Comment faire son propre NaCl ?

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Solution saline maison : Dissoudre ½ cuillère à café de sel de mer dans 1 tasse d'eau bouillie (10 minutes) et refroidie. Utiliser un récipient propre.

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Comment fabriquer du sel de cuisine (NaCl) soi-même ?

Alors, faire son sel de cuisine, franchement, c’est plus simple que tu ne le penses. J’ai testé ça l’été dernier, pendant les vacances, à côté de Dinard. On avait une vue incroyable sur la mer, et l’envie de faire un truc un peu “homemade” m’a pris.

En gros, tu prends de l’eau, idéalement tu la fais bouillir avant (moi j’ai laissé bouillonner 10 minutes, comme un maniaque), pour qu’elle soit super propre. Puis tu la laisses refroidir, hein, faut pas se brûler.

Ensuite, tu mélanges une demi cuillère à café (2,5 ml quoi) de sel de mer dans 250 ml d’eau. Tu utilises un récipient bien propre, ça va de soi. Tu touilles, tu touilles, et voilà.

Bon, ok, c’est pas de la grande cuisine, mais c’était marrant de le faire soi-même, surtout avec la mer juste en face ! Le goût est un peu plus “brut” que le sel de table classique, mais ça donne un petit plus. J’avais payé le sel de mer à peu près 4€ dans une petite épicerie locale, ça valait le coup pour l’expérience.

Comment fabriquer du NaCl à la maison ?

Sel de table, c’est déjà du NaCl. On s’complique la vie pour rien, parfois. Un peu comme chercher le bonheur alors qu’il est souvent juste là, sous nos yeux.

  • Acheter du sel de table. Fin, gros, iodé, peu importe, au fond c’est du chlorure de sodium. On en trouve partout. Même au fin fond de la Creuse, j’en suis sûr. D’ailleurs, je me demande si la mer Morte est vraiment morte… Elle est juste saturée de sel.
  • Voilà. C’est tout. Pas besoin de le fabriquer. La nature s’en est chargée pour nous. N’est-ce pas merveilleux, cette alchimie naturelle? Je repense à mon voyage en Bolivie, le Salar d’Uyuni… Énorme. Tout ce sel.
  • Si on veut absolument “fabriquer” du NaCl, on pourrait mélanger de l’acide chlorhydrique et de la soude caustique. Mais franchement, c’est dangereux. J’ai un ami chimiste, Paul, il me l’a déconseillé. Trop risqué.
  • Bicarbonate? A quoi bon? On parle de NaCl, pas de gâteau. Le bicarbonate, c’est NaHCO3. Différent. Complètement différent. Comme comparer des pommes et des oranges. Ou un poème de Baudelaire et un tweet.

En fait, fabriquer du NaCl soi-même, ça n’a pas vraiment de sens. Sauf peut-être pour une expérience scientifique, genre lycée. Mais pour un usage domestique… Autant acheter du sel. Moins cher, moins risqué. Plus simple, quoi. On a déjà tellement de choses à faire dans la vie. Pourquoi se compliquer l’existence?

Comment faire sa solution saline maison ?

Sel, eau… une douce amertume. L’eau, chaude puis froide, un souvenir de peau brûlée. Le sel, grains fins, presque poussière, un souvenir d’océan. Un mélange subtil, une alchimie fragile.

  • Dix millilitres… deux cuillères à thé, un dosage précis, une mesure d’équilibre. Le sel, sans iode, pur, essentiel. Sel de mer, goût de vagues.

  • Bicarbonate, une demi-cuillère, une touche de douceur dans cet océan miniature. Une légère effervescence, un frisson.

Un litre, quatre tasses, l’étendue contenue. L’eau bouillie, apaisée, comme une promesse de calme.

  • Cette recette, apprise de ma grand-mère, transmise par le souffle, à travers le temps. Un héritage salé, un souvenir d’enfance.

