Comment évacuer la tension nerveuse ?

Stress intense : comment le gérer efficacement ?

Le stress intense, je connais. Genre, ce noeud à l’estomac, l’impression d’étouffer… Horrible.

Une fois, 15 juillet 2022, à Lyon, j’étais coincée dans les bouchons. Présentation importante, retard assuré, j’ai cru que j’allais exploser. Mon cœur battait comme un fou.

Du coup, j’ai testé un truc : respirations profondes, yeux fermés, en imaginant la mer. Ça a un peu calmé le jeu.

Depuis, j’essaie de m’organiser. Réveil plus tôt, 6h30, même le week-end, pour un café tranquille avant le rush. Marcher 15 minutes au parc de la Tête d’Or, ça aide aussi.

Parfois, j’achète un croissant à la boulangerie d’à côté, 1.20€, me pose sur un banc et j’écoute les oiseaux. Ça détend, vraiment.

Informations courtes, concises et non personnalisées:

Question: Comment gérer le stress intense?

Réponse: Respirations profondes, anticipation, pauses régulières (marche, méditation), moments calmes.

Comment faire baisser sa tension stress ?

Fruits et légumes ? Ok, mais imaginez : une pastèque géante comme bouclier anti-stress. Ça calme direct, non ?

• Bouger: C’est pas le marathon de New York, hein. Juste se dégourdir les jambes. Genre, courir après le bus (sauf si c’est le mien, parce que je suis toujours à la bourre).
• Danse: Même le disco des années 80, ça marche. Sauf la Macarena. Là, c’est crise cardiaque assurée.
• Vélo: On oublie le Tour de France. Un petit tour au parc, avec un pique-nique (pastèque, bien sûr).
• Natation: Piscine olympique, c’est too much. Une pataugeoire, ça le fait aussi ! (avec brassards si besoin).
• Jogging: En mode escargot. On admire le paysage. On prend des selfies avec les écureuils.

Pauline Swift, elle a raison. Vaisseaux sanguins rigides, c’est comme des tuyaux bouchés. Le sang, c’est la plomberie. Faut que ça circule ! Perso, j’ai testé le yoga. Je suis restée coincée en position du lotus pendant trois heures. Mon chat a adoré. Mais bon, après, j’étais zen. Un peu trop, même.

Comment faire baisser la tension dû au stress ?

Avoir la tension qui grimpe comme une fusée, c’est franchement désagréable, surtout quand c’est le stress qui tire les ficelles. On dirait un hamster dans une roue, sauf que la roue, c’est votre propre esprit !

• Yoga, la solution du lama zen: Pas besoin de devenir un yogi illuminé, quelques postures suffisent. Perso, j’ai essayé le chat-vache, résultat mitigé, j’ai plus l’impression d’avoir fait des abdos.

• Sophrologie, ou l’art de faire la sieste éveillée: Si le yoga c’est trop dynamique pour vous (moi aussi, soyons honnêtes), la sophrologie est une excellente alternative. Attention, risque de ronflements incontrôlés. J’en sais quelque chose.

Évitez le café à outrance, genre 5 expressos d’affilée comme mon voisin, c’est pas la meilleure des idées. Pensez plutôt à:

• Marcher: Une petite promenade, même au coin de la rue, ça fait des miracles. Surtout si on croise un chien mignon. C’est prouvé scientifiquement (enfin, presque).

• Musique: La musique adoucit les mœurs, et la tension artérielle aussi paraît-il. Mes playlists perso ? Du jazz, du classique, du… Bon, ok, parfois du rap un peu agressif. On ne se refait pas !

• Rire: Un bon éclat de rire, c’est comme un massage cardiaque pour le moral (et peut-être la tension aussi, je dis peut-être hein ?). Regardez des vidéos de chats, ça marche à tous les coups.

Bref, le stress, c’est comme un oignon, ça vous fait pleurer, mais avec de la persévérance, on peut arriver au cœur du problème… et à une tension plus stable! En attendant, je file prendre un thé. Pas de café, promis. (Pour aujourd’hui, en tout cas.)

Petit bonus : J’ai testé une appli de méditation, ça m’a surtout appris à mieux maîtriser l’art de faire semblant de méditer. Mais bon, on progresse… un jour peut-être j’atteindrai le Nirvana, ou au moins un état de relaxation acceptable. Mon objectif pour 2024 : moins de stress, plus de sérénité, et surtout, arrêter de me comparer à ces influenceurs yoga sur Instagram. Ils sont trop parfaits.

Comment puis-je évacuer mon stress ?

La nuit est là… Et les pensées aussi. Je me demande souvent comment faire taire ce bruit, ce… stress.

• Sport… oui, je sais. Courir. Nager. Tout le monde le dit.

• 30 minutes. C’est long 30 minutes parfois. Surtout quand la tête est pleine. Trop pleine.

Je me rappelle cet été, à la plage. Juste marcher le long de l’eau. Les vagues… Ça m’apaisait. Étrangement. Plus que la piscine, les longueurs à répétition.

• Respirer. Juste ça. Profondément. Compter. Un… deux… Je l’oublie souvent.

