Comment puis-je augmenter ma vitesse ?

0 voir

Pour gagner en vitesse, privilégiez :

  • Le sprint : Courses courtes (5-10s) à fond, suivies de pauses.
  • Lendurance de vitesse : Sprints plus longs pour une amélioration globale.
Commentez 0 J'aime

Comment faire pour courir plus vite ? Oh, cette question me hante, je vous le jure ! J’ai toujours rêvé de sentir le vent me fouetter le visage, de me sentir vraiment voler pendant une course. Mais moi, j’ai toujours été plutôt… “tortue”, on va dire.

Alors, j’ai cherché, fouiné, essayé des tas de trucs. Et vous savez quoi ? Il n’y a pas de recette miracle, c’est sûr. Mais j’ai découvert deux choses qui, pour moi, ont vraiment fait la différence.

D’abord, les sprints courts, genre 5 à 10 secondes, à fond, comme une malade ! Vous savez, ce genre d’effort où vous vous sentez vraiment pousser à vos limites, où vos poumons brûlent, où vous pensez vraiment que vous allez exploser. Puis, une pause. Une vraie pause. Pas juste un ralentissement, non, une pause. J’ai lu quelque part – je ne me souviens plus où, désolé – que c’est crucial pour la récupération musculaire. Et puis, on recommence. C’est épuisant, mais incroyablement efficace. Je me rappelle la première fois que j’ai essayé ça… j’étais à bout, vraiment, les jambes tremblaient comme des feuilles. Mais le lendemain, j’ai senti une différence ! Enfin, une petite amélioration, mais une différence quand même. C’était encourageant, vous imaginez ?

Ensuite, il y a l’endurance de vitesse. Là, on parle de sprints un peu plus longs, mais toujours intenses. Pas de jogging tranquille, non ! Plus long qu’un simple sprint, mais on garde le rythme assez soutenu, pour vraiment solliciter ses muscles. C’est plus dur à gérer, physiquement et mentalement, parce qu’on doit tenir plus longtemps. Un peu comme cette fois où j’ai essayé de suivre mon cousin, un vrai coureur, pendant une course de 100 mètres. Je me suis écroulée au bout de 50, hein ! Mais c’est en essayant de le faire, malgré mes limites, que j’ai vraiment commencé à progresser.

Bref, il faut persévérer, c’est la clé, je crois. Il n’y a pas de magie, juste du travail et de la volonté. Et surtout, il faut s’écouter, ne pas se blesser, et surtout, savourer chaque petite victoire, chaque mètre gagné. Parce que finalement, la vitesse, c’est aussi une histoire de progression, non ?