Comment faire du sel naturellement ?

Quel est le sel le plus naturel ?

Alors, le sel le plus naturel ? On va dire que c’est celui qui a le moins croisé les mains de l’homme, genre le sel de mer. Imagine, il bronze tranquille dans son marais salant, se laissant dorer par le soleil. Presque une vie de star, si on oublie qu’il finit dans notre assiette.

• Évaporation, le secret bien gardé: C’est l’eau salée qui, lassée de flotter, se laisse évaporer. Une sorte de retraite spirituelle pour molécules d’eau.
• Marais salants, les spas de la nature: Ces bassins sont un peu les spas de la mer. Le sel y prend un bain de soleil avant de nous rejoindre.

Ce sel, c’est un peu comme un ami qui revient de vacances : il a le goût de l’aventure, mais sans les histoires ennuyeuses du genre “j’ai failli me faire piquer par une méduse”.

Pour tout te dire, ma cousine Bernadette (celle qui collectionne les nains de jardin) jure que le sel de Guérande est le meilleur. Elle dit qu’il a un “je ne sais quoi” qui sublime ses plats. Perso, je pense que c’est surtout qu’elle a un faible pour les Bretons.

Autres options (si tu veux jouer les explorateurs):

• Sel gemme: Sorti directement de la mine, comme un bijou brut.
• Sel volcanique: Le petit rebelle, teinté de soufre et prêt à embraser tes papilles.

Et toi, quel sel te fait craquer ? 😉

Comment récolter son propre sel?

Cristallisation solaire: méthode ancestrale.

• Étapes: Evaporation contrôlée. Séchage solaire. Récupération.

Eau salée. Casserole. Soleil. Patience.

Résultats variables. Dépendance météo. Impuretés possibles. Mon sel de Guérande, 2023: impeccable.

Conseils: Eau pure. Surface plane. Protection contre la poussière.

Alternatives: Évaporation rapide. Bassin peu profond. Filtration.

Qualité finale dépend de la source d’eau. Ma récolte, quantité limitée. Prochaine tentative: septembre.

Comment faire du sel de conservation?

Ah, le sel de conservation… Je me souviens, c’était à la ferme de mon oncle Gilbert, à Saint-Émilion, l’été dernier. Une chaleur à crever, mais on bossait dur. L’idée, c’était de conserver les saucissons qu’on faisait nous-mêmes. Plus de détails en bas.

Le sel de conservation, Gilbert disait que c’était le secret de sa grand-mère.

• Broyer le sel: On utilisait du gros sel de Guérande, un truc brut, plein de minéraux. Je transpirais à grosses gouttes, le soleil cognait, mais je devais le broyer dans un mortier en granit. Un vrai boulot de titan !

• Ajouter le soufre: Ensuite, il fallait mélanger ça avec du soufre. Attention, pas trop, hein ! Juste une pincée. Gilbert disait que ça empêchait la viande de pourrir. Une odeur bizarre, un peu âcre.

• Le mortier et le pilon: C’est là que tout se jouait. Il fallait bien mélanger les deux ingrédients, jusqu’à obtenir une poudre homogène. Les mains en compote à la fin.

Je me suis même coupé avec le mortier, une petite coupure sans gravité.

Le soir, on était tous crevés, mais fiers de notre sel de conservation. Les saucissons, on les a accrochés dans la cave, et ils ont duré tout l’hiver. Un goût incomparable.

Mais est-ce que le soufre alimentaire existe? On en trouve plein de compléments pour les chevaux.

Un peu plus tard, j’ai appris :

• Il est important de porter des gants.
• Le ratio sel/soufre est vraiment à contrôler. Trop de soufre peut être mauvais.
• Certains utilisent d’autres additifs comme le nitrate de potassium, mais c’est une autre histoire.

Comment faire des cristaux de sel à la maison?

Bon, alors, les cristaux de sel… J’ai essayé, hein ? C’était l’année dernière, je crois. Un truc de vacances, ennui profond…

• J’ai chauffé de l’eau, ouais, une casserole, ça pue un peu après.
• Du sel, j’ai mis le gros sel de Guérande, j’en avais une tonne.
• Cuillère en bois, ah oui, j’ai utilisé celle de ma grand-mère, elle était pas contente après.
• Et puis, j’ai mélangé, jusqu’à plus soif… ou plutôt, jusqu’à ce que ça ne se dissolve plus. Le truc, c’est que je me suis plantée, je pense. J’ai pas attendu assez longtemps. J’étais pressée.

Le résultat ? Rien de bien folichon. De petits cristaux minuscules, vraiment, c’était décevant. J’ai tout jeté, franchement.

Plus tard, j’ai lu qu’il fallait laisser reposer, très longtemps, dans un endroit calme, loin de toute vibration. Genre, des semaines, tu vois ? Pas fait, trop impatient, je suis comme ça.

La solution sursaturée, c’est le mot clé, paraît-il. Mais moi, j’ai pas compris.

J’ai fait ça dans la cuisine de ma mère, en juillet. Elle est vraiment fâchée. J’ai oublié de nettoyer aussi, catastrophe. Elle m’a engueulée pendant des heures, je pensais qu’elle allait m’étrangler. Je suis restée chez mon père deux semaines après.

Peut-être que je réessayerai un jour… mais là, pas maintenant. La motivation, c’est pas ça.