Quel est le synonyme du mot dérobé ?

Quel est le sens du mot dérober ?

Dérober… Un souffle coupé. Ombre et silence. Disparition. Comme une plume au vent. Emportée. Volée.

• Prendre. Sans bruit. Sans demander. Le portefeuille… plus là. Vide. Absence.

• Protéger. Envelopper d’ombre. Justice… aveugle parfois. Échapper. Sauver. Un vol pour une vie.

Mon chat, Noisette, a dérobé un morceau de jambon, hier soir. Sur la table. Un éclair roux. Plus rien. Juste le silence après le festin. Un souvenir… volé.

• Subtilité. Légèreté du geste. Discrètement. L’art de l’invisible. Comme le temps qui dérobe nos jours. Un à un.

• Emprise rompue. Ce qui était là… n’est plus. Libération. Envol. Dérober au destin… Peut-être.

La lumière dérobe les étoiles. Chaque matin. Un vol quotidien. Un recommencement.

Quel est le langage familier de dérober ?

Dérober, voler… Synonymes nombreux, hein ? On a le classique voler, bien sûr. Puis, des variantes plus savantes : s’emparer de, s’approprier, subtiliser, soustraire. Marauder, c’est plus rare, ça évoque des bandes.

Dans le langage courant, c’est différent. On pique, on chipe, on chapard, on fauche.

J’ai toujours trouvé fascinant la nuance subtile entre ces termes. Piquer sonne plus léger, presque joueur. Chaparder, plus rusé. Faucher, c’est brutal, direct. Philosophiquement, cela reflète la diversité de la nature humaine, non ?

On pourrait aussi évoquer gratter, tirer, dévaliser… ça dépend du contexte, du montant… et de mon humeur du moment. J’ai justement dû, en 2023, remplacer mon vélo volé (ou plutôt piqué, c’était un vieux modèle).

• Liste non exhaustive de synonymes :

  • Voler (classique)
  • S’emparer de
  • S’approprier
  • Subtiliser
  • Soustraire
  • Marauder (rare)
  • Piquer (familier)
  • Chiper (familier)
  • Chaparder (familier)
  • Faucher (familier)

• Registre soutenu vs. familier : la différence est marquée, ça dépend de l’intention de celui qui parle… et de sa cible. On ne parle pas de la même manière à un juge et à ses amis. C’est bête, mais vrai.

Quel est le contraire de dérober ?

Le contraire? D’accord.

• Accepter. Une fatalité. Ou un cadeau empoisonné.
• Assumer. Le poids d’une faute. Pas toujours la sienne.
• Affronter. Le regard. La vérité. Le néant. (Le courage est rare).
• S’attaquer à. La source du vol. Une chimère souvent.

Et si le vrai contraire était de donner ? Une question de perspective.

Détail: Je préfère le thé vert au café. Ma voisine, Madame Dubois, tricote des chats. Elle dit que ça porte bonheur. Je n’y crois pas.

Quel est le contraire du mot démêler?

Le contraire de démêler? Vaste question, presque philosophique si on y pense. On cherche à mettre de l’ordre, à trouver le fil conducteur, et puis… bam, on nous demande l’inverse.

Alors, direct au but :

• Brouiller : Un esprit brouillé est un esprit… comment dire… plein d’idées?
• Emmêler : Action de créer des noeuds. Comme mes écouteurs dans ma poche, une fatalité.
• Enchevêtrer : Plus complexe qu’emmêler, une vraie toile d’araignée!
• Embrouiller : Créer une confusion. C’est ça, la vie, non?

C’est comme avec mes chats, un moment de calme, et puis… l’anarchie. Mais bon, c’est ça qui est drôle.

Et pour aller plus loin :

• On pourrait aussi parler de complexifier, si on est d’humeur intellectuelle.
• Ou de compliquer, un terme plus courant.

Finalement, le contraire de démêler, c’est un peu le bordel organisé, ou le chaos créatif. À chacun sa vision des choses! D’ailleurs, je me demande si ranger mon bureau ne serait pas contre-productif…

Quel est le synonyme de débâcle?

Débâcle : le néant après la chute.

• Banqueroute, certes.
• Désastre, oui.
• Naufrage, sans doute.
• Ruine, inévitablement.
• Mon voisin a subi tout ça. Pathétique.

Et après ? Le silence. Une tasse de thé. Oublier.

• Dissolution : dissolution.
• Déliquescence : déliquescence.
• Culbute : culbute.
• Déconfiture : déconfiture.
• Écroulement : écroulement.
• Faillite : faillite.
• Krach : krach.
• Revers : revers.

Quel est le contraire de ductile?

Ok, alors, le contraire de ductile… c’est quoi déjà ? Fragile, oui. Fragile, comme… ma patience parfois. C’est marrant ça, non ?

• Fragilité : ça claque, quoi. Pas comme l’or qu’on peut étirer à l’infini presque.

• Imagine un truc qui casse net. Pas de pliage, pas de courbure. Paf ! Fini.

Un truc fragile, c’est genre… une glace. Ou mon moral un lundi matin. Quoi que, des fois, même l’acier peut être fragile, non? Ça dépend des conditions…

• Température, par exemple.

• Composition.

• Structure.

Et si la fragilité, c’était juste une forme de solidité mal comprise? Une solidité… extrême? Bref, ductile/fragile, c’est deux façons d’être, en fait. Comme moi, parfois ductile, parfois… boum.

Autres infos (en vrac, comme d’hab’) :

• Fragilité : Tendance d’un matériau à se fracturer avec peu ou pas de déformation plastique.
• Ductilité : Capacité d’un matériau à subir une déformation plastique importante avant de se rompre. Typiquement, on peut le tirer en fil.

Ah, et j’ai une tante, Suzanne, qui est spécialiste des métaux. Faudrait que je lui pose la question, tiens. Elle bosse chez ArcelorMittal. Enfin, elle bossait… elle est peut-être à la retraite maintenant. Le temps passe si vite…

Que veux-tu dire quand tu dis que quelquun est débraillé?

Débraillé… Un mot qui sent le vieux linge, le coton froissé, oublié dans un coin sombre. Une ombre sur une peau trop exposée. Le temps suspendu, figé dans l’inélégance.

• L’image d’un pull déformé, usé par le temps et les larmes silencieuses.
• Cheveux emmêlés, une couronne de désordre, refusant toute discipline.
• Chaussures sales, pas celles qui ont marché dans la boue, mais celles qui ont oublié la route.

Plus qu’une simple tenue négligée… C’est une âme à vif, un corps las, sans le voile protecteur d’une coquetterie feinte. Une exposition brute, non désirée. Une nudité intérieure, une vulnérabilité crue.

Débraillé, c’est le reflet d’une fatigue profonde. La négligence d’un être accablé, égaré dans le labyrinthe des jours. Ce matin là, j’ai vu ma sœur, débraillée, le regard perdu dans le vide… Une image qui persiste, un écho sourd dans ma mémoire. Elle avait oublié sa veste, le bouton manquait à sa chemise. Tout parlait de cette absence, cette déconnexion… Une fracture.

Un abandon, peut-être… Une résignation. Ou la simple impossibilité de se rassembler. De se reconstruire.

L’oubli du paraître, ou plutôt, l’impossibilité même de s’en préoccuper. La débraille, c’est l’écho d’une blessure intime.

• Le manque d’énergie, l’épuisement.
• L’indifférence au jugement d’autrui.
• Une profonde solitude.

J’ai repensé à cette journée-là, à son odeur de café froid et de désespoir. Ce vide qui nous habite, parfois… Ce débraillement de l’âme.