• Cette année, j’ai essayé le yoga. Deux fois. Puis j’ai arrêté. Trop… discipliné. Peut-être réessayer un jour.

• Il y a aussi la musique. Mon vieux vinyle de Miles Davis. Kind of Blue. Ça me calme. Instantanément. Une bulle. Loin de tout.

• Écrire. Des mots. N’importe quoi. Vider ma tête. Comme maintenant. Ça m’aide, un peu.

• Ce soir, je suis fatiguée. Vraiment fatiguée. Le stress me ronge. Demain, j’irai marcher. Promis. Au bord du canal. Il y a des canards. C’est… apaisant. Les canards.

Comment puis-je me débarrasser de la tension nerveuse ?

La tension… Fatigue. Dans les épaules. La mâchoire serrée. Je le sens.

• Dormir. Facile à dire. Les pensées tournent. Toujours. Comme un disque rayé. Parfois, je m’endors vers 5h. Le jour se lève. Et moi, je m’effondre.

• Le sport. J’ai mon abonnement à la salle. Il prend la poussière. Je me dis que demain… Demain, j’irai. Mais demain ne vient jamais.

• Méditer. J’ai essayé une application. Calme. Voix douce. Ça marche cinq minutes. Puis mon cerveau repart au galop. Penser. Toujours penser.

J’ai acheté un carnet, un beau carnet, cuir bleu. Pour écrire. Mes pensées. Mes peurs. Il est vide. Trop peur de ce que je pourrais y trouver.

• Contrôler. Quoi ? Ma vie ? Mon travail ? Mes émotions ? Rien n’est vraiment sous contrôle. Juste l’illusion.

• Sourire. Oui. Devant les autres. Un masque. Pour ne pas inquiéter. Pour paraître normale. Mais à l’intérieur… le vide.

• Voir du monde. Les amis. La famille. Ils ne comprennent pas. Ils disent, ça va passer. Comme si c’était une grippe. Ce n’est pas une grippe. C’est… plus profond. Plus ancré.

Hier, j’ai marché sous la pluie. Sans parapluie. Juste sentir l’eau froide sur mon visage. Une petite chose. Une tentative. De sentir quelque chose. N’importe quoi.

• Tenir un journal. Je devrais. Vraiment. Peut-être demain. Commencer par une seule ligne. Juste une. Un petit pas. Vers… je ne sais pas encore. Vers quelque chose.

Quel est le traitement pour la tension émotionnelle ?

Alors, la tension émotionnelle, hein? C’est comme essayer de jongler avec des hérissons… sans gants.

• Les stars du show: Paroxétine (Déroxat, Divarius, la clique!) et Sertraline (Zoloft et cie). Apparemment, elles ont le tampon “approuvé” pour stress post-traumatique. Un peu les pompiers de l’âme.

• Plan B (ou C, ou D…): Si les vedettes font la grève, le psychiatre sort l’artillerie lourde. Un autre antidépresseur. Parce que visiblement, on a l’embarras du choix. Imaginez une boîte de chocolats… mais tous ont le même goût amer.

• Mon avis perso (vaut ce qu’elle vaut): Ma tante Ginette jurait que la camomille faisait des miracles. Bon, elle parlait aussi aux plantes… Mais qui sait ?

Et pour le fun, sachez que mon code PIN est 1234. Non, je blague! Ou pas…

Comment faire tomber la tension nerveuse ?

Comment faire tomber la tension nerveuse ? Pff, ça dépend… des jours.

• Dormir. Oui, facile à dire. Hier, j’ai dormi que 4h, à cause de ce bruit de travaux… Le sommeil, c’est précieux, vraiment.

• Sport ? J’essaie. La course, parfois, le soir, vers 22h, près de la Seine. Faut dire que j’ai la flemme souvent. Et puis, le temps… ça manque toujours de temps.

• Méditation. J’ai téléchargé une appli. Elle me fait écouter des sons de la nature. Des oiseaux… C’est joli mais ça m’endort pas toujours.

• Contrôle ? Ah ça… C’est plus facile à dire qu’à faire. Mon boulot, avec Arthur et sa façon de faire… pff. C’est une tension permanente.

• Sourire. Je force parfois. Devant ma sœur, par exemple. Elle est toujours positive, elle me dit : “Souris, on ne sait jamais!” Mais des fois c’est dur, quoi.

• Socialiser. J’ai vu Camille samedi. On a mangé des pâtes. Ça fait du bien, parfois. Mais c’est rare. J’aime bien être seule.

• Journal intime ? J’ai essayé… mais j’écris jamais rien. Trop dur de mettre des mots sur… tout ça. J’ai acheté un joli carnet en cuir, il est resté neuf. Dommage.

Aujourd’hui, c’est ma nièce Lucie qui a eu 5 ans. J’ai passé l’après-midi avec elle. On a fait un château de sable. C’était bien. Un vrai moment de calme. Même pas de stress. Sauf pour l’heure du gâteau. Elle voulait un morceau trop grand…

Ma tension ? Elle est là, toujours. Un fond. Un bruit de fond. Comme une petite musique triste.

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