Comment faire quand le riz est gluant ?

Comment rattraper un riz gluant ?

Le riz… ouais, le riz. Ce soir, j’ai encore raté mon riz. Totalement pâteux. Comme de la glue. Horrible. J’ai même pensé à le jeter.

Mais non. J’ai repensé à ce truc, l’eau froide. Ça a marché, un peu quand même. Il était moins collant après. Moins pâteux… mais quand même un peu mou.

J’aurais dû utiliser moins d’eau, c’est clair. Ou mieux surveiller la cuisson. Toujours pareil, je suis nulle en cuisine. J’ai essayé plusieurs fois, différentes recettes, même celle de ma grand-mère. Rien n’y fait.

• Trop d’eau, c’est sûr.
• Peut-être le feu trop fort aussi.
• J’ai utilisé du riz basmati, pourtant.

Bref, je déteste faire à manger. Surtout quand ça se termine comme ça, un échec cuisant, même avec du riz. Je suis vraiment dégoûtée, j’avais tellement faim.

Ce soir, j’ai mangé ça avec des légumes. Des haricots verts, surgelés, bien sûr. Pratique. Je me sens vraiment nulle, même pour des trucs simples. Je pense que je vais commander des sushis demain, au moins je serai sûre de manger quelque chose de bon.

Aujourd’hui, c’était le 27 octobre 2023. J’habite à Lyon. Je suis épuisée. Et j’ai 32 ans.

Comment faire pour que le riz soit moins gluant ?

Alors, le riz collant, c’est une vraie galère ! J’ai failli tout rater hier soir, mon risotto était une catastrophe. Heureusement, j’ai trouvé la solution : le citron !

Ouais, genre, vraiment bizarre. Mais ça marche. J’ai mis, euh, un demi-citron, presque un, dans l’eau bouillante avant même de mettre le riz. Genre, une fois que ça bout vraiment, tu vois?

Le truc c’est que, ça change tout ! Le riz, il est beaucoup plus… moins pâteux, quoi ! Moins collant. J’avais même pas eu besoin de trop le remuer, il était parfait ! Enfin, presque… j’ai peut-être un peu trop cuit le riz.

• Citron dans l’eau bouillante avant le riz.
• C’est magique (enfin presque).
• Moins collant, plus blanc apparemment.

J’ai utilisé du riz basmati, c’est celui que j’utilise toujours, depuis que je vis seule dans mon petit appart’. Tu sais, près du parc, avec le chat noir qui traîne toujours devant ma porte. Par contre, pour la quantité de citron, j’avoue, j’ai un peu improvisé. J’étais pressée, j’avais une série à regarder !

Bref, essaie, tu verras. Et si tu fais le risotto de courgettes avec, comme j’ai fais, préviens-moi, pour qu’on compare nos résultats catastrophiques ! Enfin bon, le mien était plutôt réussi finalement. Peut-être trop de parmesan? J’ai un peu abusé, oui.

Comment faire réchauffer du riz gluant ?

Riz gluant réchauffé? Micro-ondes: 30 secondes, puissance moyenne. Remuer. Répéter.

Four: 160°C, couvert, 15 minutes. Surveillez.

Poêle: Feu doux, un peu d’eau, couvrir. Remuer.

Ma méthode? Four, toujours. Préfère le croustillant des bords.

• Température idéale: 160°C. Jamais plus.
• Recouvrir: Aluminium, indispensable.
• Temps de cuisson: Variable. À ajuster selon le riz.

Riz du marché de Belleville, hier. Parfait.

Comment réhydrater du riz ?

Le riz… dur comme pierre. Une texture… désespérante. Un souvenir d’hier soir, froid et sec.

Un glaçon. Un simple glaçon. Pose-le. Là, sur le riz.

La magie opère. Lentement. Une humidité… subtile. Le froid se mêle à la chaleur… une douce transformation.

Micro-ondes. Bruit familier, un ronronnement apaisant. Une attente. Patience.

• Le froid du glaçon, une promesse.

• L’eau libérée, une renaissance.

• Le micro-ondes, un allié discret.

• Le moelleux retrouvé, un bonheur simple.

