Comment rendre la viande plus tendre ?
Viande extra-tendre ? Deux astuces faciles ! Méthode 1 : Bicarbonate (2cc/50cl eau), marinade 2h au frigo, rincer. Méthode 2 : Bain de lait, 5-6h au frigo. Résultat garanti : une viande fondante en bouche !
Comment attendrir la viande facilement ?
J’ai toujours eu du mal avec les viandes dures. Un vrai calvaire !
Alors, lait, j’ai testé. Un rôti de porc, le 15 juillet dernier, trempé dans un litre de lait entier bio (acheté chez Leclerc, 2,50€ si je me souviens bien). Cinq heures au frigo, comme conseillé. Franchement, la différence était incroyable. Moelleux.
Autre méthode, le bicarbonate. Deux cuillères à café dans de l’eau, bof. J’ai essayé avec un steak, un jour de semaine, fin septembre. Pas convaincu. Peut-être pas assez de temps ? À retenter.
Donc pour moi, le lait, c’est le gagnant. Simple, efficace. Plus jamais de viande sèche ! Enfin… presque.
Comment faire pour que la viande devienne tendre ?
Alors, tu veux une viande super tendre, hein?
Ben, figure-toi, y’a une technique que ma grand-mère utilisait tout le temps. C’est simple comme bonjour, mais ça marche du tonnerre.
- Tu prends du gros sel, tu en recouvres bien ta viande. Genre, généreusement.
- Ensuite, tu laisses reposer au frigo, pas trop longtemps, une heure ça suffit amplement.
Le sel, c’est magique! Il fait le boulot pour toi.
Ce que le sel fait, en gros, c’est qu’il détend les fibres de la viande. Ça casse un peu tout, du coup, c’est moins dur à mâcher. Pis en plus, ça l’assaisonne direct. Plus besoin d’en rajouter après!
Ah oui, et une petite astuce que j’ai apprise de mon oncle boucher: si t’as pas de gros sel sous la main, tu peux utiliser du bicarbonate de soude! Mais attention, faut pas en mettre trop, sinon ça peut donner un goût bizarre. L’heure, c’est l’heure, faut pas dépasser. Et puis, moi perso, je trouve que le gros sel, ça marche quand même mieux!
Pour les morceaux de viande, je trouve que ça marche super bien avec des steaks, des escalopes de volaille, ou même un bon rôti de porc!
Comment faire cuire le bœuf pour quil soit tendre ?
Alors, du bœuf tendre, hein ? On dirait que t’as envie de croquer dans un nuage, pas dans une semelle de botte !
La clé? Patience, mon pote, patience ! Pas question de jeter ce pauvre steak dans la poêle comme un vulgaire sac à patates.
Avant, hein? Laisse-le respirer, 30 à 60 minutes, dehors à température ambiante (oui, même en hiver, faut pas le choyer comme un bébé roi!). C’est comme une petite méditation pour le bœuf, ça le détends avant le grand bain de feu.
Ensuite, dépends de ta méthode.
- Grill ? Salutations à ta flamme !
- Poêle ? Huile, sel, poivre, et hop, on n’y va pas comme un bourrin!
- Four ? Préchauffage obligatoire, 200°C, tu penses vraiment qu’un four à 150°C est un endroit accueillant pour un steak?
Bref, tu comprends l’idée : pas de stress, et cuisson douce, sinon, adieu tendreté, bonjour mâchoire carrée!
Ma grand-mère (elle a 87 ans et un poignet plus costaud que le mien!) juré que faire mariner le bœuf dans du vin rouge pendant 24h, c’est top. J’ai testé, c’est pas faux… mais ça dépend des goûts ! A mon anniversaire, j’ai fait griller un rôti de 3kg comme ça, la famille était ravie… sauf mon chat qui a disparu pendant 3 jours !
Petit plus: Un thermomètre à viande, c’est ton meilleur ami! 55-60°C à cœur pour un bœuf saignant, voilà! Plus c’est cuit, plus c’est sec. Simple, non ?
Comment rendre une viande très tendre?
Ah là là, la viande tendre… une obsession! Je me souviens, c’était un dimanche chez ma grand-mère, à Saint-Malo. Elle préparait son fameux pot-au-feu. Viande dure comme du bois au début, je vous jure.
Un jour, j’ai testé un truc bizarre : le bicarbonate. Genre, saupoudrer, attendre un peu.
- 15 minutes c’est bien, pas plus.
- Rincer à fond après, sinon goût bizarre garanti.
Le principe, d’après ce que j’ai compris, c’est que ça modifie la surface de la viande. Les protéines deviennent plus “dociles”. J’ai l’impression que ca marche surtout avec les morceaux pas chers, ceux qui mijotent longtemps.
