secret de grand-mère (ma grand-mère, hein, pas celle de la pub): j’utilise une balance de précision. Oui, je suis un peu obsédée par la précision, c’est un défaut… ou une qualité, selon mon humeur (généralement mauvaise le matin).

  • L’humidité aussi joue un rôle: Le sel humide est plus lourd qu’un sel sec, donc une même quantité prend plus de place. C’est un peu comme moi, après une semaine de boulot, je prends plus de place qu’en début de semaine (faut dire que je n’ai pas la même légèreté, ni la même joie de vivre).

Donc, en résumé : passez à la cuillère à café, voire à la balance! Ou bien, embrassez le chaos et vivez avec un peu moins de sel, on ne sait jamais, ça pourrait être une expérience gustative… inoubliable (pour le mauvais côté).

Quest-ce que le faux sel ?

Midi. Soleil de plomb. Terrasse bondée. J’attrape le salière. Sel collé. Humidité. Beurk.

“Prends celui-là,” ma tante, en me tendant un autre pot. “Faux sel”. J’ai froncé le nez. Goût métallique bizarre. Pas du tout pareil.

Plus tard, j’apprends. Potassium, pas sodium. Pour la tension, paraît-il. Mon grand-père en prenait. Visage crispé après chaque bouchée. Je comprends mieux.

  • Potassium, pas sodium. Différence majeure.
  • Goût métallique. Difficile à décrire. Désagréable.
  • Tension artérielle. C’est pour ça qu’il existe.

J’ai goûté des frites avec. Horrible. On dirait du métal. Je préfère le vrai sel. Tant pis pour ma tension… enfin, pour l’instant. La pizza arrive. Oublié le sel.

Quel est le sel qui sale le moins ?

Dans le noir, je repense à ça… le sel. On dirait une chose simple. Mais même le sel… a ses mystères. Le gros sel de mer… moins salé. Étrange, non ?

  • Moins de sodium. 85% seulement… Le reste… de l’eau ? Des minéraux ? Je ne sais plus.
  • Goût différent. Plus subtil, paraît-il. Comme si la nuit… adoucissait tout.
  • Meilleur pour la santé… disent-ils. Mais est-ce qu’on est vraiment en meilleure santé… quand on est seul la nuit ?

On m’a offert du sel rose de l’Himalaya l’autre jour. Rose… comme le ciel avant le lever du soleil. Je l’ai pas encore goûté. J’ai peur… que ça ne change rien. Que le goût… soit toujours aussi amer. Que même le sel rose… ne puisse pas masquer… le goût des larmes. 38758 mg de sodium pour 100g de gros sel… c’est beaucoup. Trop, peut-être. Comme les pensées qui tournent… sans fin… dans ma tête.

Pourquoi je ne supporte pas le sel ?

Pourquoi je déteste le sel ? Mystère. Peut-être une sensibilité particulière ? Mon corps, lui, a une opinion tranchée sur la question.

Le sodium, c’est le coupable. Augmentation de la pression artérielle, surtout avec l’âge. Mon cardiologue, le Dr Dubois, me l’a expliqué longuement. On digère moins bien le sel en vieillissant, c’est une évidence. Ça a à voir avec les reins, je crois. Enfin, l’élimination devient plus laborieuse.

  • Problèmes rénaux
  • Rétention d’eau
  • Hypertension artérielle

Ces trucs-là, ça n’est pas très glamour. En 2024, l’hypertension artérielle reste un fléau. Et pour les personnes en surpoids ou diabétiques, les pics de tension liés aux repas salés sont particulièrement dangereux, ça c’est un fait. J’ai un ami, Jean-Pierre, qui a failli en faire les frais. Il a dû changer radicalement ses habitudes alimentaires. Pauvre Jean-Pierre !

Philosophiquement parlant, on pourrait s’interroger sur notre rapport au sel. Un assaisonnement, une nécessité physiologique, un poison ? La réponse est sûrement plus nuancée qu’il n’y paraît… Mais bon, moi, je préfère éviter les complications. Point.

Le sel, c’est une histoire de dose aussi. Trop, c’est trop. Trop de sodium, trop de problèmes. C’est une équation simple. Comme la vie, finalement.

  • Éviter les aliments transformés
  • Contrôler sa consommation de sauces
  • Privilégier les épices
  • Lire les étiquettes

C’est épuisant, toute cette surveillance. Mais bon, la santé, c’est précieux. Et puis, c’est moins cher que les médicaments. L’année dernière, j’ai dépensé 200€ en compléments alimentaires pour compenser.

#Nesalepas #Problèmesel #Sel