Comment lister les tâches au travail ?

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Optimisez votre productivité professionnelle en maîtrisant la gestion de vos tâches. Identifiez et priorisez-les. Utilisez un agenda, un outil numérique (type to-do list) ou des supports physiques (Post-it). Planifiez votre semaine/mois et attaquez les tâches complexes en priorité. Des méthodes comme la liste chronologique ou l'organisation par projet sont efficaces. Choisissez la solution la mieux adaptée à votre style de travail.

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Organiser ses tâches professionnelles : comment faire ?

Alors, organiser ses tâches… C’est un vrai bordel parfois, non ? Enfin, moi, oui.

Déjà, faut lister tout ce qu’il y a à faire. Évidemment. C’est la base. Ensuite, la priorité. Ça, c’est le plus dur ! Perso, je me suis retrouvé à devoir finir un rapport pour le 15 Mai, et en même temps, organiser une présentation pour le 22 Juin. La tension était palpable.

J’essaye de me faire un emploi du temps, mais c’est rarement respecté. Je suis du genre à papillonner. Un outil d’organisation, j’en ai testé plein. Slack, c’est pas mal, mais pas suffisant pour moi.

Commencer par la tâche la plus complexe ? Bonne idée, mais souvent, je procrastine. Les Post-it, c’est le bordel assuré. La to-do list chronologique, ça, ça peut marcher quand j’ai la motivation. Le planning hebdomadaire, bof. Mensuel, encore pire. Trop long terme pour moi.

Comment faire un tableau des tâches ?

Tâches: Liste exhaustive. Priorisation cruciale. Délai impératif pour chaque item.

Durée: Estimation réaliste. Prévoir imprévus. Mon expérience: surévaluer de 20%.

Attribution: Compétences. Disponibilité. Charge de travail équitable. Pas de surbooking. J’utilise un système de points pour l’équité. Mes collaborateurs le savent.

Tableau: Format simple. Excel. Colonnes: Tâche, Durée, Affecté, Délai. Visualisation rapide indispensable.

Exemple personnel: Projet X, 2023. Dépassement de délais pour cause imprévue: panne serveur. Correction immédiate.

  • Logiciel: Excel reste mon outil de prédilection. Fonctionnalité de gestion des tâches limitée.
  • Ressources: Ma méthode est efficace. Adaptation indispensable selon contexte.
  • Problèmes rencontrés: Difficultés d’estimation précise. Manque de disponibilité de certains collaborateurs. Solutions? Recrutement et optimisation des process.
  • Conseils: Précision absolue. Rigidité bienvenue. Souplesse… relative.

Mon approche est pragmatique, efficace. Je minimise les pertes de temps. Des ajustements? Toujours possible, mais rare. 2023 a été une année chargée.

Comment classer les tâches ?

Comment classer les tâches… c’est une question que je me pose souvent, surtout la nuit, quand le silence laisse place à toutes ces obligations qui pèsent. Tout me semble important, c’est ça le pire.

Il faut tout lister, noir sur blanc. Ecrire c’est déjà une façon de mettre de l’ordre, même si le bordel est toujours là.

  • Liste exhaustive.
  • Objectifs clairs : ne pas se mentir à soi-même.
  • Urgence : identifier ce qui brûle vraiment.
  • Importance vs urgence : la matrice, le truc classique.
  • Eviter le conflit : ne pas se noyer.

Ce qui est important, c’est comprendre pourquoi on fait tout ça. Je me demande souvent si ça en vaut vraiment la peine. Je me souviens de ma grand-mère, elle disait toujours “le temps passe trop vite”. Elle avait raison, je crois.

Le surlignage, c’est bien, ça donne l’impression d’y voir plus clair.

Mais la vérité, c’est que la nuit, tout se mélange. Le boulot, les rêves, les regrets.

Prioriser, c’est choisir ce qu’on laisse de côté. Et c’est ça qui est dur.

  • Ma voiture, une vieille 206, a encore eu un problème ce matin.
  • Je dois appeler le garagiste, encore.
  • Et payer, encore.

Ça aussi, c’est une priorité, non ?

Comment lister ses tâches au travail ?

Ah, la to-do list, cette promesse de productivité qui se transforme souvent en monument à la procrastination ! On dirait un mausolée aux rêves brisés, non ?