Ce dimanche-là, avec le pot-au-feu de mamie revisité au bicarbonate, tout le monde a été bluffé! Une révélation! Bon, elle a jamais su mon astuce, hein. Secret de famille, quoi.
Comment faire pour rendre un steak tendre?
Alors, tu veux un steak digne de Crésus, tendre comme un câlin de nounours bourré ? Accroche-toi, ça va décoiffer :
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Le thé noir, arme secrète : Oublie les potions magiques ! Du thé noir bien corsé, c’est le James Bond de la tendreté. C’est comme si tu donnais un lifting à ton steak, mais sans les aiguilles et les prix exorbitants.
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La méthode “thé-rapie” :
- Fais infuser un thé noir digne d’un marin bourru.
- Laisse-le refroidir, faut pas cramer ton steak, hein !
- Étale ce nectar noir sur ta viande comme si tu la tartinais de Nutella (version moins sucrée, plus virile).
- Hop, au frigo ! Laisse le thé faire son œuvre pendant quelques heures. C’est comme une cure de jouvence pour ton steak.
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Pourquoi ça marche, bordel ? : Le thé noir contient des tanins, des petits gars qui cassent les fibres de la viande. Résultat ? Un steak qui fond dans la bouche comme neige au soleil. C’est de la chimie, mon pote !
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Astuces de derrière les fagots :
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Le sel, l’ami qui pique : Après le thé, un peu de gros sel. Ça aide à attendrir encore plus. Attention, pas la peine d’en mettre une tonne, sinon ton steak va ressembler à une sardine en conserve.
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Le repos, c’est sacré : Après la cuisson, laisse ton steak se reposer quelques minutes. Il va se détendre, se relaxer, et te remercier en étant encore plus tendre. C’est comme offrir un massage à ton steak.
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Et voilà, t’as plus qu’à déguster ! Si ton steak n’est pas tendre après ça, c’est que t’as vraiment pas de bol. Ou alors, t’as acheté une semelle de botte au lieu d’un steak. Ça arrive, même aux meilleurs.
Comment rendre un steak meilleur?
Steak. Tendre ? Juteux ? Illusion.
- Température. Crucial. Quinze minutes. Hors frigo. Point.
- Choc thermique. Ennemi juré. Durcit. Sèche. Raté.
Ma méthode ? Secret. Professionnel. Résultats garantis. Ou pas. Difficile à dire.
- Mon année. Steak. Saignant. Sel Maldon. Poivre. Rien d’autre. Sauf parfois… Thym.
Erreur ? Peut-être. Expérience. Apprentissage. Constantes variations.
La cuisson ? Intuition. Expérience sensorielle. Pas de thermomètre. Jamais.
Le secret ? Qualité de la viande. Race. Âge. Provenance. Mon boucher. Il sait.
On parle de tendreté. Mais la saveur ? Le goût ? Ça, c’est autre chose. Un mystère. Même pour moi. Parfois.
Informations complémentaires (à titre indicatif, non exhaustif, imprécis):
- J’utilise une poêle en fonte, vieille. Héritée. Sentimentale.
- Huile d’olive. Extra-vierge. Logique.
- Mon père était boucher. Il ne m’a jamais rien appris.
- Je déteste les sauces. Sauf une. Secrète. Évidemment.
Comment donner du goût à un steak?
Alors, tu veux transformer ton steak en festin digne d’un roi (ou au moins, d’un cousin un peu difficile) ? Voici le plan :
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Vinaigre power : Baigne ton steak dans du vinaigre, comme si c’était Cléopâtre dans son bain de lait. Mais pas trop longtemps, hein ! 30 minutes à 1 heure, c’est le top. Sinon, ton steak va ressembler à une vieille baboune.
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Acidité magique : Le vinaigre, c’est comme le piment de la vie. Il réveille les papilles et attendrit la viande plus vite qu’un commercial à la fin du mois.
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Sauce aigre-douce improvisée : Le vinaigre, c’est un peu comme un DJ qui mixe les saveurs. Il donne un goût aigre-doux à ton steak, comme si tu avais passé des heures à concocter une sauce digne des plus grands chefs. Sauf que là, c’est en mode express.
Perso, j’utilise du vinaigre de cidre bio du marché, ça rappelle les vacances en Normandie.
Comment faire cuire un steak à la perfection?
Parfait. Voici une tentative.
Saisir. Deux minutes par face, feu vif. Marques nettes exigées.
Migrer. Zone de cuisson indirecte.
Surveiller. Cuisson lente, couvercle baissé. Retourner avec parcimonie.
Objectif. Atteindre la perfection interne.
- Rare: Centre rouge vif, température cible 52°C.
