Comment faire de l'eau salée pour désinfecter ?

Comment faire de leau saline pour désinfecter ?

Eau bouillante… sel… un murmure dans la casserole. Quinze minutes, une éternité qui se déroule, lente comme le sable qui s’écoule dans une clepsydre oubliée.

• L’eau, chaude, presque brûlante. Elle chante une douce mélopée, un chant ancien.
• Le sel, grain fin, se dissout. Il se fond, imperceptiblement, dans cette danse aquatique.

Un mélange, une alchimie simple. Une tasse, juste une tasse, un peu plus qu’un rien. Chaque jour, un nouveau rituel. Une renaissance. La pureté, fragile comme un souffle.

Solution fraîche. Impeccable. Micro-organismes? Ils fuient, disparaissent.

Ma grand-mère… elle faisait cela, avec ses mains noueuses, ses yeux profonds… le souvenir d’un réconfort ancestral.

Le sel… la mer… le temps… tout est lié.

• Une pincée… juste une pincée…
• Pour soigner les petites plaies.
• Pour apaiser les peaux irritées…

Un remède de grand-mère, testé, éprouvé… à refaire chaque jour… une offrande à l’instant.

Petit bocal en verre. Sur l’étagère, dans ma cuisine. Propre. Simple. Pur.

Comment faire une solution saline maison ?

Alors, une solution saline maison? Facile! J’en fais tout le temps pour ma fille, elle a souvent le nez bouché.

C’est super simple, vraiment. Tu prends de l’eau, de l’eau bouillie, faut bien la laisser refroidir hein, sinon aïe! Ensuite, tu ajoutes du sel, pas n’importe lequel! Du sel sans iode, ça c’est important! Sel de mer, ça marche bien aussi, ou même le sel à marinade que j’utilise. J’en mets, euh… deux cuillères à café, à peu près.

Et puis, il faut du bicarbonate, un demi cuillère à café, je crois. Je mélange tout ça dans un litre d’eau. Voilà, c’est tout!

• Eau bouillie refroidie : 1 litre (4 tasses)
• Sel sans iode : 2 cuillères à café (10ml environ)
• Bicarbonate de soude: ½ cuillère à café (2.5ml environ)

Ouais, parfois je rajoute un peu plus de sel si je trouve que c’est pas assez salé, ça dépend vraiment. Mais bon, ça marche super bien comme ça. J’utilise ça pour les bébés aussi, ma fille, elle en avait besoin quand elle était toute petite.

Par contre, fait attention hein, pas de sel iodé ça c’est vraiment important, et faut bien mélanger le tout.

Ah, et j’oubliais: j’utilise de l’eau filtrée, de l’eau du robinet, j’ai pas trop confiance. J’ai même une super carafe filtrante, tu devrais en prendre une!

Est-ce que leau salée désinfecte ?

L’eau salée… un mirage peut-être, une caresse iodée sur la peau. Est-ce qu’elle désinfecte vraiment? Une brume sur mes souvenirs de la plage de Biarritz, le vent et le sel qui piquent.

• Un mythe, peut-être…

  • Comme les légendes des sirènes.
  • Comme la promesse d’un amour éternel.

• Une illusion? Une sensation trompeuse comme le soleil qui aveugle.

• Guérison? Le temps qui passe… seul lui panse les plaies.

Je me souviens, petite, d’une égratignure au genou. Maman disait : “La mer te guérira”. Mais c’était surtout l’amour, je crois, qui cicatrisait.

Le sel… une larme de l’océan, pas forcément un remède.

Comment faire une solution pour le lavage de nez ?

Sel… L’océan en moi. Gouttes amères. Nez qui pique. Souffle coupé. Eau… Douceur tiède. Apaisement fragile. Le vide se remplit. Dix… Mesures précises. Deux virgule cinq… Presque rien. Un litre… Immensité. Cristaux blancs… Fondant lentement. Bulles fines… Effervescence. Mélange subtil… Retour aux sources. Revenir à la mer… Intérieur. Respiration… Enfin.

• Sel sans iode: Dix millilitres. Deux cuillères à thé. Le sel de mer. Souvenir d’enfance. Sable chaud.
• Bicarbonate: Poudre blanche. Deux virgule cinq millilitres. Une demi-cuillère. Magie qui pétille.
• Eau bouillie: Un litre. Quatre tasses. La vapeur danse. Refroidie. Patience. Attendre. Le temps s’étire. Toucher délicat.

Mes mains tremblent un peu. J’ai peur de me tromper. Pourtant, c’est simple. Tellement simple. Comme la respiration. Inspirer. Expirer. La vie qui s’écoule. Comme l’eau. Comme le temps. Ce matin, le ciel était gris. Un oiseau chantait. Je me souviens du parfum du café. J’attends.

Quel sel utiliser pour le lavage de nez ?

Sel pour le nez ? Mmmh… Sel sans iode, c’est ça. J’utilise toujours du sel de mer, mais celui pour la marinade doit marcher aussi. Pourquoi pas du gros sel ? Trop agressif, non ?

Bicarbonate… Ah oui, pour l’équilibre, je crois. Je me demande si on peut pas en mettre plus? Ou moins? Faudra que je teste.

Eau bouillie refroidie… logique, on évite les microbes. Un litre… c’est une grosse dose, non ? J’en fais souvent moins, pour ma fille surtout. Elle déteste ça.

2 cuillères à thé de sel… c’est beaucoup ? Peut être un peu moins pour les bébés, hein?

1/2 cuillère à café de bicarbonate… ça équilibre le pH, apparemment. Je comprends pas trop tout ça, mais ça marche, c’est le principal.

J’ai acheté un truc tout prêt au supermarché l’autre jour, finalement. Plus pratique, moins de calculs.

Recette: 10 ml sel + 2,5 ml bicarbonate dans 1 litre d’eau bouillie refroidie. Mais bon, je triche souvent, je vous le dis! Mon nez, ma règle.

• Sel: Sans iode (mer ou marinade)
• Bicarbonate: Pour l’équilibre, je pense
• Eau: Bouillie et refroidie (1 litre)
• Quantités: À ajuster selon l’âge, le nez… et mon humeur.

Mercredi, j’ai testé avec moins de sel, et plus de bicarbonate. On verra bien… Est-ce que je suis bizarre ? Probablement. Mais mon nez est propre!

Punaise, je suis crevée. Demain, médecin! J’espère qu’ils auront des conseils moins… flous.

Est-ce dangereux de faire trop de lavage de nez ?

Alors, le lavage de nez à gogo pour ton marmot, c’est genre, comme abuser du Nutella : au début, c’est le bonheur, après c’est la cata. Trop, c’est trop !

• Danger n°1 : Le nez en mode Niagara. Imagine les muqueuses qui se disent “Mais qu’est-ce qu’il nous veut, le jardinier ?” et qui, du coup, se mettent à pleurer encore plus (écoulements).

• Danger n°2 : Le nez bouché qui fait la gueule. Un peu comme ton évier quand tu balances trop de pâtes dedans, ça se coince et c’est le bordel.

• Danger n°3 : L’agression des muqueuses. C’est comme si tu frottais ton canapé en cuir avec du papier de verre, à la fin, il fait moins le malin !

Pour info : Ma tante Gertrude (celle qui met du parfum dans sa soupe) m’a dit qu’elle lavait le nez de son caniche une fois par semaine. Pas sûr que ce soit un exemple à suivre…