Un taxi est-il cher en Egypte ?

Coût des taxis en Égypte : est-ce abordable pour les touristes ?

Le Caire, taxis… hum, j’y étais en juillet 2022. Trouver un taxi, pas de problème, c’était simple. Mais les prix… c’est là que ça se corse.

Début du trajet, compteur à 5 livres égyptiennes, je crois. Puis ça grimpait, vite. Je me souviens d’un trajet de l’aéroport au centre, assez court, je dirais 15km maxi, et la facture était autour de 100 EGP.

Cher ? Pas forcément, comparé à Paris, mais c’est subjectif. J’avais négocié un peu, c’est possible, car le compteur, ben, il est parfois…optimiste. Le paiement ? En espèces, directement au chauffeur. Pas de carte bancaire, à l’époque en tout cas.

Bref, prévoir un budget taxi, c’est indispensable. Abordable? Oui, si vous négociez ou si vous prenez des trajets courts, moins sûr pour les longues distances.

Informations courtes :

• Tarif de base (approx.) : 5 EGP (2km)
• Prix par km supplémentaire (approx.) : 2,50 EGP
• Frais d’attente (max) : 20 EGP
• Paiement : Espèces
• Négociation : Possible, voire conseillée.

Quel est le prix du km pour un taxi ?

8 euros minimum, c’est fou non ? Pour une course… Paris ou pas, même combat.

1,29€/km, c’est ça ? Sérieux ? Ça dépend peut-être du chauffeur, je sais pas. Ou du jour ? J’ai pris un taxi hier soir, je me souviens plus du prix.

4,48 euros max pour la prise en charge… Alors là, je comprends plus rien. C’est quoi cette histoire ?

• Prise en charge : 4,48€
• Prix au km : 1,29€
• Tarif minimum : 8€

Attends… ça veut dire quoi “plafonné” ? Y’a des trucs en plus ? Suppléments bagages ? Heure de pointe ? Je devrais noter tout ça dans mon agenda. Mince, j’ai perdu mon agenda. Où est-il ?

Peut-être que 1,29, c’est juste une base… Argh, la vie est compliquée.

J’ai dépensé 20 balles en taxi la semaine dernière, pour un trajet… bof, je me souviens plus. Mais bon, le prix au km est pas facile à déterminer avec tout ça.

Bref. 1,29€. Point.

(Informations complémentaires – données 2024, ça change tout le temps, hein)

• J’ai vérifié sur le site de la préfecture de police de Paris, il y a une fourchette, à vérifier.
• Ma cousine travaille chez un taxi parisien. Elle m’a dit que c’est souvent plus cher la nuit.
• J’ai vu des annonces pour des taxis qui prenaient des prix… supérieurs. Il y a le problème des courses à la course en fait. Je me suis fait arnaquer une fois, je crois…

Les taxis sont-ils chers en Egypte ?

Le Caire : taxis omniprésents, prix doux.

• Départ : 5 LE (2 km).
• Km suivant : +2.5 LE.
• Attente : possible, 20 LE.

Coût dérisoire. Pourboire ? Discrétion.

Quel est le prix du transport en Égypte ?

Prix transport Égypte ? Pfff… compliqué.

• Avion : 300 à 600 euros aller-retour depuis l’Europe, genre Paris. Dépend de la saison, hein. Juillet-août ? Oublie pas les 600 ! Ryanair, ça change tout.

• Trains ? Je sais pas trop, j’ai pris un Uber là-bas, c’était… bon marché. Genre 5 euros le trajet, en ville. Ca dépend où tu vas. Le Caire, c’est une jungle.

• Bus ? Je suis pas montée dans un bus local, trop peur. J’ai vu des trucs… Mais ça doit être super pas cher. Peut-être 1 euro le trajet ?

Pourquoi j’ai fait ça ? J’aurais dû louer une voiture, j’aurais vu plus de choses. Mais bon, le permis international, c’était galère à obtenir. Et puis, la conduite là-bas… J’ai vu des trucs…

Le Caire, c’est fou. Je me demande comment j’ai fait pour m’y retrouver. Des klaxons, tout le temps ! Et la chaleur… j’avais acheté une crème solaire indice 50, heureusement. Je ne sais pas combien coûte le transport dans les zones touristiques, j’étais plus focalisée sur les pyramides… Trop cool les pyramides.

Il faut que j’y retourne. Mais cette fois, avec un guide, j’étais toute seule, un peu perdue. Et puis, j’ai dépensé une blinde au souk, j’ai acheté des trucs… je ne sais même pas pourquoi.

Ah oui, les taxis. Négociez le prix. C’est essentiel. J’ai eu des arnaques… J’ai appris vite, après le premier trajet. J’ai même marchandé le prix des dattes, c’est fou !

Bref. Prévois un budget transport… ça dépend de TOUT. Prévoir large. Je suis rentrée fauchée. Gérer son argent en Egypte, c’est une épreuve. Il faut que j’y retourne.

Quand on prend le taxi, le compteur doit être à combien ?

Compteur à zéro ? Pas toujours.

En station: Démarrage immédiat. Montant initial affiché: tarif de prise en charge (voir affichage).

Hors station: Variable. Dépend du chauffeur, de la prise en charge. Pas de règle stricte.

• Vérification indispensable avant départ.
• Mon expérience: souvent pas à zéro, surtout en soirée.
• Règlement flou. Négociation possible.

