Quel est le thème du livre le tour du monde en 80 jours ?

Alors, le thème du Tour du Monde en 80 Jours ? Pas juste une simple aventure, hein ? On dirait que Jules Verne voulait nous dire quelque chose de plus profond… Quelque chose qui me touche encore aujourd’hui, des années après ma première lecture, je dois dire.

L’exploit, bien sûr, c’est flagrant ! Ce pari fou de Phileas Fogg… Seulement quatre-vingts jours ? Autant dire une course contre la montre infernale ! Je me demande parfois si j’aurais eu le même culot, moi. Oser mettre son honneur, sa réputation entière sur un pari pareil… ça vous prend aux tripes, non ? Même si, avouons-le, on est bien au chaud dans notre canapé pendant qu’on le lit, on ressent presque le souffle de la course.

Et puis il y a Passepartout, fidèle comme un chien ! Son amitié avec Fogg… ça c’est beau, ça. On voit une vraie loyauté, une sorte de lien indéfectible, malgré les épreuves. J’ai pensé à mon grand-père, lui aussi, toujours là pour ma grand-mère, même après 50 ans de mariage… La même sorte de constance, vous savez ? De dévouement…

Oui, les valeurs victoriennes, on les sent partout dans le livre. Ce courage, cette détermination… J’ai vu ça une fois, une copine qui a décidé de faire le Kilimandjaro, seule ! Elle a failli abandonner plusieurs fois, mais elle a tenu bon. Comme Fogg, elle a été testée, poussée à ses limites. Et elle a réussi ! C’est un peu comme une métaphore de la vie, hein ? On se fixe un but, on rencontre des obstacles, et on persévère… ou pas, parfois. On a tous nos Passepartout, aussi, nos fidèles compagnons, qui nous aident à surmonter les difficultés. J’ai le mien. Même si c’est un chat. Bon, il est moins utile sur une course contre la montre autour du monde, j’admets.

Bref, plus qu’une simple course, c’est une histoire sur le courage, l’amitié, et la persévérance. Surtout, une magnifique aventure qui laisse un sentiment…comment dire… un arrière-goût de liberté ! Ah, si j’avais pu faire le tour du monde en 80 jours moi aussi ! Peut-être un jour…