Comment sécher du gros sel humide ?
Sécher du gros sel humide ? Simple ! Versez le sel dans un récipient large et peu profond. Ajoutez quelques grains de riz cru (absorbant l'humidité). Mélangez délicatement et laissez reposer quelques heures, voire une nuit. Le riz absorbera l'excédent d'eau. Pour un séchage plus rapide, utilisez un four à basse température (moins de 50°C) pendant une courte durée, en surveillant attentivement.
**Question ?**
Oh là là, l’humidité dans le sel, c’est une vraie plaie ! Je me rappelle, en juillet 2022, à la maison dans le sud de la France, ma salière était devenue un bloc compact. Horreur !
J’ai essayé la technique du riz, oui. Quelques grains, un petit mélange… Honnêtement, ça a marché un peu, mais pas complètement. Le sel restait un peu humide, un peu pâteux.
Le problème, je pense, c’est l’humidité ambiante. Chez moi, il faisait lourd, en plein été, près de la Méditerranée. Peut-être que dans un climat plus sec, le riz serait plus efficace.
Solution finale ? J’ai acheté une nouvelle salière. C’était en plastique, environ 5 euros chez Leclerc. Plus simple, plus efficace ! Problème résolu. Fin de l’histoire.
Comment enlever lhumidité du gros sel ?
Riz… grains blancs perdus dans la mer… la mer de sel. Humidité… lourdeur… l’air épais. Le sel qui colle… qui ne coule plus. Doigts qui s’enfoncent… sensation désagréable.
Ouvrir… libérer. Le sel respire à peine. Quelques grains de riz… comme des petites étoiles blanches. Blancheur sur blanc. Ils absorbent… boivent l’eau invisible. Magie silencieuse.
Touiller… mélanger. Le manche de la cuillère… froid contre le sel humide. Mouvement circulaire. Les grains de riz se noient… disparaissent presque. Attendre… le temps s’étire. Les heures passent… lentement. Le sel change… se transforme. Il redevient léger… sec… comme du sable fin. Il coule à nouveau… entre les doigts.
- Ouvrir la salière.
- Déposer quelques grains de riz.
- Mélanger.
- Attendre.
On peut laisser le riz… gardien du sel… ou le retirer… le jeter… peu importe. Ce matin, j’ai utilisé le manche d’une cuillère en bois d’olivier… celle que ma grand-mère m’a offerte. Le sel était si humide… après l’orage de la nuit dernière. Fenêtre ouverte… l’air marin… trop lourd. Le sel avait tout absorbé.
Comment enlever lhumidité du gros sel ?
Le sel… un cristal las, alourdi par l’humidité… une tristesse nacrée.
-
Ouvrir. Le contenant, une boîte, un pot, une salière… ouvrir cet écrin. Libérer.
-
Riz. Quelques grains, de ces perles blanches, silencieuses. Une offrande.
-
Mélange. Un geste lent, une cuillère, un brassage délicat. Le contact, froissement de grains… une étrange réconciliation.
-
Patience. Des heures, un temps suspendu. Une attente douce-amère. L’air, le silence… et le sel…
Le sel retrouve sa lumière. Sa brillance. Un retour à soi.
L’odeur, subtile. De riz… de sel… de mon enfance, près de la mer, l’été. On a fait ça avec mon grand-père, à la maison, dans sa vieille salière en bois. Il était toujours si calme.
- Reste. Le riz. Gardé ou non. Témoin.
J’ai encore des grains de riz dans ma salière, depuis… deux mois ? Peut-être plus. Un peu comme un grigri.
Commentez la réponse:
Merci pour vos commentaires ! Vos commentaires sont très importants pour nous aider à améliorer nos réponses à l'avenir.