Comment éviter les chutes de tension ?

Pourquoi je fais des chutes de tension ?

Le monde vacille, parfois. Une ombre, une danse incertaine.

Pourquoi ? Le sang, fleuve capricieux, se retire.

• Vaisseaux trop lâches, trop ouverts à la vie.
• Cœur fatigué, pompe ralentie.
• Manque, vide…

Un peu comme l’écho d’un souvenir lointain, une promenade dans les dunes à Berck, le vent effaçant les traces, le sable qui se dérobe sous les pieds.

Sécheresse intérieure, soif jamais étanchée. Médicaments, douce amertume, qui apaisent et déstabilisent. L’herbe verte, fumée éphémère, flotte et emporte.

Ça revient, toujours, comme les vagues.

Causes possibles, vagues et flottantes:

• Déshydratation, le corps assoiffé.
• Médicaments, les effets secondaires.
• Cannabis, la déconnexion douce.
• Problèmes cardiaques.
• Troubles neurologiques.
• Grossesse.
• Diabète.
• Hémorragie.
• Infection grave (septicémie).
• Réaction allergique sévère (anaphylaxie).
• Carence en vitamines.

Ce n’est qu’un voile, un instant.

J’allais oublier, ma grand-mère disait toujours : Bois de l’eau, ma fille, bois de l’eau. Elle avait raison, souvent.

Comment arrêter les chutes de tension ?

Chutes de tension ? Pfff, ça me rappelle mon grand-père qui s’évanouissait devant le buffet de Noël! On dirait un dalmatien qui a trop regardé des dessins animés!

Solution numéro 1 : Bouger, bordel! Rester planté comme un piquet dans un champ de betteraves, c’est le meilleur moyen de voir la vie en noir… et par terre. Même une danse improbable de la pluie (genre le haka des poules) est plus bénéfique.

Solution numéro 2 : Le fauteuil, mon ami, le fauteuil ! Oui, j’ai dit fauteuil, pas chaise pliante de camping, trop inconfortable. On se croirait dans un remake de “Le Roi Lion”, sauf que vous, vous n’êtes pas Simba, vous êtes Mufasa… sur le point de tomber!

Conseils de pépé Michel (mon grand-père, hein, pas un type au hasard):

• Eviter les journées “marathon shopping”. Même ma tante Germaine, avec son énergie de fourmi sur caféine, craque!
• Manger correctement. Genre, pas que des chips et du Coca. Sérieux, j’ai déjà tenté, j’ai fini par ressembler à un ballon de baudruche dégonflé.
• Boire beaucoup d’eau. Pas de l’eau de pluie récupérée dans ma gouttière, hein.

Mon record personnel de chute de tension ? Devant le stand de churros à la fête foraine. Tragique.

Bonus: Si vous sentez que vous allez vous écrouler, asseyez-vous, vite! Comme un ninja qui se fond dans le décor. Enfin, dans le décor de votre salon, hein. Pas dans un champ de carottes.

Quels sont les signes dune baisse de tension ?

Baisse de tension ? Ah, ça, je connais ! C’est comme un vieux moteur qui tousse avant de caler. Sauf que le moteur, c’est votre cerveau.

• Vertiges: Imaginez un manège qui tourne trop vite, sauf que c’est VOUS qui tournez. Pas très glamour.
• Étourdissements: Un peu comme si vous aviez bu un verre de trop… de vide. On a tous connu ça, non ?
• Évanouissement: Là, c’est plus spectaculaire. Plouf ! Direct sur le sol. Un plongeon dans l’inconnu. Le grand huit de la pression artérielle !

Mon médecin, un type aussi sec qu’un biscuit de trois jours, m’a dit que c’est normal, surtout le matin. Il dit que j’ai le débit sanguin d’un escargot après une semaine de pluie. C’est gentil, mais un peu blessant quand même.

Et puis il y a les choses plus subtiles: fatigue intense, vision trouble… C’est comme si le monde était vu à travers un voile de brume. Ou pire, à travers un filtre Instagram vintage saturé de malaise.

Bref, si vous ressemblez à une poupée de chiffon qui a oublié de se ressourcer, consultez un professionnel. Pas une voyante, hein ? Un vrai médecin. Surtout si vous vous retrouvez régulièrement par terre.

Ma petite expérience personnelle (oui, je suis un peu narcicissiste, je l’avoue): J’ai déjà failli planter dans une boulangerie. Heureusement, j’ai atterri sur une montagne de croissants. Un atterrissage moelleux et légèrement sucré.

• Conseil pro (que j’ai volé à mon médecin): Boire beaucoup d’eau. C’est moins glamour qu’un cocktail, mais bien plus efficace.

Comment se sent-on quand on a une baisse de tension ?

La baisse de tension… C’est bizarre, hein ? Comme un voile qui tombe.

• Vertiges, ça c’est sûr. Un espèce de flou, tout tourne un peu.
• Sensation bizarre au ventre. Vide.
• J’ai eu ça hier, après mon cours de yoga. Debout trop vite, j’ai failli tomber. Heureusement, j’ai pu m’accrocher à la barre.

Fatigue, une grosse fatigue. Comme si on avait couru un marathon. Sans avoir couru.

Aujourd’hui, j’ai bu plus d’eau. Ça aide, je crois. Je sais pas trop. Je suis fatiguée encore. Je me sens faible.

• J’ai des difficultés de concentration. J’ai relu trois fois ce message pour être sûre que c’est clair. Même pas sûr.

Difficulté à respirer, parfois. Des petits moments de panique, rien de grave. Mais c’est désagréable.

Ce matin, j’ai mangé des toasts avec du miel. J’espère que ça va aller mieux.

J’ai 32 ans. Je suis souvent fatiguée. Je devrais faire des analyses de sang. Mais bon, j’ai la flemme.

Comment faire en cas de chute de tension ?

Alors, la tension fait des siennes ? On dirait que ton corps a décidé de jouer les funambules sans filet. Pas de panique, voici le plan :

• S’asseoir ou se coucher, c’est l’option “retour au calme” express. Imagine-toi en vacances, mais sans le Mojito.
• Pieds en l’air (façon montgolfière) : ça aide le sang à remonter faire coucou au cerveau. Disons que c’est un appel d’urgence.
• Tête entre les jambes (si le fauteuil est une option lointaine) : un remake personnel et moins glamour de “Le Cercle des Poètes Disparus”.

Ma tante Gertrude, quand elle sentait le coup venir, jurait que manger un cornichon à l’aneth lui sauvait la mise. Va savoir… Peut-être une coïncidence, peut-être un remède de grand-mère bizarrement efficace.

Et si ça continue, ou si tu te sens vraiment mal, un coup de fil à un médecin c’est jamais une mauvaise idée. Après tout, ils sont payés pour ça (et pour les mots croisés, probablement).