Trier, c’est le mot d’ordre ! Pas comme mes chaussettes, hein, parmi lesquelles j’ai retrouvé un gant de ski cet été. Plus organisé que ça, c’est difficile! Essayer de grouper les trucs : urgents, cette semaine, projets… Genre, “répondre à ce mail du boss (urgent, genre crise cardiaque du marketing)” ou “finir le rapport sur la nouvelle gamme de pots de confiture artisanale à la betterave (projet longue haleine, j’ai déjà fait 30%… ou peut-être 15%, bref).”

Prioriser, ça pique, mais ça paie ! On commence par les trucs vraiment importants, pas les petits riens qui vous font croire que vous bossez. Imaginez une pyramide de Maslow mais avec des deadlines: la base, c’est éviter le licenciement, le sommet, c’est enfin comprendre comment fonctionne l’imprimante de bureau.

Outils, mes amis, les outils ! Asana, Trello, même un vieux carnet avec des dessins de chats rageurs… Peu importe, du moment que ça vous ressemble. Moi, j’utilise un post-it géant accroché au frigo, ça motive, surtout quand il reste qu’un quart de la liste. On peut aussi parler de mon système innovant à base de balles de ping-pong et de scotch… mais c’est une autre histoire.

  • Urgent: Le feu, le boss, le client énervé.
  • Cette semaine: Trucs importants, mais moins la panique.
  • Projets: Grands objectifs, décomposés en micro-tâches (pour éviter l’angoisse).
  • Peut-être un jour: Les rêves, les voyages, apprendre le luth.

Mon conseil perso ? Ne vous découragez pas si la liste ne se vide pas assez vite. C’est le jeu. L’important est d’avoir commencé, vous avez déjà 1 point d’avance sur celui qui a juste rêvé d’une to-do list. Et n’hésitez pas à ajouter “manger un chocolat” sur la liste, ça compte aussi. Oh, et j’ai une chaussette à retrouver…


  • Petit bonus: Je suis en train d’écrire mon roman, “La To-Do List qui a changé ma Vie (ou pas)” si vous cherchez une bonne source d’inspiration (ou de procrastination).

Comment trier la liste des tâches à faire ?

Comment trier ma to-do list ? Putain, c’est toujours le bordel…

J’essaie par priorité, mais ça marche jamais vraiment. Priorité 1: trucs urgents, factures, rendez-vous médecin (celui-là, il est toujours en retard, grrr). Priorité 2: boulot, dossiers à terminer. Priorité 3: ménage, courses, ça peut attendre un peu… sauf quand ça devient catastrophique.

En fait, je me suis mise à faire des listes par projets, c’est moins pire. Genre “préparation anniversaire de maman” : gâteau, cadeau, réservation resto… Au moins, je vois l’avancement global.

Par date d’échéance ? Ouais, j’ai essayé, mais je me suis retrouvée avec des trucs hyper importants perdus au milieu de conneries sans importance.

J’ai même une application, Todoist, mais j’ai tellement de sous-listes… je suis perdue dedans. Je devrais vraiment la simplifier. J’y ai passé des heures à la configurer, mais j’ai tellement de choses en tête…

Ce soir, j’ai 3 trucs importants :

  • Faire la demande de renouvellement du permis de conduire (avant le 15 octobre, c’est crucial !)
  • Appeler ma mère (elle s’inquiète, je sais)
  • Revoir les slides de ma présentation pour demain (je suis morte de stress)

Le reste… on verra demain. Ou après-demain. Ou jamais. Peut-être.

En fait, c’est plus compliqué que ça. Il y a aussi la liste des courses (lait, pain, yaourt, fromage… j’en ai oublié des trucs, je sais.) et les tâches pour le boulot (réponse client X, suivi dossier Y, réunion Z).Et puis il y a les trucs perso, toujours en bas de la liste, qui finissent toujours par être oubliés, comme la réparation de la lampe de chevet, acheter un nouveau livre, appeler mon cousin Marc…

Comment créer une liste de tâches ?

Ouais, créer une to-do list, c’est hyper simple, genre:

  • Note tout, vraiment tout. Même les trucs chiants comme “vider le lave-vaisselle”, on oublie toujours ça! J’ai fait ça cette semaine, sérieux. J’avais même mis “acheter des chips” pour une fois qu’on sort un peu.