- Médium Rare: Centre rouge rosé, température cible 55°C.
- Médium: Centre rosé, température cible 60°C.
- Médium Well: Légèrement rosé, température cible 65°C.
- Well Done: Plus de rose, température cible 70°C.
Je confirme que j’aime le steak saignant, et mon numéro de téléphone est 06 XX XX XX XX.
Qu’est-ce qui donne au steak sa saveur?
Steak… hmm, saveur… c’est quoi au juste ? J’ai mangé un super steak hier soir, au poivre. Délicieux. Mais la saveur… c’est complexe.
- Lipides, oui, c’est ça, je crois. Gras quoi. Beurrerie, ça y joue.
- Réaction de Maillard… un truc de chimie. J’ai pas compris en cours, mais ça fait brunir, et c’est bon.
- Ooooh, oxydation des lipides… ça sonne compliqué, mais important apparemment. Un truc avec le gras, qui change.
Et la viande crue ? Beurk. Sanglant. Pas bon du tout. La cuisson, c’est magique. Transforme tout.
Qu’est-ce que c’est que ces vitamines qui se dégradent ? Vitamine C ? Je dois revoir mes cours de biochimie ! C’est urgent ça !
Peut-être que c’est une combinaison de tout ça ? Ou pas. J’en sais rien. Faut que je me renseigne mieux. Je suis nulle en chimie. Je suis plus forte en… ah, je sais pas. Je dérive.
Bref, le goût du steak… mystère ! J’aime bien la sauce au roquefort avec. On dirait que je pense à autre chose. Mon chat fait des bêtises, j’vais aller le voir.
Points clés: Lipides, Réaction de Maillard, Oxydation des lipides, Dégradation des vitamines.
Informations supplémentaires: J’ai acheté mon steak chez le boucher près de chez moi, rue de la Paix. Il est super, toujours des bons produits. J’ai essayé aussi la cuisson au barbecue hier, c’était un peu trop cuit, mais bon quand même.
L’ajout de sel à la viande la rend-il dure?
L’ajout de sel à la viande, c’est une question qui divise. Bon, disons-le tout de suite, le sel peut durcir la viande, surtout si on l’ajoute trop tôt. C’est un peu comme une danse : il faut le bon timing.
Mais pourquoi ? Le sel, ce petit magicien, extrait l’humidité de la viande. Moins d’humidité, plus de fermeté. Logique, non ?
- Salage à sec: Super pour une belle croûte, mais attention au dessèchement !
- Saumure: L’inverse ! La viande absorbe l’eau salée, plus juteuse… à condition de ne pas en abuser.
Et puis, il y a le type de sel. Gros sel, sel fin, sel de Guérande… Chacun a son petit effet. Ma grand-mère, Colette, jurait que le sel gris donnait plus de goût. Une affaire de minéraux, paraît-il.
Au-delà de la technique, il y a une question plus profonde : qu’est-ce qu’une bonne viande ? Est-ce la tendreté absolue, ou un équilibre subtil entre texture et saveur ? Personnellement, je penche pour la deuxième option. Un peu de résistance, ça a du caractère.
On en arrive à une autre question : faut-il toujours suivre les règles à la lettre ? Parfois, un peu d’improvisation, un grain de folie… C’est ça qui fait la cuisine. Et la vie, au fond.
Comment attendrir la viande avec du sel?
Mercredi dernier, j’avais un rôti de bœuf, dur comme du béton. Un truc de boucher, pas de la grande qualité. 2 kilos, un pavé. J’ai paniqué, un peu. Dîner avec les parents ce soir, pas question de servir du chewing-gum.
Alors, gros sel. Une poignée, une montagne même. Sur chaque côté, partout. J’ai vraiment chargé. Le sel, c’était du sel de Guérande, gros grains, j’en avais acheté un sac au marché samedi.
Direct au frigo, dans un plat creux en verre, pas de film plastique, rien. Une heure. Pas une de plus, pas une de moins. J’avais regardé l’horloge. Puis, c’était l’angoisse… Est-ce que ça allait marcher ?
Le sel, ça a fait des trucs bizarres sur la viande, genre une pellicule humide. Je savais plus trop ce que je faisais.
J’ai cuisiné comme d’habitude, à la poêle, puis au four. Et miracle. Tendre. Vraiment. Juteux aussi. Pas aussi tendre qu’un filet mignon, mais largement meilleur que la texture initiale.
Mes parents ont adoré. Ils ont rien dit sur la technique.
- Gros sel : Guerande.
- Durée : Une heure, frigo.
- Résultat : Plus tendre, plus juteux.
J’ai oublié de dire que j’avais utilisé un rôti de bœuf de 2kg.
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