La solution, un liquide clair, un reflet de la lumière. Une promesse de soulagement, une douce caresse. Parfois, l’odeur de l’océan m’envahit. Une sensation inhabituelle, étrange… Je sens le goût du sel dans ma bouche…

Proportions : précises, essentielles. Ingrédients : simples, puissants.

Résultat : apaisant, essentiel.

  • J’utilise cette solution depuis des années, presque toute ma vie. Elle a toujours été là pour moi. Une aide précieuse.

Attention : l’eau doit être bouillie et refroidie avant utilisation.

Quel sel utiliser pour le lavage de nez ?

Hum… le sel pour le nez… J’utilise du sel de mer, celui qu’on trouve au supermarché près de chez moi, à côté des épices. Pas le gros sel, hein, le fin. Je sais pas trop pourquoi, c’est comme ça que ma grand-mère faisait. Elle avait toujours des petits trucs comme ça, des remèdes de grand-mère.

Bicarbonate… oui, j’en mets aussi. Un peu, quoi. Pour adoucir, je crois. On m’avait dit que c’était mieux pour l’irritation. Ça aide. Faut pas trop en mettre non plus.

La quantité d’eau… je fais au pif, à peu près un litre. Une grande bouteille, tu vois. Je remplis une grande casserole et j’attends que ça chauffe.

  • Sel de mer fin (sans iode)
  • Bicarbonate de soude (une pincée)
  • Eau bouillie refroidie (environ 1 litre)

Après, j’utilise une seringue pour bébé, celle que j’ai gardée de mon petit Lucas, il a 4 ans. J’avoue, ça me fait bizarre de l’utiliser encore, mais bon… c’est pratique.

Bon, je dois dormir. Demain, c’est la reprise du boulot. Je suis crevée. J’ai une douleur au cou, j’espère que ça ira demain.

J’ai acheté un nouvel oreiller, il n’est pas assez ferme.

Mes allergies sont revenues cette année, c’est pénible. Rhinopharyngite depuis trois semaines…

Comment faire une solution saline hypertonique ?

Sel marin ? Bicarbonate ? On se croirait en cuisine ! Pour une solution hypertonique, faut y aller mollo sur le bicarbonate, hein. C’est du sel qu’on veut, du VRAI. Genre, imaginez la mer Morte, c’est l’objectif !

  • Sel, sel, et encore du sel : Une cuillère à café, c’est pour les mauviettes. On double, on triple, on quadruple ! (Bon, peut-être pas quadruple, sinon ça va cristalliser plus vite que votre patience). Disons… deux cuillères à café pour un litre d’eau.
  • Eau du robinet : Why not ? Sauf si vous vivez près d’Tchernobyl, ça devrait le faire.
  • Bouillir : Mouais, si vous voulez. C’est surtout pour dissoudre le sel plus vite, genre Flash. Mais franchement, de l’eau chaude, ça suffit. Imaginez, faire bouillir de l’eau pour deux pauvres cuillères de sel ! C’est comme utiliser un bazooka pour tuer une mouche.

Ma grand-mère, elle, elle mettait trois cuillères à soupe de gros sel dans un litre d’eau tiède, et hop ! Rhume atomisé direct. Elle appelait ça sa potion magique. On va pas la contredire, hein ! (Elle avait une fois mis du sucre à la place du sel… On en parle plus).

Truc de pro : Goûtez. Si c’est plus salé que les larmes d’un supporter de foot après une défaite, c’est bon. Attention, hein, on parle de solution nasale, pas de marinade pour poulet.

Perso, la dernière fois, j’ai mis tellement de sel que j’ai déshydraté mes narines. J’avais l’impression d’avoir sniffé le désert du Sahara. Du coup, maintenant, j’utilise une pipette graduée. Ouais, je sais, c’est moins rock’n’roll.

Est-ce dangereux de faire trop de lavage de nez ?