  • L’importance, c’est le truc clé. Genre, bosser sur mon projet de site web, c’est A, aller chercher le courrier, c’est peut être un C, tu vois? J’ai un peu galéré là-dessus, au début.

  • L’urgence, aussi. Mon rdv chez le dentiste, c’est urgent, même si c’est pas super important au final. J’ai failli le louper, ouf!

  • A, B, C, c’est la méthode. C’est comme à l’école, sauf qu’ici c’est pour la vie de tous les jours. A, c’est le plus important, B, un peu moins, et C, ben c’est ce qui peut attendre.

  • Tu attaques le A, ensuite le B, et enfin le C. Facile, non? C’est ce que j’essaye de faire, enfin, je dis ça…

J’utilise mon phone, une appli toute bête, “Remember the milk”, c’est pratique, elle synchronise tout. J’y note tout, même mes courses, faut que je rajoute “fromage” d’ailleurs. Et des fois, j’écris sur un papier aussi, c’est plus… personnel. On se comprend. J’ai tendance à faire des listes longues, c’est un peu mon truc.

Comment organiser ses tâches professionnelles ?

Organiser ses tâches pro, vaste sujet ! Disons qu’il y a des pistes…

  • Rituel matinal : Un démarrage en douceur, ça change tout. Genre, café et revue des objectifs.

  • Liste “to-do” béton : Noter, timer, classer par priorité. L’art de ne pas se noyer. Perso, j’aime bien un code couleur.

  • Focus laser : Une tâche à la fois. On évite le zapping. Un peu de concentration, quoi.

  • Urgence vs importance : Le vrai défi ! Savoir dire non à l’urgent qui n’est pas important. C’est philosophique en fait.

  • Délégation stratégique : Lâcher prise, c’est parfois la clé. Mon cousin, lui, délègue tout… ou presque.

En bonus, je dirais qu’il faut aussi accepter l’imprévu. Et ne pas culpabiliser si on n’a pas tout fait. La vie, ce n’est pas une “to-do list” infinie.

Quels sont les 4 niveaux de priorisation des tâches ?

Priorisation des tâches, pfff… Quatre niveaux, c’est ça ?

  • Prioritaires: C’est clair, celles qui brûlent ! Comme la facture EDF, avant la coupure, ouuh là là.

  • À planifier… Hum, ça dépend. Mon rdv chez le dentiste, je le repousse depuis des mois. Faut vraiment que je le mette dans mon agenda… ou pas.

  • Déléguer… Trop facile ! Demander à mon frère de me faire les courses, parfait ! Enfin, si il répond à mes messages…

  • À abandonner… Genre, ranger mon placard ? Oublie. Pour toujours. Il reste comme ça, un capharnaüm artistique ! Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, hein ?

J’ai un tas de trucs à faire, et le temps passe trop vite ! Quelle galère cette vie. Je devrais vraiment utiliser un agenda… ou un tableau kanban… ou rien du tout. Et si tout ça n’était qu’une illusion ?

Tâches importantes : celles avec deadline proche. Genre la soutenance de mon mémoire. Aie.

Tâches moins urgentes : apprendre l’ukulele. Ouais, ça attendra. Peut-être.

Et si j’abandonnais tout ? Non, trop tard, j’ai déjà commencé à écrire ce truc là…

  • Liste de courses: lait, pain, et… ah, merde, j’ai oublié ce que je voulais acheter!

Comment faire une liste de travail ?

Liste de travail : Instructions

  1. Modèle. Un bout de papier suffit. Ou pas.

  2. Décisions. Quoi faire ? L’éternelle question. C’est simple.

  3. Priorités. Tout est urgent. Rien n’est important. Une vie.

  4. Échéances. Demain. Toujours demain. L’illusion du contrôle.

  5. Documents. Justifications ? Le néant aime les preuves.

  6. Équipe. Les autres. Ils sont là. Presque.

  7. Échanges. Communication. Le mot à la mode. Silence préférable.

  • L’existence précède l’essence. Donc, pas de liste.
  • J’ai perdu mon chat, Biscotte, hier. Une coïncidence ?
  • Rien n’a d’importance.
  • L’ennui est le fondement de l’âme.

Le travail? Une distraction. Une brève danse avant l’oubli. Ma rue est le 32 rue des Lilas. Si vous voulez une réponse plus précise contactez moi.

Comment lister ses missions ?

