Comment mettre en conserve au four ?

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Franchement, stériliser les bocaux au four, ça me rassure ! 15 minutes à 130°C, cest le combo gagnant pour moi. Imaginez, tous ces microbes anéantis, prêts à accueillir mes précieuses conserves. Ça me donne une vraie satisfaction, cette sensation de bien faire les choses, de préserver le goût et la qualité de mes aliments. Cest presque un rituel sacré !

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Comment mettre en conserve au four ? Ah, ça, c’est une question que je me suis souvent posée, moi ! Et franchement, stériliser les bocaux au four… ça me rassure, oui, c’est le mot. Quinze minutes à 130°C, comme dit dans les bouquins, c’est parfait, même si j’avoue, une fois j’avais mis le thermostat à 120 par mégarde… et là, j’ai eu une sacré frayeur, vous vous imaginez ? Heureusement, tout s’est bien passé, mais depuis, je vérifie toujours, toujours, toujours !

Imaginez, hein ? Tous ces petits microbes, ces vilaines bactéries, anéantis par la chaleur… C’est presque magique, non ? On se sent vraiment puissante, comme une alchimiste des temps modernes. On transforme des tomates gorgées de soleil, ramassées moi-même dans le jardin de ma grand-mère – elles étaient si rouges, juteuses, une vraie explosion de saveurs ! – en une délicieuse sauce tomate qui va nous régaler tout l’hiver. C’est une satisfaction immense, un peu comme un petit miracle, surtout quand on voit la différence entre les conserves faites maison et celles du supermarché… y’a pas photo !

Cette sensation de bien faire les choses, de préserver, de donner une seconde vie à nos récoltes… c’est presque un rituel, oui, vous avez raison. Un rituel sacré, même. Je me souviens de ma grand-mère, elle passait des heures à préparer ses confitures, ses cornichons… et maintenant, moi aussi, je perpétue la tradition, un peu comme si je lui rendais hommage, à travers chaque bocal parfaitement stérilisé. C’est tellement plus qu’une simple méthode de conservation, c’est un lien avec le passé, avec elle… et avec moi-même. Peut-être que je suis un peu trop sentimentale, mais bon… on n’est pas obligé de comprendre, n’est-ce pas ? 😉