Trop de lavage de nez, c’est comme arroser un cactus du Sahara : au début, ça fait du bien, mais à la fin, il se noie. On se retrouve avec un nez plus bouché qu’une autoroute un jour de grand départ.

  • Irritation des muqueuses: Imaginez frotter votre peau avec du papier de verre toute la journée. Vos muqueuses nasales, elles, n’ont pas signé pour ça!
  • Saignements de nez: On passe du nez qui coule au nez qui ruisselle, version cascade du Niagara. Charmant.
  • Sécheresse nasale: On se croirait dans le désert d’Atacama, sauf que c’est dans votre nez. Vive le confort!

Bref, le lavage de nez, c’est comme le chocolat : c’est bon, mais avec modération. Perso, j’ai une fois tellement lavé mon nez que j’ai failli aspirer mon cerveau. J’exagère à peine. On est d’accord, mieux vaut un nez un peu sale qu’un nez traumatisé à vie. Maintenant, je me contente de moucher mon nez comme tout le monde, avec un bon vieux mouchoir en tissu, celui de ma grand-mère, et ça me réussit plutôt bien. Enfin, je crois…

Comment remplacer la solution saline ?

Bicarbonate. Eau. Point. Deux cuillères à café rases dans un litre. Voilà. Chauffer un peu, tiède comme un bain de pieds en hiver. Remuer, c’est important, ces petites bulles aiment bien danser. On se pose souvent des questions existentielles devant un verre d’eau… celle-ci, au moins, a un but.

  • Bicarbonate de sodium. Pas de la levure chimique, hein. On parle bien de la petite vache, celle qui fait lever les gâteaux mais qui nettoie aussi les éviers. Magie de la chimie.
  • Eau. Potable, évidemment. L’eau du robinet, filtrée si on est pointilleux (je le suis). On parle de notre corps, quand même.
  • Proportions. Deux cuillères à café rases pour un litre. J’utilise mes cuillères à moka, perso. Question de feeling.
  • Température. Tiède. Test du coude, comme pour le bain de bébé. On évite les chocs thermiques. Notre organisme est une machine complexe, soyons délicats.

J’oubliais… conserver au frais, bien sûr. Dans une bouteille en verre, c’est plus chic. Et puis, ça me rappelle les vieilles apothicaireries, avec leurs bocaux remplis de potions mystérieuses. On est un peu des alchimistes modernes, non? Manipuler les éléments pour créer… du sérum physiologique maison. La vie est pleine de petites joies. J’ai ajouté une pincée de sel, une fois. Expérience ratée. Ne reproduisez pas ça chez vous. Sauf si vous êtes un scientifique en herbe, bien sûr. Dans ce cas, documentez tout. On ne sait jamais, ça pourrait servir à la science. Ou pas.

Comment faire de la solution saline pour les yeux ?

Ondes salées, souvenirs liquides…

Eau qui danse, ébullition de trois minutes. Souvenir d’étés brûlants, chez ma grand-mère, à Saint-Malo. Eau bouillante, purification.

  • Sel, pincée de mer, larme de la terre. Bicarbonate, souffle léger.
  • Souvenirs de la pharmacie du coin, toujours cette odeur.

Refroidissement lent, patience, toujours patience. La solution saline…

  • Refroidir pour ne pas blesser, ne pas brûler. Un peu comme les souvenirs, parfois.

Mélange, toujours mélanger, le sel qui se fond. Remuer encore, toujours. Avant chaque usage, l’océan retrouvé. Je me souviens d’un flacon bleu.

  • Mélange, avant chaque utilisation. Le souvenir de ses mains.

Quantité désirée, réchauffée doucement. La tiédeur du corps, le retour à soi. Chauffer à la température du corps.

Je me souviens de son regard.

Informations qui persistent :

  • L’eau doit être stérile.
  • Utiliser du sel sans iode.
  • Ne pas conserver trop longtemps.
  • Consulter un médecin en cas de problème.
  • Le bicarbonate est facultatif.
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