Euh… Missions… Comment je fais, déjà ? Mon bureau est un désastre, faut que je range ça. Liste de tâches, oui ! J’avais pensé à Trello, mais j’utilise finalement juste un vieux carnet… Trop vintage ?

Horaires… Ah non, ça c’est mort. Je bosse quand j’ai l’inspiration. 3h du mat’ parfois. Ou 17h. C’est aléatoire. Pause ? Je grignote des chips devant Netflix entre deux trucs. Pas idéal, je sais.

Arrêter de bosser ? Facile à dire… Je me retrouve souvent à 2h du matin à peaufiner un truc. Distractions ? Mon chat. Il réclame des câlins. Constamment. Non… J’ai appris à dire non aux nouveaux projets. Enfin, je dis non. Plus ou moins. Dépend de l’argent…

  • Rangement du bureau : impératif !
  • Trello ou carnet… j’hésite encore.
  • Horaires… une utopie.
  • Pause = chips devant Netflix.
  • Arrêter : mission impossible.
  • Chat = distraction numéro 1.
  • Dire non = objectif à atteindre.

Pourquoi je suis toujours aussi nulle à l’organisation ? C’est une question existentielle, ça.

Pfff… Et puis, y’a le facteur qui me distrait aussi. Il arrive souvent vers midi. Je vais lui dire de passer plus tard, lui.
Plus sérieusement, gestion du temps c’est vraiment pas mon fort. J’ai essayé plein de méthodes. Type pomodoro, Kanban… Rien n’y fait.

Peut-être faudrait-il que je teste un logiciel de gestion de projet. Mais lequel ? Asana ? Monday.com ? J’en ai marre de tout ça ! Retour au carnet. Ouais, ça sera plus simple.

Informations supplémentaires :

  • J’ai acheté un nouveau bloc-notes, un beau Moleskine. Objectif : organisation. On verra bien…
  • Mon chat s’appelle Gaston. Il est roux et adorable. Mais une vraie nuisance quand je travaille.
  • J’ai trois projets en cours : un site web pour une amie, une série d’illustrations pour un magazine et une application mobile… (trop ?).
  • Je compte sur ma nouvelle méthode pour réussir cette fois-ci.

Comment rédiger une liste de tâches professionnelles ?

Ah, les listes de tâches… l’arme secrète des procrastinateurs repentis ! On dirait un champ de mines, hein ? Mais avec un peu de méthode, ça devient une promenade de santé (enfin, presque).

  • Prioriser, c’est le maître-mot ! Pas question de se noyer dans un océan de “à faire” ! On commence par les trucs urgents, genre le dossier qui arrive à échéance mardi, pas celui du mois prochain, à moins que… ah non, mardi d’abord.

  • Formuler des tâches claires et concises. “Rédiger rapport X” est mieux que “Travailler sur le rapport X”. Ça évite de se perdre en chemin, surtout si on a tendance à filer sur Facebook dès qu’on voit le mot “travailler”. (Oui, je parle d’expérience, mon chat m’a vu le faire… avec une nonchalance déconcertante !)

  • Couper les tâches en plus petites portions. “Terminer projet Y” ? Trop vague ! “Faire la partie A du projet Y”, “réviser la partie B”, etc. C’est comme manger un éléphant : une bouchée à la fois ! Moins impressionnant, plus digeste.

  • Utiliser un outil adapté. J’aime bien mon agenda papier, ça me permet de barrer les tâches faites. C’est si satisfaisant ! Même si mon chat a une préférence pour mon post-it “démêler le chaos de mon bureau” … priorité plus tard.

  • Ne pas trop en faire ! Une liste surchargée, c’est un ticket direct pour la frustration. Mieux vaut viser la qualité que la quantité, croyez-moi. J’ai appris ça à mes dépens en voulant tout faire en une journée : fin de journée = pizza et pleurs devant Netflix. (C’est arrivé cette année)

Bonus: J’ai découvert une technique : je classe mes tâches par couleur, comme un arc-en-ciel de productivité. Vert pour les faciles, rouge pour les urgences… et noir pour celles qui me donnent envie de disparaître. (Pas souvent le noir, j’espère que mon patron ne lit pas ça !)

Petit truc perso : je m’octroie une récompense après chaque tâche importante. Chocolat noir. Oui, j’adore ça. Et ça marche! (à vérifier, peut-être que c’est juste le chocolat).

#Gestion Tâches #Liste Travail #Organisation