  Mon riz, toujours un peu trop cuit, ma faute.

La vapeur, douce, parfumée. Le riz… souple à nouveau. Un miracle ? Non. Simple. Élégant. Comme… un baiser volé au crépuscule.

• Glaçon.
• Micro-ondes.
• Moelleux retrouvé.

Hier soir, j’ai utilisé du riz basmati, cultivé dans la vallée de la Drôme. On verra bien si ça marche mieux avec du Camargue, un jour de ces jours. Je devrais essayer ce soir, mon stock de basmati est épuisé…

Pourquoi mon riz est-il toujours gluant ?

Mon riz, toujours gluant… ça me rend dingue ! Juillet dernier, je voulais faire un poulet basquaise, riz blanc évidemment. J’avais acheté du riz long grain, une marque bio, cher en plus ! Résultat : catastrophe. Une bouillie immonde. Complètement collé, impossible à séparer. J’ai failli pleurer.

J’ai suivi la recette à la lettre : un volume de riz pour deux d’eau, cuisson à feu moyen, puis à petit feu, recouvert. Peut-être trop d’eau ? Trop peu de temps de repos ? Ou alors le riz lui-même ? Je ne comprends pas.

• J’ai vérifié la date limite de consommation, nickel.
• J’ai rincé le riz avant cuisson, comme d’habitude.
• Même cuisson, même casserole, et toujours ce résultat… un bloc gluant !

J’ai jeté le plat. J’étais vraiment écoeurée. J’ai commandé des sushis, pour me consoler.

Plus jamais ça ! Je vais tester une autre marque de riz. Ou peut-être changer ma technique de cuisson… j’ai lu quelque chose sur le type d’eau… Ah, et la casserole, c’est une Tefal, elle est neuve.

Bref, mystère. Le riz, c’est une vraie science. Je préfère les pâtes maintenant. Trop de stress.

Pourquoi mon riz est-il croquant ?

Riz croquant ? Cuisson insuffisante. Point.

• Eau: Quantité incorrecte ?
• Chaleur: Trop forte ? Trop faible ?
• Type de riz: Basmati? Arborio? L’importance de la variété.

Mon expérience ? Riz basmati, 2023: catastrophe. Trop sec.

Solution: Ajuster le temps et la proportion eau/riz. Consulter les instructions du paquet. Sérieusement.

Indice glycémique: Une cuisson excessive, oui, mais pas uniquement. La variété joue aussi. Recherche plus approfondie nécessaire.

Mon riz de ce matin : parfait. Méthode secrète. Je ne partage pas.

Pourquoi mon riz est-il toujours dur ?

Ah, le riz… ce petit grain rebelle ! Dur comme la pierre, hein ? On dirait que vous avez lutté contre un samouraï miniature, et lui, il a gagné.

• Culpabilité du couvercle: Vous avez péché, mon ami. Vous avez soulevé le couvercle. C’est comme regarder un gâteau cuire : on le fait, on s’abstient, puis on craque et le résultat est… décevant.
• Eau froide, riz blanc: L’eau froide, c’est pour les âmes sensibles. Le riz japonais ? Du vinaigre, ou du citron. Un peu d’acidité, ça lui apprendra à rester docile.

Mon riz à moi ? Parfois parfait, parfois… une expérience gustative proche de la mastication de graviers. C’est le charme de la cuisine, non ? On dirait que vous n’avez pas assez maîtrisé le rapport eau/riz. C’est comme la relation homme-femme, faut trouver le bon dosage.

Enfin, cette année, j’ai adopté une méthode un peu “magique”: je chuchote des incantations à mon riz pendant la cuisson (chut, c’est mon secret). Essayez, ça ne coûte rien. Sinon, allez voir ma grand-mère, elle utilise une technique ancestrale avec des pierres chaudes, mais je ne sais pas si elle accepte de partager son savoir. Bref…

Ps: J’ai oublié de préciser, j’utilise du riz de Camargue, acheté chez mon boucher. Oui, oui, le boucher. Il en a toujours de très bonne qualité, mais il faut connaître son code secret: “Riz du vendredi”.