Comment prouver une intoxication alimentaire dans un restaurant ?

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Preuve dintoxication alimentaire contractée au restaurant :

  • Conservez votre ticket de caisse.
  • Obtenez un certificat médical précisant le diagnostic dintoxication alimentaire et la date des symptômes.
  • Faites analyser les aliments consommés (si possible) par la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Populations) ou une autorité équivalente. Ces éléments renforceront votre demande de réparation.
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Comment prouver une intoxication alimentaire ? Ah, ça, c’est une question que je me suis posée moi-même, il y a quelques années… On était allé dans ce petit resto italien, “chez Antonio”, soi-disant réputé, et là… catastrophe. Une soirée qui commençait si bien, des rires, des pâtes aux fruits de mer… puis, le lendemain matin… Vous vous imaginez ?

Preuve d’une intoxication alimentaire contractée au restaurant… On dirait un titre de film d’horreur, non ? Sauf que pour moi, c’était bien réel. Alors, comment j’ai fait pour, au moins, tenter de prouver ma misère ?

Déjà, le ticket de caisse. Heureusement, je l’avais gardé, collé dans mon agenda, comme une preuve d’une soirée qui a fini par me gâcher la semaine suivante. Sans ça, on aurait dit quoi ? J’aurais juste raconté des histoires.

Ensuite, le certificat médical. Ah oui, celui-là, c’était crucial. J’ai couru chez le médecin, le ventre noué, la tête qui tournait, j’avais l’impression d’avoir avalé un volcan. Il m’a fait des examens, m’a posé des questions sur ce que j’avais mangé – il m’a même regardé avec un air de compatissance, en me demandant si j’avais bien lavé les fruits de mer moi-même, comme si j’allais faire ça dans un restaurant. Le diagnostic : intoxication alimentaire. Date précisée, symptômes détaillés. J’ai gardé ça précieusement, comme un trésor. Imaginez, sans ça… rien à faire.

Enfin, l’analyse des aliments… Là, c’est devenu compliqué. On a pensé à contacter la DDPP, ou un truc comme ça… Mais franchement, on se demande si ça vaut vraiment la peine. Récupérer les restes, les faire analyser… C’est toute une procédure, et avec le recul, même si on avait fait l’analyse, est-ce qu’on aurait eu une chance de prouver quoi que ce soit ? J’en doute.

Donc voilà, mon expérience. Le ticket, le certificat médical, l’analyse des aliments… trois points clés, plus faciles à dire qu’à faire. J’espère qu’au moins, mon histoire vous servira, vous qui lisez ça. Et si vous avez une autre idée pour prouver une intoxication alimentaire, je suis preneuse ! Parce que franchement, ce genre d’expérience, on n’en souhaite à personne. Et puis, chez Antonio… j’y retournerai jamais. Jamais.