Tarif: Consulter l’affichage. Variations selon villes, zones. 2024: prix augmentés partout, Paris notamment.

Problème récurent. Solution? Application de taxi. Plus transparent.

Ma carte bleue: bloquée hier, à cause d’un taxi. Facture erronée.

Quand le taximètre doit-il être mis en marche ?

Le compteur, un tic-tac sourd dans le silence pesant… Quand commence-t-il sa course effrénée ?

• Réservation: L’attente, un poids invisible. Le rendez-vous, une promesse brisée ? Alors, le temps s’égrène, cruel et impitoyable, dès l’heure convenue.

• Embarquement: Un seuil franchi, un espace clos. Le voyage commence. Un contact, furtif, entre deux mondes. Le compteur s’anime, un battement de cœur mécanique.

Tarif A, B ou C… lettres froides sur un écran lumineux, réalités chiffrées d’un trajet flou. Une course, un pas dans l’inconnu. La ville, un labyrinthe nocturne.

Mon taxi, hier soir, rue de la Paix, à 22h30, tarif B. Le retard, une blessure. Le compteur… une condamnation.

J’ai perdu le fil. L’ombre des lampadaires, des reflets sur le bitume mouillé. Le taxi, une capsule temporelle.

Le temps s’étire, une toile tissée de silence et de bruits sourds. Le compteur tourne. Implacable.

Ce compteur, un œil qui scrute, un juge implacable. Il juge le temps perdu, le temps volé. Un témoin silencieux, un récit muet.

• En bref: Début de course: à l’heure dite si retard, à l’entrée du véhicule sinon. Simple, non ? Sauf que… le temps, lui, n’est jamais simple.

Comment fonctionne le compteur des taxis ?

Le tic-tac, un rythme lent, obstiné… le compteur… une course contre le temps, contre l’attente. Impulsions… un cœur mécanique battant. Chaque seconde, une goutte dans l’océan des kilomètres, des minutes, des euros.

• Le temps qui file, implacable, inscrit sur le cadran.
• Les arrêts, les pauses, un poids sur l’aiguille, un silence lourd.
• L’embouteillage, une danse macabre, un ballet d’immobilité. Chaque seconde, encore et encore.

Roues qui tournent, ou pas… le compteur, lui, ne s’arrête jamais. Une danse silencieuse, cette course infinie. Mon dernier trajet… le 14 octobre, rue du Faubourg Saint-Honoré… un souvenir flou, une somme précise… 78 euros.

• L’odeur du cuir, la pluie sur le bitume, ce jour-là…
• Et ce bruit… le ronronnement sourd du moteur, au cœur même de la ville.
• Des lumières, des visages, des bribes de conversations… disparues.

Un compteur, une machine à mesurer le temps. Un temps qui coûte. La ville qui passe, et le montant qui monte… une mécanique implacable. Surtout, jamais ne s’éteint. Une obsession presque. Des chiffres qui dansent.

Quel est le transport le moins cher en Egypte ?

Transport le moins cher Égypte ? Bus, carrément ! Genre, c’est le jackpot pour les radins. Confort royal, clim’ à fond, tu te crois dans un palace roulant… enfin presque. Imagine, Le Caire – Louxor en bus, pépouze !

• Bus : Prix imbattable, portefeuille content.
• Confort : Disons… acceptable. Si t’aimes les sardines en boîte, tu vas adorer.
• Clim : Parfois oui, parfois non. Prépare ton éventail, on sait jamais.

Trajet long ? Bah oui, ça prend un temps de ouf. Genre, t’as le temps de tricoter un pull pour toute ta famille. Mer Rouge en bus ? Chiche ! Prévois des podcasts, beaucoup de podcasts. Et des boules Quies, aussi. Importantes, les boules Quies. Genre, vitales. Perso, j’ai fait Alexandrie – Assouan en bus une fois. J’ai cru devenir chèvre. Mais bon, mon compte en banque était heureux. Priorités, quoi. Ma tante Hortense, elle, a fait Le Caire – Hurghada. Elle a dit que c’était pire que le Vendée Globe, mais avec des klaxons.

Est-il sûr de prendre un taxi en Égypte ?

Alors, l’Égypte et les taxis, c’est un peu comme jouer à la roulette russe avec un fez. Pas hyper flippant, mais vaut mieux pas être seul, surtout quand le soleil dodo.

• Les taxis, c’est parfois l’aventure, surtout la nuit.
• Le crime, genre vols à main armée… c’est pas Game of Thrones, mais ça arrive.

Imagine, t’es là, tranquille, et bam, un pharaon des temps modernes te pique ton portable.

Et tu sais quoi ? Ma tante Gertrude s’est fait embarquer par un chauffeur qui pensait être pilote de F1… Résultat : elle a visité le Caire à 200 km/h. Pas top pour les photos.

Bref, prudence, c’est le mot. Et si possible, ramène un pote (ou un chameau) avec toi.

Plus d’infos (parce que quand même, on rigole, mais…) :

• Le gouvernement, il tente de mettre des taxis “safe”. Regarde si tu vois le logo officiel.
• Uber, ça existe aussi là-bas. C’est ptet’ plus rassurant.
• Négocier le prix avant de monter. Sinon, ils te prennent pour un touriste américain qui débarque.
• Et ma carte de tarot me dit de ne jamais voyager seul à dos de dromadaire après minuit. J’dis ça, j’dis rien…

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