Comment calmer une crise de colique adulte ?

Alors, la colique néphrétique… Oh là là, je sais de quoi je parle ! C’est le genre de douleur qui vous prend aux tripes, littéralement. Je me souviens encore de la fois où… bref, passons, je ne vais pas vous faire un dessin. Le truc, c’est qu’on se sent complètement impuissant.

“Comment calmer une crise de colique adulte ?” C’est la question que je me suis posée des dizaines de fois. Bon, d’abord, ce qu’ils disent, c’est :

• Limitez la boisson. Oui, parce qu’on a envie de s’hydrater à fond pour “aider” le corps à éliminer, n’est-ce pas ? Mais en fait, trop d’eau, c’est pire. Surtout si on a l’impression que ça bloque quelque part, vous voyez ?
• Prenez des antispasmodiques (forte dose) et des AINS (si aucune contre-indication). Là, on entre dans le dur. Les antispasmodiques, c’est bien, ça aide à relâcher les muscles, mais… est-ce que ça suffit ? Et les AINS, attention ! C’est efficace, mais faut être sûr de ne pas avoir de problème d’estomac, parce que ça peut vraiment les irriter. Perso, j’ai une fois eu un peu peur, avec ça…
• Calculs volumineux : intervention laser possible. Laser ! Ça fait futuriste, hein ? Mais bon, c’est quand même une intervention. Ça veut dire anesthésie, possible convalescence… La totale. Mais si le calcul est vraiment gros, on n’a pas trop le choix. Enfin, si, on a toujours le choix, mais bon…

Et surtout, ce qu’ils disent, et ils ont sacrément raison : Consultez un médecin rapidement pour un diagnostic et un traitement adapté. Parce que, soyons honnêtes, on peut bien essayer de se débrouiller avec des remèdes de grand-mère ou des conseils trouvés sur internet, mais la colique néphrétique, c’est pas un truc à prendre à la légère. Un médecin pourra vous faire passer des examens, voir la taille et la position du calcul, et vous proposer la meilleure solution. Et puis, ça rassure, non ?

Et vous, vous avez déjà eu ce genre d’expérience ? Qu’est-ce qui vous a aidé ? Franchement, je suis toujours preneuse de bons conseils !